Publié le 30 Juin 2015

Fermeture définitive de la piscine à Aulnay-sous-Bois

La troisième ville du département, avec plus de 82 000 habitants, n'a plus de piscine. Voilà près de dix mois que le stade nautique de Coursaille, à Aulnay-sous-Bois, est fermé, après la découverte d'une fissure dans la poutre centrale soutenant la charpente du toit.

Alors que la canicule guette, le maire, Bruno Beschizza (les Républicains), annonce, dans une lettre aux habitants, que la piscine, la plus grande du 93, ne rouvrira plus. « Un projet de construction d'un nouveau centre nautique est nécessaire », affirme l'élu dans son courrier, qui détaille les raisons de cette fermeture définitive.

Le stade nautique de 2 300 m2, construit en 1968, est jugé trop ancien. Sa rénovation serait « très coûteuse en termes d'argent, mais aussi de temps » (environ 10 M€ pour prolonger sa durée de vie de dix ans). Mieux vaut, assure Bruno Beschizza, construire une nouvelle piscine. Le chantier coûtera plus cher -- on évoque un montant minimal de 20 M€. « Mais si on opte pour une délégation de service public, la ville ne débourse plus d'argent », explique l'élu. Dans ce cas, c'est un investisseur privé qui se charge de la construction et de la gestion de l'équipement, la ville versant un loyer pour avoir accès aux bassins.

Quid des tarifs pour les Aulnaysiens ? « Mes services vont travailler là-dessus cet été », répond le maire, qui ne donne aucune précision sur les délais de construction ou le lieu pouvant accueillir une nouvelle piscine. Mais les regards se tournent vers les terrains PSA, dont on parle comme un site possible pour les JO de... 2024.

« On se doutait de cette issue, glisse un ancien maître-nageur, désormais affecté à d'autres activités sportives. C'est un choix économique. La ville a remercié les contractuels, elle a réduit ses frais d'entretien, de chauffage... » Il s'interroge : « On aurait pu au moins ouvrir les bassins extérieurs, cet été ! Leur plafond, c'est le ciel bleu, qui ne risque pas de s'effondrer ! » Ces bassins pouvaient accueillir simultanément jusqu'à 2 800 baigneurs. Mais Bruno Beschizza est formel : « Impossible. L'arrêté de fermeture couvre l'ensemble du site et les vestiaires sont situés au sous-sol du bâtiment dont le toit menace de s'effondrer. »

Les Aulnaysiens devront se rabattre sur les villes voisines et les bassins provisoires du parc Ballanger durant l'été. Aucune solution n'est annoncée pour le moment pour les écoliers, déjà privés cette année de cours denatation. « C'est inadmissible, fulmine une maman du quartier Balagny. Mes enfants y allaient souvent, on habite juste à côté. Maintenant, je dois les emmener à Villepinte... » Le club de plongée les Hydronautes, qui s'est rabattu depuis un an sur la piscine de Marville, à Saint-Denis, a déjà perdu quelques adhérents : « On aura du mal à enregistrer de nouvelles inscriptions », s'inquiète sa présidente, Valérie Clerc.

Bruno Beschizza accuse l'ancienne équipe (PS, PC, PRG) d'avoir lésiné sur les travaux d'entretien (433 000 € investis entre 2008 et 2014). « Mauvais procès », réagissent les élus communistes, qui réclament le « maintien d'un service public municipal pour la gestion et le fonctionnement » de la future piscine.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Soyons sport.

Publié le 30 Juin 2015

Mobilisation des salariés de l’Oréal à Aulnay-sous-Bois pour le Citizen day

Jeudi, près de 6 000 collaborateurs de L'Oréal participeront au Citizen day. Cette journée de solidarité, créée il y a six ans, est déployée dans 62 pays. L'an passé, 24 000 collaborateurs se sont mobilisés auprès de 32 000 bénéficiaires dans le monde. Au programme en 2015 : lutte contre la précarité, l'exclusion et le handicap, pour l'environnement, l'action pour l'emploi et la solidarité intergénérationnelle. En Seine-Saint-Denis, où le géant du cosmétique est présent sur deux sites (Saint-Ouen et Aulnay), des actions seront menées à Aubervilliers, Pantin, Noisy-le-Sec, Rosny, Saint-Ouen, Tremblay, Aulnay et Montfermeil.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 29 Juin 2015

Une vague de chaleur est annoncée dans les prochains jours en France. Localement la température pourrait attendre 36 degrés à l’ombre à Aulnay-sous-Bois dès ce mercredi 1er juillet 2015 aux alentours de 17h. La ville a d’ores et déjà préparé un plan canicule. Ainsi, un numéro vert est disponible pour signaler une personne âgée, fragilisée ou une personne en situation de handicap dont vous pourriez juger qu'elle souffre de la chaleur: 0800 500 161 - 01 48 79 40 60 (appel gratuit depuis un poste fixe).

Pour davantage d’informations cliquez ici.

Canicule en 2015 à Aulnay-sous-Bois
Canicule en 2015 à Aulnay-sous-Bois

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Publié dans #Santé

Publié le 29 Juin 2015

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous de la lettre du maire Bruno Beschizza annonçant la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois.

Le maire Bruno Beschizza annonce la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois
Le maire Bruno Beschizza annonce la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois
Le maire Bruno Beschizza annonce la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois
Le maire Bruno Beschizza annonce la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois
Le maire Bruno Beschizza annonce la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois
Le maire Bruno Beschizza annonce la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois
Le maire Bruno Beschizza annonce la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois
Le maire Bruno Beschizza annonce la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 29 Juin 2015

200 personnes au parc Ballanger d’Aulnay-sous-Bois contre le centre commercial Europacity de Gonesse

Environ deux cents personnes ont participé, samedi après-midi, à Aulnay-sous-Bois, au rassemblement contre le projet de complexe géant commercial et de loisirs Europacity, qui doit ouvrir en 2021 dans le triangle de Gonesse (Val-d’Oise).

Les associations de défense de l’environnement de Seine-Saint-Denis et du Val-d’Oise, réunies dans le Collectif pour le Triangle de Gonesse, avaient installé leurs stands dans le parc Ballanger et des débats ont été organisés avec le public. Leur crainte : la disparition de terres agricoles. Des élus du 93, de tous bords politiques, étaient présents.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 27 Juin 2015

Mobilisation contre EuropaCity au parc Ballanger à Aulnay-sous-Bois

Pour la première fois, les opposants au projet EuropaCity manifestent aujourd'hui... en Seine-Saint-Denis. Jusqu'à présent, ils se sont surtout mobilisés dans le Val-d'Oise, là où le complexe géant de loisirs est censé voir le jour en 2021, dans le Triangle de Gonesse, limitrophe d'Aulnay-sous-Bois.

La perspective inquiète aussi les élus et les associations du 93. « On ne se mobilise pas seulement contre la disparition de terres agricoles, souligne Alain Boulanger, associatif aulnaysien et membre du Collectif pour le Triangle de Gonesse. C'est aussi une crainte pour nos commerces de proximité : EuropaCity risque de détruire plus d'emplois qu'il n'en créera ! »

Outre les associations de défense de l'environnement, des élus de tous bords afflueront, cet après-midi, au parc Ballanger. Certains y prendront la parole lors des débats. Parmi eux, les maires UMP des villes d'Aulnay, du Blanc-Mesnil et des Pavillons-sous-Bois, Bruno Beschizza, Thierry Meignen et Philippe Dallier, mais aussi le communiste Hervé Bramy, Eric Coquerel, secrétaire national du Parti de gauche, Frédérique Denis, élue départementale EELV.

Le 29 septembre, le conseil d'administration de l'Etablissement public d'aménagement (EPA) Plaine de France actera la création d'une zone d'aménagement concertée (ZAC) au Triangle de Gonesse. Début 2016, un débat public doit être organisé sur le projet EuropaCity (500 boutiques), porté par le groupe Auchan.
Cet après-midi, de 14 heures à 19 heures, au parc Ballanger.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 26 Juin 2015

Vers la construction d’une nouvelle piscine à Aulnay-sous-Bois ?

Construite en 1968, la piscine d’Aulnay-sous-Bois est fermée depuis septembre 2014 suite à l’apparition d’une fissure sur la poutre centrale de la charpente retenant l’ensemble de l’édifice. Cet élément était de nature à provoquer l’effondrement de la structure. C’est pourquoi, pour des raisons de sécurité, le stade nautique a été immédiatement évacué et interdit d’accès au public.

Compte-tenu de l’ancienneté de cet équipement et du coût des travaux de réparation auxquels s’ajouteraient ceux de la mise en conformité complète de la piscine, il semblerait que le choix d’un projet de construction d’un nouveau centre nautique ait été privilégié. L’ambition est grande puisque outre les bassins de natation, un espace de remise en forme avec sauna, un hammam, un espace relaxation et une salle de fitness pourraient faire leur apparition.

Affaire à suivre dans les prochaines semaines…

Robert Ferrand

Source photo : aulnay-sous-bois.fr

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 26 Juin 2015

Concours des maisons et balcons fleuris ; Inscrivez-vous avant le 15 juillet pour faire fleurir notre ville.

Anne-Marie

Concours des maisons et balcons fleuris 2015 à Aulnay-sous-Bois : inscrivez-vous !

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Rédigé par Anne-Marie

Publié dans #Environnement

Publié le 26 Juin 2015

Les anciens salariés de PSA aux prudhommes après la fermeture de l’usine d’Aulnay-sous-Bois

Ils sont venus avec des documents soigneusement rangés dans des pochettes cartonnées ou des sacs en plastique. Dans une salle d’audience comble, les anciens collègues se donnent l’accolade, certains n’ont revu personne depuis leur départ de l’usine d’Aulnay, en 2013. Deux ans après avoir perdu leur travail, près de 120 ex-PSA étaient présents au tribunal des prud’hommes de Bobigny, pour contester leur licenciement. 161 dossiers au total ont été examinés au cours d’une longue audience.

Les avocats de PSA ont eu beau pointer la diversité des cas, pour l’avocat des salariés, Me Fiodor Rilov, ils ont un point commun. Les ruptures des contrats de travail sont toutes liées, selon lui, à un plan de sauvegarde de l’emploi «irrégulier». Il s’agit du PSE présenté par le groupe automobile en juillet 2012, après qu’il eut annoncé la fermeture de l’usine d’Aulnay (3000 salariés) et la suppression de 1400 postes à l’usine de Rennes (Ille-et-Vilaine). L’avocat, connu pour avoir porté les dossiers Goodyear et Continental, met en doute la «justification économique» de la restructuration menée à l’échelle du groupe (plus de 11 000 suppressions de postes entre 2011 et 2013).

Décision le 1er décembre

«Le groupe traverse alors une crise, qui a duré à peine un an sans empêcher la progression de ses profits, assène Me Rilov. Mais tout à coup, cette crise va lui permettre de procéder à cette fermeture, programmée depuis bien longtemps.» En 2011, la CGT avait dévoilé une note interne évoquant déjà la disparition d’Aulnay, un an avant l’annonce officielle. L’argument fait sursauter Yasmine Tarasewicz, l’un des conseils de PSA : «Je ne veux pas laisser les juges qui nous écoutent ou les gens dans cette salle avoir le sentiment que le plan de sauvegarde de l’emploi n’avait pas de justification économique.» Quelques voix s’élèvent dans la salle : «Menteuse, menteuse !» L’avocate repousse les arguments des demandeurs, en particulier ceux qui contestent leur départ dans le cadre du protocole de fin de grève. Cet accord entre la direction et la CGT avait mis fin en mai 2013 à une grève de 16 semaines dans l’usine d’Aulnay. Les grévistes, puis d’autres salariés, avaient pu toucher une indemnité supplémentaire de 19 700 €, à condition de quitter leur poste tout de suite, en renonçant aux mesures de reclassement. «Il y a eu une concession de l’employeur, une concession du salarié, si l’acte est nul alors les sommes versées doivent être restituées !», affirme Yasmine Tarasewicz, alors qu’un peu plus tôt Fiodor Rilov fustigeait «un mécanisme ostensiblement contraire au code du travail».

Dans la salle, on soupire. «La pression qu’on nous a mise à l’époque pour partir !», s’exclame Brahim, 35 ans, lors d’une suspension d’audience. «Du coup, on n’a pas profité des formations», ajoute ce père de famille, dont les indemnités chômage vont bientôt se tarir. Il n’est pas le seul à chercher du travail, parmi les 161 demandeurs, qui réclament de 20 000 à 100 000 € d’indemnités. Les juges prud’homaux rendront leur décision le 1er décembre. Une seconde salve d’une centaine de dossiers fera l’objet d’une nouvelle audience d’ici la fin de l’année.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 26 Juin 2015

Grève des taxis contre Uberpop : une centaine de passagers sur les voies du RER B à Aulnay-sous-Bois !

TRANSPORTS - Une journée de galère pour les voyageurs en région parisienne. Opérations escargots, blocages des gares et aéroports, la circulation était plus que compliquée ce jeudi 25 juin, marqué par la forte mobilisation des taxis en grève contre Uber. Comme si cela ne suffisait pas, les usagers des transports ont aussi dû faire face, en début de soirée, à des perturbations du trafic du RER B entre l'aéroport Charles-de-Gaulle et la gare du Nord à Paris.

La raison de cette perturbation? La présence de passagers descendus sur les voies pour... protester contre la circulation chaotique liée à la grève des chauffeurs de taxi. Outre les blocages, la grève a logiquement entraîné une affluence record dans les transports en commun. "On a des problèmes depuis ce matin. On a dû faire face à une affluence record" due à la grève, qui a perturbé l'accès à l'aéroport de Roissy, a expliqué un porte-parole de la SNCF, qui gère ce tronçon du RER B au nord de la capitale.

La circulation des rames, intensifiée pour faire face à l'affluence, a entraîné des ralentissements et des arrêts. Ulcérés, une centaine de passagers d'un train arrêté à Aulnay-sous-Bois en Seine-Saint-Denis sont donc descendus sur les voies en fin d'après-midi. "On a eu un gros embouteillage pendant une heure, à cause de ces personnes sur les voies", qu'il a fallu convaincre de remonter. "Ce n'était pas facile, il fait chaud et les gens sont énervés", a précisé le porte-parole.

Une passagère, qui a contacté l'AFP, a exprimé son "ras-le-bol", expliquant, au bord des larmes, que les gens n'en pouvaient plus. "Il fait chaud, il y a des femmes et des enfants, et il n'y a pas d'informations en anglais pour les étrangers", a-t-elle déploré. Vers 19h30, le trafic était "en train de se réguler", même s'il restait ralenti, a précisé la SNCF.

Une rame de trains comptant en fin de journée environ 2000 personnes, "plusieurs milliers de personnes" ont été coincées dans ce trafic perturbé. La circulation a commencé à reprendre progressivement à 20h.

Source : http://www.huffingtonpost.fr/

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 25 Juin 2015

Le bétonnage menace-t-il à nouveau Aulnay-sous-Bois ?

Quelle maîtrise la commune d’Aulnay aura-t-elle demain sur ses aménagements et ses logements ? A la veille de la création d’une métropole du Grand Paris, qui aura compétence en matière d’habitat, la ville de 80 000 habitants doit aussi composer avec les projets de reconversion sur le site PSA (180 ha), et le projet d’une Opération d’intérêt national (OIN), visant à faire pousser 2 600 logements sur son territoire. Le sujet a été débattu lors du conseil municipal de mercredi soir. Et une chose semble acquise : Aulnay va grossir.

450 logements neufs par an. C’est bien plus que la moyenne des constructions ces dernières années (160 logements en moyenne, sous un maire PS pourtant accusé de « bétonner la ville »). Mais c’est le « potentiel » identifié au sein du Programme local de l’habitat (PLH), voté par les élus de la majorité UMP-UDI (les élus PS et PC ont voté contre)*. Ce document obligatoire fixe les orientations en matière de logement pour la période 2015-2020. Un diagnostic, établi par le cabinet Sémaphores, indique que les « catégories intermédiaires » fuient vers les communes voisines où l’immobilier est moins cher, et le parc locatif privé plus important. En guise de remède, le PLH préconise des constructions davantage tournées vers l’accession à la propriété (65 % dont 25 % à « prix maîtrisés »), le logement social ne représentant que 10 %. Le choix fait réagir l’opposition : « Allez dire aux 9 000 familles en attente d’un logement social que vous ne faites rien pour elles ! Vous voulez changer la population d’Aulnay », accuse le député PS Daniel Goldberg. Le maire UMP Bruno Beschizza lui oppose la proportion de logements sociaux déjà existants (35,8 %) : « Ce qu’il faut aujourd’hui, c’est construire un parcours résidentiel. »

PSA, principale zone à aménager. Elles sont identifiées dans le projet de Plan local d’urbanisme (PLU) voté par le conseil municipal (là encore sans les voix de l’opposition). Le document est une version révisée du PLU mis en place en 2008 (déjà modifié au fil des ans). Il permet d’identifier les zones où l’on pourra construire du logement : le secteur des grands ensembles (Rose-des-Vents, Mitry-Ambourget), concerné par des programmes de renouvellement urbain. Le PLU y limite la hauteur des bâtiments à 20 m. Mais le PLU permet aussi de construire sur les terrains PSA (le constructeur a présenté un projet comportant activités et logements). Là, les constructions pourraient atteindre par endroits jusqu’à 44 m de façade. Le communiste Miguel Hernandez s’alarme de la création « d’un quartier isolé de 7000 à 8000 habitants isolés, sans équipements ». « Ce zonage n’est qu’une traduction de ce que voulait le gouvernement », répond Bruno Beschizza, allusion au projet d’OIN sur ce secteur. Le PLU sera soumis à enquête publique en octobre, avant d’être validé d’ici fin 2015.

13,8 M€ pour démolir le Galion. Le conseil d’administration de l’Agence nationale de rénovation urbaine a accordé 13,8 M€ pour les dernières démolitions dans le quartier de la Rose-des-Vents, dans le cadre du projet engagé en 2004. C’est ce qu’a annoncé mercredi Bruno Beschizza en début de conseil. Cette rallonge va permettre de démolir la barre du Galion et deux tours voisines soit 170 logements.

*Le chiffre est néanmoins inférieur à celui de 639 logements par an, préconisé dans le Contrat de développement territorial (CDT), document élaboré avec l’Etat, actuellement en enquête publique.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Urbanisme

Publié le 25 Juin 2015

Mobilisation pour sauver dix platanes et le rond-point du collège Simone Veil à Aulnay-sous-Bois

C’est aussi cela l’urbanisme : la suppression annoncée d’un rond-point et d’une rangée de platanes suscite une levée de boucliers dans le quartier du collège Simone-Veil à Aulnay-sous-Bois. Et pour les quelque 200 signataires de la pétition (soutenue par les associations Aulnay Environnement et Vivre mieux ensemble), le sujet n’a rien de secondaire.

Il s’agit de « défendre la qualité de vie d’un secteur maltraité ». La municipalité UMP s’apprête à réaménager des rues aux abords du collège (pour un montant de 2,6 M€). Il s’agit notamment de créer une « zone de rencontres », limitée à 20 km/h, rue du Havre. Mais c’est la disparition du sens giratoire, au croisement de cet axe et de la route de Bondy qui soulève l’inquiétude. « 6 000 véhicules par jour circulent sur la route de Bondy, dont beaucoup de camions qui roulent trop vite, souligne Philippe Grécourt, l’un des riverains mobilisés. En supprimant le rond-point, on se prépare à un accident ! » Autre cheval de bataille : l’abattage programmé de dix platanes pour, indique la ville, « rendre accessibles les trottoirs aux fauteuils roulants et aux poussettes ». « On va faire tomber dix platanes centenaires pour les remplacer par des jardinières encore plus larges ! », déplore Corinne Cesaratto, une autre habitante.

Du côté de la mairie, on minimise la mobilisation : « Deux personnes seulement se sont exprimées contre le projet lors de la dernière réunion publique. » Une manifestation pourrait avoir lieu en septembre.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 24 Juin 2015

Autolib’ arrive à Aulnay-sous-Bois !

Le conseil municipal d'Aulnay se prononcera aujourd'hui sur le projet de Plan local d'urbanisme (PLU) révisé, qui doit être adopté définitivement avant la fin de l'année 2015. Le document permet d'encadrer les aménagements et les constructions au sein de la ville dans les années à venir. Il sera soumis à enquête publique en octobre prochain.

Autre sujet à l'ordre du jour : une révision de la politique tarifaire des cantines scolaires et des centres de loisirs. Enfin, une délibération porte sur la signature d'une convention avec le syndicat Autolib' Métropole, pour l'installation des voitures électriques en libre-service sur le territoire de la commune.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Conseil municipal

Publié le 22 Juin 2015

Le centre commercial O’Parinor d’Aulnay-sous-Bois va-t-il faire face à la concurrence d’Europacity à Gonesse ?

Il y avait les acteurs du projet et les élus, nombreux, et puis les opposants, rares mais toujours aussi déterminés. Jeudi dernier, la salle Jacques-Brel de Gonesse accueillait l’ultime réunion de concertation sur le projet du Triangle de Gonesse. Une nouvelle étape avant la création de cette zone d’aménagement concertée (ZAC), qui doit être actée le 29 septembre lors d’un conseil d’administration de l’EPA Plaine de France.

Une trentaine de personnes étaient présentes pour aborder les principaux enjeux du dossier : l’emploi, mais aussi la préservation des terres agricoles. « Ce que vous présentez ici, en bétonnant, c’est d’une banalité épouvantable », a ainsi attaqué Jean-Claude Marcus, de l’association française pour l’étude du sol (AFES) qui dit réfléchir à un « contre-projet », qui permettrait de « créer autant d’emplois avec moins d’impact sur les sols. »

En réponse, le député-maire (PS) de Gonesse, Jean-Pierre Blazy a rappelé que le projet qui avait été choisi était celui qui « consommait le moins de terres. » Une zone agricole protégée (ZAP) est également à l’étude pour la préservation du carré agricole situé au nord du Triangle.

Arguments insuffisants pour le collectif du Triangle de Gonesse qui organise samedi un rassemblement à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), de 14 heures à 19 heures, pour dire « non à Europacity », ce projet phare d’Immochan, filiale du groupe Auchan, complexe géant de loisirs qui s’implanterait sur la zone.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 19 Juin 2015

Vous trouverez ci-dessous une invitation pour un ciné-débat prévu ce vendredi 19 juin 2015 à 19h salle Dumont à Aulnay-sous-Bois. Cet événement est organisé par l’association Amitié Palestine Solidarité.

Ciné-débat autour de la question de l’eau avec l’association Amitié Palestine Solidarité à Aulnay-sous-Bois
Ciné-débat autour de la question de l’eau avec l’association Amitié Palestine Solidarité à Aulnay-sous-Bois

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Associations

Publié le 19 Juin 2015

Violente altercation entre des policiers et une quarantaine de personnes dans un hall d’immeuble à Aulnay-sous-Bois

Intervention mouvementée hier en fin de journée à Aulnay-sous-Bois. Le contrôle d'un hall d'immeuble par des policiers de la brigade anti-criminalité a dégénéré. D'après les autorités, quatre policiers ont été pris à partie par une quarantaine de personnes. Pour se dégager, l'un des fonctionnaires a utilisé son flash-ball.

Un homme de 27 ans a été blessé à une tempe, et un médiateur, intervenu pour calmer la situation, a été blessé à une main, peut-être aussi par le projectile du flash-ball. Le blessé n'a pas perdu connaissance, il est sous surveillance à l'hôpital. « Les médiateurs et l'association Saddaka se sont tout de suite mobilisés pour apaiser la situation », se satisfait Séverine Maroun, première adjointe.

Source article : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 18 Juin 2015

Vous n’avez pas pu visiter les serres municipales fin mai, c’est dommage, vous y auriez découvert de petites merveilles. Le thème principal en était les papillons et de nombreuses écoles ont participé à l’élaboration de ces décors.

Retour en images sur les serres municipales et les papillons à Aulnay-sous-Bois

Vous avez de vieilles bottes de pluie, un vieux solex ou de vieilles chaises, surtout ne les jetez pas ! Inspirez-vous de ces idées de décoration pour vos jardins ou balcons:

Retour en images sur les serres municipales et les papillons à Aulnay-sous-Bois

Mais les vrais papillons étaient là aussi, en particulier les paons du jour dans toute leur splendeur :

Retour en images sur les serres municipales et les papillons à Aulnay-sous-Bois

Hors les murs, le jardin était lui aussi plein de surprises, comme cette Maya bien cachée dans les buissons, ou cette petite coccinelle ou notre ami Coco, sans oublier le petit coq du matin ou les insectes dans leur hôtel 3 étoiles:

Retour en images sur les serres municipales et les papillons à Aulnay-sous-Bois

Dehors, les arbres régnaient en maîtres, en particulier le Liquidambar ou Copalme d’Amérique qu’on peut admirer rue Coullemont ou Avenue Anatole France

Il vous manque une belle décoration de table, voilà un beau bouquet dans un camaïeu de rose. Et les artichauts ! Et le mur végétal ! C’était magnifique et toujours plein d’humour.

Retour en images sur les serres municipales et les papillons à Aulnay-sous-Bois

Bravo et merci à toute l’équipe des Espaces Verts qui a su aménager tout un parcours magique et plein de charme pour le plaisir des yeux

Anne-Marie

Retour en images sur les serres municipales et les papillons à Aulnay-sous-Bois

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Publié dans #Environnement

Publié le 18 Juin 2015

Après un incendie, retour de la famille de Kandia dans son appartement de la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois

La famille de Kandia retrouvera à la mi-juillet son appartement de cinq pièces, dans le quartier de la Rose-des-Vents, à Aulnay-sous-Bois. C'est ce qu'a indiqué le bailleur, le Logement Francilien. Il y a un an, la jeune fille, aujourd'hui âgée de 17 ans, avait été grièvement brûlée dans l'incendie du logement familial, et avait sauté du 4e étage pour échapper aux flammes. Trois jeunes l'avaient réceptionnée, au péril de leur vie.

Après neuf mois d'hospitalisation, Kandia a retrouvé sa famille de huit personnes, relogée dans un quatre-pièces, dans le même quartier. « Cela devait durer trois mois. On y est depuis un an », témoignait dimanche la jeune lycéenne, qui indique avoir besoin d'une chambre climatisée, en raison des séquelles de ses blessures (elle a été brûlée au 3e degré dans tout le dos).

« Ce relogement était provisoire, pour une durée de trois mois renouvelables, le temps des travaux de remise en état dans l'appartement incendié, indique une porte-parole de Logement Francilien. Or, il y avait beaucoup de travaux, car la structure du logement avait été touchée. Le chantier se terminera mi-juillet, et nous avons annoncé à la famille qu'elle pourrait réintégrer les lieux. »

Le logement n'était pas assuré lors du sinistre

Le bailleur confirme avoir assigné la famille, pour un défaut d'assurance au moment du sinistre : « Les travaux coûtent 80 000 €. Notre assurance prend en charge 60 000 €. Il reste une franchise de 20 000 € que nous devons récupérer. » L'assurance pourrait elle-même se retourner par la suite contre les locataires. Le bailleur doit en revanche leur rembourser des charges réclamées par erreur pour l'appartement incendié.

Il semble enfin exclu d'installer un climatiseur : « Nous n'avons été saisis d'aucune demande en ce sens. D'ailleurs nous ne savions pas que la jeune fille était revenue chez ses parents. » La municipalité indique de son côté qu'elle continue « de suivre de près la jeune fille et sa famille ».

« Ils ont été pris en charge par le centre communal d'action sociale dès le jour de l'incendie », rappelle Aïssa Sago, maire adjointe à l'action sociale, qui précise : « Je vois moi-même régulièrement la mère de Kandia. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 11 Juin 2015

Polémique sur la présence de Valérie Pécresse à la mairie d’Aulnay-sous-Bois pour le congrès des élus portugais

Le congrès des élus portugais qui s'est réuni à la mairie d'Aulnay-sous-Bois le 31 mai aurait peut-être eu moins de publicité sans la présence de Valérie Pécresse. Localement, tout au moins. Le blog Monaulnay.

com s'emeut en effet de cette invitation et se demande si l'hôtel de ville n'a en somme pas été privatisé pour un meeting politique.

Tapis rouge, petits fours, magnums de pétillant... La description sur Monaulnay.com est détaillée, sous la plume d'Hervé Suaudeau, militant associatif et citoyen écolo. Il n'y était pas, mais il lui a suffi de se promener sur les réseaux sociaux pour avoir quelques clichés de la réunion à laquelle participait Valérie Pécresse, qui brigue la présidence de la région Ile-de-France pour Les Républicains (ex-UMP) en décembre.

« Ce n'est pas à ce titre qu'elle était conviée, assure Paulo Marques, président de Civica, l'association des élus portugais, et conseiller municipal de la majorité à Aulnay-sous-Bois, en charge des relations internationales. Elle intervenait en tant qu'ancienne ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche au sujet de la coopération entre la France et le Portugal. Civica réunit des élus de toutes tendances politiques, nous ne pourrions pas nous permettre de ne pas avoir de diversité politique. » Et d'ajouter que rien n'a été déboursé par la ville. « Le tapis rouge, le traiteur... tout a été payé par Civica, jusqu'au pupitre ! » tient à préciser Paulo Marques.

« Ça n'était pas un congrès des Républicains ! » martèle Bruno Beschizza, un brin agacé de devoir répondre à des supputations d'un blog. Et de rappeler que la mairie « prête du matériel ou des salles pour d'autres partis ».

« Les associations savent désormais qu'elles peuvent louer la mairie », présume Hervé Suaudeau.

Tout dépend des demandes... « Civica n'est pas n'importe quelle association, répond-on dans l'entourage du maire. On parle ici d'un congrès d'élus, avec des secrétaires d'Etat étrangers... On n'allait quand même pas les recevoir dans une salle municipale. »

A la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), on rappelle qu'il est « courant que des maires prêtent gratuitement des locaux » « et tant qu'elles le font avec équité, il n'y a pas de souci ». « Un candidat à une élection peut participer à une réunion, précise encore une porte-parole de la commission, à condition qu'il ne parle ni de l'élection, ni de son programme, sinon, on doit le retrouver sur son compte de campagne. » Le maire comme Paulo Marques assurent que non.

Les proches soutiens de Valérie Pécresse n'ont en tout cas pas manqué l'occasion de diffuser des photos rebasculées sur le compte de campagne Twitter de leur candidate.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 11 Juin 2015

Un cas de tuberculose à l’école Nonneville d’Aulnay-sous-Bois

L'enfant va bien mais, secret médical oblige, on n'en saura pas plus sur son état de santé. A la mairie d'Aulnay-sous-Bois, on confirme qu'il y a bien eu un cas de tuberculose déclaré à l'école Nonneville, le 27 mai et, dans la foulée, que la procédure de rigueur a été déclenchée.

Avant-hier, à 18 heures, tous les parents d'élèves des écoles Nonneville 1 et 2 ont été invités à participer à une réunion d'information au réfectoire de l'école. Soit les familles de 560 enfants au total. « Pour répondre à toutes les questions et lever les doutes qui pourraient exister », explique-t-on au cabinet du maire (Les Républicains), Bruno Beschizza. Les représentants du centre départemental de dépistage de prévention sanitaire étaient attendus.

A entendre une représentante de parents d'élèves, le sujet ne semble pas créer de psychose. Pour autant, la réunion était la bienvenue, car les questions ne manquent pas, comme celle de savoir ce qu'il advient des habitants du quartier ou du voisinage direct de l'enfant.

Un dépistage aura lieu dans l'établissement du 16 au 19 juin

Un dépistage d'élèves (trois classes de CP et une classe de CE 1) et d'adultes de l'école est d'ores et déjà programmé du 16 au 19 juin. « Ce n'est pas la grippe ni la rougeole, précise le Dr Michèle Vincenti-Delmas, responsable de la lutte antituberculeuse. Il faut qu'il y ait un contact prolongé à distance de conversation dans les trois mois précédents. »

Les équipes du conseil départemental sont rodées à la gestion de crise. En 2014, 3 100 personnes ont été dépistées. Cette maladie infectieuse, due au bacille de Koch, frappe les personnes les plus vulnérables (en état de précarité, âgées ou moins vaillantes en termes d'immunité), et est davantage présente en Ile-de-France, avec 1 747 cas en 2012 pour 4 789 en France. Dans 90 % des cas, la bactérie reste au repos dans l'organisme et ne provoque pas la maladie pulmonaire. Un traitement approprié fait cesser la contagion.

Hasard du calendrier, avant-hier, la convention entre le conseil départemental et l'Agence régionale de santé sur les centres de dépistage a pris fin, à la suite d'un désaccord de calcul sur le montant du financement. Le département avait décrété ce 9 juin journée morte dans les sept centres de dépistage et a lancé une pétition sur Internet pour sauver la santé.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé

Publié le 8 Juin 2015

Les activités périscolaires à Aulnay-sous-Bois confiées à un prestataire extérieur

C'est un changement qui soulève quelque inquiétude parmi le personnel municipal et les parents d'élèves. La ville d'Aulnay va faire appel, à partir de septembre prochain, à un prestataire extérieur pour l'encadrement de l'accueil de loisirs et les activités périscolaires dans ses écoles. Le marché public, d'une durée de deux ans, est en cours d'attribution.

Les trois cents animateurs travaillant dans les écoles (accueils du matin et du soir, cantines), les centres de loisirs (mercredis et vacances scolaires), auront donc un nouveau patron. Ce prestataire devra également prendre en charge l'encadrement des futures activités périscolaires, mises en œuvre dans le cadre de la réforme. Celles-ci resteront gratuites. Les études surveillées du soir resteront en revanche assurées par les enseignants.

Au cabinet du maire UMP Bruno Beschizza, on évoque des «économies d'échelle », mais on assure que ce choix «va améliorer la qualité du service», en ayant recours à un prestataire unique. Jusqu'à présent, le système était mixte : les animateurs travaillaient pour la ville et/ou pour la Ligue de l'enseignement, association d'éducation populaire. «L'idée, c'est de professionnaliser les animateurs, avec un plan de formation», insiste-t-on en mairie, où l'on affirme que la totalité du personnel sera transféré au nouveau prestataire. Celui-ci veut, semble-t-il, privilégier les emplois à temps plein, là où le temps partiel était largement répandu.

«Ces petits horaires ça permettait à des jeunes et des mères de famille d'avoir un complément de revenus, explique Sylviane Brousse, du syndicat CGT des territoriaux d'Aulnay. Aujourd'hui, c'est le flou, alors que tout se met en place en septembre.» «Tout le monde ne sera pas repris», prédit Véronique Iannarelli, directrice d'animation et déléguée FO. Elle-même, employée de la ville depuis 19 ans, s'inquiète : «A 55 ans, j'aurais du mal à retrouver du travail. Si je suis reprise, j'espère qu'on tiendra compte de mon grade et mon ancienneté.»

«Le maire se décharge sur le secteur privé», râle une maman du collectif de parents d'élèves RPE, né il y a un an. L'association, très remontée contre les choix de la municipalité en matière de rythmes scolaires, s'interroge sur la nature des activités périscolaires qui seront mises en place l'an prochain. Le test mis en œuvre cette année dans 13 puis 26 écoles, n'a pas convaincu : «Des jeux de carte, des jeux de ballon, un atelier sur le sommeil... Franchement, ce n'est pas ce qu'on peut espérer de mieux pour nos enfants», lâchait récemment une mère de famille lors d'une réunion. Après avoir manifesté contre le samedi matin, le collectif, qui compte plusieurs membres de la FCPE locale --dont une ancienne élue de l'équipe PS-- veut « continuer à se battre » et être « force de proposition » alors que la ville doit se doter d'un projet éducatif territorial.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education