Publié le 12 Avril 2013

Une centaine de salariés en grève de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois ont envahi le mercredi 10 avril au matin le siège national de Pôle emploi, situé Porte des Lilas, à Paris(XXe). Selon le délégué CGT Jean-Pierre Mercier, joint par leparisien.fr, ils sont arrivés à bord de deux cars, à l'ouverture des bureaux, à 9 heures.

«On a envahi le CCE. On a pris la parole pour dire notre opposition à la fermeture de l'usine et qu'on ne voulait pas finir à Pôle emploi», a ajouté Jean-Pierre Mercier. Les salariés ont chargé le directeur général de Pôle emploi Jean Bassères de «faire passer le message au ministre du Travail». Leur occupation des locaux a duré environ une heure.

Le délégué CGT a rappelé que l'usine d'Aulnay était en grève depuis plus de trois mois. «C'est rare, cela prouve notre détermination. Le fait qu'on ne lâchera pas, il faut que le gouvernement se le dise», a-t-il prévenu.

 

Pour rendre leur action plus visible, les ouvriers ont redécoré la façade d'entrée du siège de Pôle emploi en la recouvrant d'inscriptions telles que «PSA voyou», «non à la fermeture d'Aulnay» ou «on veut pas finir ici». Des affiches contre l'accord sur l'emploi, «meurtre avec préméditation du code du travail» avaient également été collées en nombre. 

Dans un communiqué, le syndicat SUD a indiqué «soutenir cette action», qui s'est opérée «pacifiquement», et «dénoncé la restructuration en marche dans le secteur automobile au détriment de l'emploi». «Encore une fois les salariés sont la variable d'ajustement qui pallie les erreurs de stratégie des dirigeants d'entreprises», estime le syndicat.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 12 Avril 2013

Je me garderais bien de me prononcer sur le fond du dossier. Certains disent qu’il ne peut y avoir de site sidérurgique qui ne soit à proximité d’un port. D’autres qu’il y a une surcapacité mondiale de la production d’acier. D’autres encore que l’Europe ne saurait abdiquer face aux pays émergents et qu’il faut d’ores et déjà préparer la reprise qui se profile. Je laisse donc aux spécialistes le soin de trancher.

Je note seulement que dans le grand barnum médiatique, notre ancien Président s’est grandement illustré. « Je ne vous laisserai pas tomber », a-t-il dit, jadis, aux ouvriers de Gandrage, avec le résultat que l’on sait : tout est fermé aujourd’hui. Seule subsistait une plaque commémorative « En souvenir des promesses de N. Sarkozy ». Las, depuis, elle a été volée…

sarko-promesses-unejpg.jpg

Et que dire de notre nouveau Président ! C’était au temps, qui paraît déjà fort ancien, d’une propagande électorale. N’écoutant que son courage, et au péril de sa vie, il se jucha sur un camion et pris un mégaphone pour s’écrier quelque chose comme ça « Je suis de tout cœur avec vous et je ne vous oublierai pas. Nous ferons passer une loi, pour obliger quelqu’un qui ne le veut pas, à céder à un repreneur, une activité qu’il ne désire pas poursuivre ». Paroles, paroles, comme disait la regrettée Dalida. Depuis, nous attendons toujours…

Ni le charisme du leader syndical, E. Martin, ni le soutien de B.Lavilliers et des élus locaux, ni le pas de deux « Ayrault-Montebourg » sous les auspices de l’hypocrisie hollandienne, n’ont permis de faire bouger les lignes : il y a tout lieu de penser que les haut-fourneaux de Florange vont définitivement cesser…

Comme un symbole, la dernière flamme s’éteindra lundi ! Comment ne pas comprendre la colère de ceux que l’on a pris pour des gogos, (ô le vilain mot) en échange médiocre de  quelques voix…

De droite ou de gauche, me direz-vous ! Mais, peut importe, si c’est pour aboutir aux mêmes fausses promesses et aux mêmes impuissances !

Veritis

 

 

 

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 12 Avril 2013

jilislucky.pngJil is Lucky et Mountain Men seront en concert ce soir à 20h30 au Cap, la scène des musiques actuelles du monde. Vous trouverez ci-dessous quelques mots sur ces artistes.  

Après un premier album sorti en 2009, influencé par Léonard Cohen, Otis Redding, les Beach Boys, une tournée de 18 mois avec un titre phare The Wonderer, illustrant le spot publicitaire Flower By Kenzo, Jil is Lucky est retourné en studio pour réaliser un deuxième disque pop et rythmé. Julian Casablancas, Noah and the Whale ou encore les Maroon 5 ont collaboré à ce projet résolument moderne, co-réalisé avec Jason Lader. Jil is Lucky nous dévoile sur scène une nouvelle approche des sonorités et des arrangements.

Deuxième album In the tigger’s bed sorti le 5 février 2013.

Nominés deux fois aux Awards de la Blues Foundation de Memphis en 2009 avec leur premier album Springtime Coming, Mr Mat et Barefoot Iano reçoivent le prix spécial du célèbre Cognac Blues Passion Festival et se produisent aux quatre coins du globe. Avec une voix grave et enivrante portée par des envolées d’harmonica, le duo franco-australien nous embarque dans un blues communicatif qui va droit au coeur. Teintée de rock et de folk, leur musique déclenche des émotions fortes. Le groove et le charisme des Mountain Men sur scène est un régal d’énergie.

Deuxième album Hope sorti en octobre 2012

Le Cap, 56 rue Auguste Renoir à Aulnay-sous-Bois. Tarifs : 5, 8 ou 10 euros. Renseignements au 01 48 66 94 60.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 11 Avril 2013

Bionoor, société dont le siège est à Aulnay-sous-Bois, annonce que l’enseigne Monoprix (groupe Casino et groupe Galeries Lafayette) renouvelle leur partenariat : une part des bénéfices issus de la vente des dattes biologiques est utilisée pour financer le vaste programme de reforestation pédagogique engagée depuis plusieurs années par Bionoor. Pour en savoir plus, voire pour financer vous-mêmes la plantation de plusieurs arbres dans des écoles en Afrique, nous invitons à lire ou relire l’article consacré à Bionoor en 2010 : One, two, t(h)ree, plantons en Algérie. Fin août 2012, Bionoor investissait le marché de la viande en lançant Tendre France, première marque de viande halal certifié bio.

 

Source : http://www.al-kanz.org

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 11 Avril 2013

LE COLLECTIF POUR AULNAY VOUS INFORME SUR :

LE NOUVEAU PLAN DE CIRCULATION DANS LE SUD DE LA VILLE

collectifpouraulnay.pngAlors que le dernier «Oxygène» vient de vous annoncer la fin de la concertation sur le plan de circulation, le Collectif pour Aulnay souhaite vous faire parvenir un autre point de vue.

Les opposants sont nombreux à ce projet qui sera mis en place très prochainement et qui touche nos déplacements quotidiens.

Sous forme de « concertation » avec les riverains, 3 réunions ont été organisées afin de pouvoir débattre sur ce nouveau plan.

À ces réunions, aucune alternative n’a pu être proposée lorsque des problèmes étaient soulevés.

Il est bien loin, le temps où le Maire Gérard Segura promettait d’organiser des référendums de quartier pour des sujets aussi importants que celui-ci.

Imaginez un peu : 

- Plusieurs rues seront mises en sens unique dont l’ensemble du Boulevard de Strasbourg (le GPS deviendra vite votre meilleur allié),

- L’Avenue Jean Jaurès et la route de Bondy, 2 grands axes structurants, seront également mises en sens unique.

Notons qu’une rangée d’arbres sur la route de Bondy risque de disparaître au profit d’une piste cyclable.

Tous ces changements sans prendre en compte les nouvelles constructions actuelles et à venir !

- Quid du stationnement ? Il a été annoncé que 300 places seront amenées à disparaître

: les rues seront encore plus engorgées !

- Sans oublier la place de la gare, où les bouchons sont déjà existants. Cela risque d’empirer avec la mise en place de ce nouveau plan de circulation !

Êtes-vous prêts à subir des bouchons pour rentrer chez vous ?

Etes-vous prêts à une circulation accrue dans les petites rues et un stationnement intempestif ? La réponse est NON ! Trop c’est trop

Comptez donc sur nous pour continuer à vous informer, nous ne lâcherons rien !

Le Collectif pour Aulnay

 

Stéphane FLEURY                            Benjamin GIAMI

Président de l’association DZPAB          Président de l’association QCBE

04. 04. 2013

Contact : lecollectifpouraulnay@gmail.com

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 11 Avril 2013

Décidément, tous les blogs socialistes ne se ressemblent pas…homme-bandeau-yeux

« La crise d’un système » Tel est le titre d’un article publié par le sénateur socialiste de la Nièvre Gaêtan Gorce  dans son blog, le 9 avril 2013.

Un vrai bijou de lucidité sur les mœurs et les pratiques du Parti socialiste, vu par quelqu’un qui connaît très bien, et pour cause, ce parti de l’intérieur…

Qu’on en juge, et surtout que l’on compare ces propos avec ceux d’un blog aulnaysien intitulé, comme par hasard (mais où va se nicher l’inconscient ?) « D’un seul blog » !

« Cahuzac après Strauss-Khan, et alors que d’autres affaires sont en cours : tout cela ne peut plus être mis sur le compte seulement des personnes. Tout cela au contraire fait système ! » dit, en effet, Gaëtan Gorce…

Puis il poursuit : « C’est la dérive clanique qui s’est emparée du parti socialiste qui a conduit presque mécaniquement à cette situation. DSK, pas plus que Cahuzac, ne sont des accidents. Leur attitude, et plus encore le sentiment d’impunité qui, manifestement, les habitait, sont la conséquence d’un processus d’oligarchisation de l’appareil dirigeant du parti : à mesure que les luttes de clan ont perdu toute dimension idéologique se sont constitués des groupes d’intérêt visant seulement à perpétuer le pouvoir et l’influence de leur chefs, le cynisme prenant la place des convictions, le rapport de force celle de la confrontation d’idées ». On ne saurait mieux dire !...

Tout cela s’est accompagné, rajoute Gaëtan Gorce par des victoires aux élections locales « offrant mandats et emplois à des ribambelles d’alliés, clients et porte-flingues en tout genre, peu portés à dénoncer des errements auxquels ils étaient indirectement associés. » Je crois que c’est suffisamment clair pour que chacun puisse se reconnaître !...

Pour Gaëtan Gorce, tout cela a été facilité par un triple processus :

 

1) La confiscation du parti par une bourgeoisie d’appareil (diable, on croirait entendre un trotskyste !)

2) Le produit d’une professionnalisation à outrance de la vie publique qui fait que l’on devient toujours plus tôt, toujours plus jeune, dépendant, pour vivre, d’un mandat ou de celui ou celle qui l’exerce. (Bien évidemment, tout cela, n’a rien à voir avec ce qui se passe en Seine-Saint-Denis…)

3) La « peopolisation » de la politique qui a conduit pour une partie de ses dirigeants à faire de la notoriété médiatique et des facilités qu’elle offre une fin en soi et développe connivences et passe-droits.

 

    Puis, il conclue ainsi : «  Si rien ne change qu’à la marge, nous, socialistes, connaîtrons  la lente agonie de tous ceux qui, un jour, ont refusé de voir la vérité en face et d’en tirer les conséquences. Le regard que porte déjà sur nous une bonne partie des Français, et parmi les plus modestes, n’est-il pas déjà suffisamment douloureux à supporter ? »

Tout est dit. Ou presque...

Veritis

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 11 Avril 2013

cuivre.jpgMardi, à 20h30, cinq voleurs de cuivre ont été interpellés à Aulnay-sous-Bois, dans le secteur de Garonor. Ils étaient en train de décharger de 2 m3 de bobines de cuivre qu’ils venaient de dérober sur un chantier. Depuis le début de l’année, une recrudescence de vols de métaux sur les chantiers a été constatée, indique-t-on à la préfecture.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 11 Avril 2013

PSARECUPLe calendrier s’accélère à nouveau pour les salariés de l’usine PSA d’Aulnay. Le plan social (qui prévoit la fermeture du site en 2014) doit être validé le 19 avril, lors d’un comité central d’entreprise. Ce matin, le tribunal de Paris examine enfin les requêtes des syndicats CGT et Sud, qui réclament la suspension ou l’annulation du plan, dénonçant ses « insuffisances ». Hier, une centaine de grévistes ont envahi le siège de Pôle emploi à Paris, refusant de voir l’usine fermer.

En coulisses, les tractations avancent. Elus, entreprises, direction de PSA semblent désormais s’entendre autour de la réindustrialisation du site, même si pour l’heure, le maire PS d’Aulnay, Gérard Ségura, assure n’avoir pas donné d’« accord définitif ».

593 emplois avec des salaires plus bas

Le compte à rebours est lancé pour la société ID Logistics, principale candidate à l’installation sur les terrains de PSA. Son objectif : déposer une demande de permis de construire début juin pour bâtir ses entrepôts (144000 m2 au total) sur 25 ha, à cheval sur les territoires d’Aulnay et de Gonesse (Val-d’Oise). Un premier bâtiment pourrait être construit à partir d’avril 2014, pour être livré en décembre. S’il n’a pas souhaité nous répondre, le PDG Eric Hémar a en revanche fourni des précisions écrites aux élus et à PSA. Il promet la « création immédiate de 593 emplois temps plein, dont 540 en création nette en parfaite adéquation avec les compétences des salariés de l’usine » (306 préparateurs de commande, 84 caristes, mais aussi 55 administratifs, 66 chefs d’équipe etc.). A terme, ce sont 690 emplois qui doivent être créés. ID Logistics insiste sur « la qualité des équipes formées par PSA Peugeot Citroën, qui a été déterminante dans la décision de notre groupe de s’implanter sur le site d’Aulnay », et avance l’idée d’une « reconversion pérenne » du site.

ID Logistics a cependant déjà annoncé qu’elle recruterait à « ses conditions », et avec sa grille de salaires, inférieure à celle de PSA. « Un ouvrier ayant peu d’ancienneté ne perdrait que 100 €, mais l’écart est bien plus grand pour les anciens », note Tanja Sussest, déléguée du SIA. Jean-Pierre Mercier, de la CGT, pointe ainsi une perte de 660 € pour un cariste travaillant depuis 20 ans chez PSA. Franck, moniteur de ligne, s’est renseigné auprès de son chef : « Je toucherais un salaire de 1100 € par mois contre 1500 € nets aujourd’hui. En plus, il n’y a pas de 13e mois chez ID Logistics! » PSA s’est toutefois engagée à combler une partie de cette différence de salaires durant deux ans (en versant jusqu’à 300 € par mois la première année, puis 200 €).

La semaine dernière, les maires socialistes d’Aulnay et de Gonesse ont été reçus à Bercy par Arnaud Montebourg. Ils ont présenté au ministre du Redressement productif plusieurs études sur l’aménagement du site. L’Etat prendra-t-il part à ce chantier? Il est sans doute encore un peu tôt pour avoir une réponse.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 11 Avril 2013

bouquinsUne trentaine de personnes, passionnées de culture (théâtre, cinéma, ateliers artistiques, musique, philosophie…) se retrouvent à la conférence littéraire mensuelle sur un livre, un auteur. En amont, le groupe se réunit un jeudi par mois pour partager ses lectures et ses découvertes culturelles sur un pays mis à l’honneur. Rendez-vous donc aujourd'hui à la bibliothèque Dumont à partir de 14h.

Source : Oxygène n°175

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 10 Avril 2013

Vous trouverez ci-dessous une lettre d’Aulnay Environnement adressée au maire Gérard Ségura. Dans cette missive l’association présidée par André Cuzon demande la révision du Plan Local d’Urbanisme (PLU).

Aulnay Environnement                                 le 2 avril 2013

                                                A Monsieur Segura maire d’Aulnay

                                                Monsieur le Maire,

aulnayenvironnementSuite à notre assemblée générale et suite à la série de réunion que vous avez organisé, nous vous demandons une rencontre en particulier pour faire le point sur l’avenir de la ville et particulièrement sur la nécessaire révision du PLU, que nous défendons et défendrons près de tous les candidats aux élections municipales.

Le processus de débat public pour définir la ville de demain doit être négocié. A ce jour nous sommes atterrés de constater que le diagnostic du PLH réalisé en juin 2012 ne soit pas encore publié : ce devrait être un préalable.

L’autre élément déterminant c’est le diagnostic du PLU en cours révisé en 2008 et modifié profondément en 2009 et 2010. Nous avons étudié quelques cas de permis de construire qui illustrent les conséquences graves du règlement en cours.

En particulier dans la zone pavillonnaire, la suppression du COS, la facilitation des divisions de terrains et des constructions en plusieurs logements ont donné le signal à toutes les dérives : les constructions illégales sans tenir compte des règlements et le non-respect des permis est si banale que nous allons vers un marché où les marchands de sommeil seront rois et à terme vers la création des bidonvilles du XXI siècle.

Ce diagnostic du règlement actuel est urgent. Pour nous cela doit se faire dans le cadre de la révision du PLU.

Le service des « permis de construire » qui croit bien faire a tendance à dire : « il est interdit d’interdire » et comme personne ne vérifie la conformité il faut que les particuliers portent plainte contre les voisins en cas de construction illégale, ce qui socialement est difficile.

Il faut que la municipalité se donne les moyens de la conformité des constructions et fasse respecter les règlements d’urbanisme : la carte 3D doit être un outil pour cela.

Il faut mettre réellement cartes (dossiers) sur tables avec des études de cas : sinon c’est le règne de la communication ou de la propagande.

Nous vous joignons 2 cas de permis de construire qui illustrent la nécessité de réviser le PLU de notre point de vue.

En résumé revoir il faut revoir les règlements d’urbanisme et les faire respecter : c’est tout un programme.

Dans l’attente d’un rendez-vous recevez monsieur le maire nos meilleures salutations.

(1) Les rendez-vous d’Aulnay

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Urbanisme

Publié le 10 Avril 2013

articlesupermetroVous trouverez ci-dessous un article du Parisien qui évoque la spéculation immobilière qui commence autour des futures gares du supermétro du Grand Paris Express. Pour mémoire celle d’Aulnay-sous-Bois devrait être construite aux abords du carrefour de l’Europe.

Sur certaines petites annonces immobilières, c’est déjà un argument de vente. « Proche de la future gare du Grand Paris Express de Vitry-Centre » pouvait-on déjà lire, il y a quelques semaines, dans le descriptif d’un pavillon sur un site Internet spécialisé. Cela ressemble à une fatalité : l’arrivée du Grand Paris Express, ce supermétro qui doit relier les banlieues entre elles, va faire monter les prix de l’immobilier aux abords de ses gares. Et risque, in fine, de repousser certaines populations qu’il devait desservir.

Les pouvoirs publics se sont donc dotés d’un outil dédié. Un observatoire des prix du foncier et de l’immobilier aux abords des gares du Grand 
Paris a en effet été lancé hier à l’occasion de l’Assemblée des maires d’Ile-de-France, qui se tient au Parc floral de Paris (XIIe). La structure associe la Société du Grand Paris (SGP), la préfecture de région et la chambre de notaires de Paris et doit fournir une image précise de l’évolution des prix autour des gares.

« Nous avons souvent été questionnés sur les risques de montée des prix de l’immobilier, explique Etienne Guyot, le président de la SGP. C’est notre responsabilité de maître d’ouvrage d’en savoir plus. » D’autant que la SGP doit acquérir entre 5500 et 6000 parcelles pour réaliser son réseau de transport.

Préemption, zonage ou acquisitions pour faire face

L’observatoire réalisera une synthèse semestrielle — « c’est-à-dire quasiment en temps réel en matière d’immobilier », explique-t-on à la SGP — sur un périmètre de 800 m autour de chacune des 72 gares attendues. De quoi donner un bon aperçu de l’impact du Grand Paris Express sur les prix de l’immobilier.

Les pouvoirs publics vont-ils se contenter d’observer la flambée des prix? « La connaissance, c’est la base de l’action, assure le préfet de région, Jean Daubigny. Nous avons besoin de ne pas laisser dériver les choses. »

Pour ce faire, le représentant de l’Etat évoque des pistes. « Dès lors que se manifesteront des indices de tension, on peut utiliser plusieurs procédures : la préemption par les collectivités locales, des mesures de zonage voire des acquisitions de terrain à titre conservatoire, détaille Jean Daubigny. C’est aussi le moyen d’éviter que la réalisation du réseau ne coûte trop cher à l’Etat. »

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Urbanisme

Publié le 10 Avril 2013

Nous ne savons pas si cette question est fondamentale. Quoi qu’il en soit, puisque cette interrogation a germé dans certains esprits, nous sommes allés directement demander à l’intérieur du restaurant Quick, qui a ouvert ses portes hier à Aulnay-sous-Bois, de quoi il retournait. Ainsi, le nouveau Fast Food du carrefour de l’Europe n’est pas Halal. La seule mention apparaissant sur les menus concernant la viande est qu’elle est certifiée 100 % pur bœuf.


Par ailleurs, nous avons appris que l’autre Quick situé celui-là dans le centre commercial O’Parinor doit également subsister. Les deux espaces d’alimentation vont donc cohabiter malgré le peu de distance entre eux. Voilà pour les informations. Enfin, nous vous proposons deux vidéos commentées tournées sur place par un des reporters de la rédaction d’Aulnaylibre ! qui a la fois montrent les lieux et donnent de plus amples explications.

Et puisqu’il est midi, nous vous souhaitons bon appétit bien sûr !

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Commerce

Publié le 10 Avril 2013

choc_h.jpgLa vie est amusante…Comment ce Président, si fade, si insipide, si peu inspiré, en vient, peut-être pour se réveiller lui-même, à utiliser par trois fois le mot choc pour définir quelques maigres lignes d’action qu’il essaye de tracer, et toujours en réaction  face à des situations qu’il ne peut maîtriser ?

Comme si notre société avait besoin de chocs supplémentaires ! Le mot choc est un mot négatif.  Quand il y a choc, il y a coupure, blessure ou meurtrissure. Tout le contraire d’une société apaisée ayant l’intelligence d’arbitrer ses conflits grâce au dialogue et au bon sens. On n’attend donc pas d’un Président qu’il gouverne à coup de chocs mais qu’il fasse preuve d’une autorité naturelle lui permettant de présider aux destinées du pays en rassemblant le plus possible, c’est à dire en évitant si possible les chocs inutiles.

De quels chocs s’agit-il, donc ?

Un choc de compétitivité.

Diable, il a fallu huit mois au chef de l’Etat pour s’apercevoir que l’industrie française souffrait d’un déficit de compétitivité. D’autant qu’il a tout fait, lui-même, pour l’affaiblir dès son élection.  Un coup de barre à gauche, puis un coup de barre à droite, rien de tel pour ramer donc… quand on est, précisément, un mauvais rameur !

D’où l’adoption d’un crédit d’impôt de 20 Milliards d’euros (un cadeau dit la gauche de la gauche) ouvert en 2014 en faveur des entreprises pour restaurer leur compétitivité. Financé, pour moitié, par une augmentation de la TVA frappant les consommateurs. Laquelle, jamais, ô grand jamais, ne devait intervenir, du moins le temps de la dernière campagne électorale ! Vous avez dit « gogo » ? Oui, j’ai bien dit « gogo » !

Hélas, cette bonne idée s’est transformée, les énarques de Bercy ou de l’Elysée étant passés par là, en une véritable machine à gaz, incompréhensible pour les chefs d’entreprise et donc inefficace ! De plus, ouverte à tous, alors qu’il fallait la cibler pour les entreprises industrielles soumises à la compétition internationale. De sorte que la grande distribution, les compagnies d’assurance ou les banques vont bénéficier d’un tel dispositif. Pensez-vous qu’elles en aient vraiment besoin ? A ce stade, ce n’est plus simplement de l’amateurisme, c’est de l’incompétence.

Des machines à gaz administratives, on passe donc au fameux choc de simplification…

Un choc de simplification.

En panne d’idées, F. Hollande ressort donc ce fameux serpent de mer !... Mais comment peut-il être crédible, quand on voit, ne serait-ce que la démentielle complexification fiscale qui a été votée par le Parlement, dès l’élection de F. Hollande ? 

Avez-vous déjà eu affaire à l’Administration ? A tous ces règlements, normes, lois, décrets qui sortent tous les jours, à tel point que même les spécialistes les plus pointus finissent par s’y perdre !

A vrai dire, c’est la nature même de la bureaucratie que de produire toujours plus de bureaucratie. C’est la raison pour laquelle, il faut tout faire pour limiter le poids de ce monstre froid, sauvage et impersonnel dont le seul but est de se perpétuer lui-même. Mais croyez-vous que tous ceux qui n’ont connu comme univers que la politique professionnelle ou la haute administration publique soient les mieux placés pour conduire une telle révolution ?...Cessons d’être naïfs, une fois encore !

Et maintenant, « last but not least », tout ce qui paraissait évident à un honnête citoyen, mais ne semblant pas l’être aux plus hauts niveaux de l’Etat, voilà qu’on nous ressort, de derrière les fagots, un choc de moralisation.  On croit rêver ! Mais dans quel monde vivons-nous ?

Un choc de moralisation

Voilà donc ce qui va nous occuper cette semaine ! Des esprits « brillants » concoctent donc des projets de loi, avec force déclarations de patrimoine, comité « Théodule »  pour vérifier,  sanctions en cas de défaillance….Bref, on essaye d’amuser la galerie, en faisant semblant de réagir face aux vrais chocs que subit l’opinion publique devant les révélations en cascade dont elle prend connaissance, et qui ne sont souvent que des demi surprises, tellement la classe politique, en général, est discréditée !...

Tout se passe comme s’il fallait édicter un règlement intérieur face à des élèves d’une école primaire, tout simplement pour qu’ils ne fassent pas de bêtises. Nous savions déjà, au vu de leurs échanges à l’Assemblée ou lors d’un Conseil municipal, que c’étaient de grands enfants, mais qu’en plus  ils faillent les surveiller de près pour vérifier qu’ils ne soient pas tricheurs ou malhonnêtes, tout cela nous laisse proprement pantois !...

Dans les pays scandinaves, un ministre qui engage une dépense personnelle sur le compte de son ministère, octroie une faveur ou en bénéficie, démissionne sur le champ. On cultive la simplicité. Le ministre ne bénéficie d’aucun privilège, il est au service de ses concitoyens, conformément à l’étymologie de ce mot. Il est là pour servir et non pas se servir.

Est-ce trop demander ?  Tout cela est avant tout, une question d’état d’esprit. On aura beau faire tous les règlements que l’on voudra, si la mentalité de nos responsables ne change pas, tout cela restera lettre morte.

Vaste programme, donc, qui va bien au-delà des petites mesurettes que l’on nous prépare dans l’urgence et la cacophonie actuelles !

Ils nous ont dit « chocs », c’est plutôt un électrochoc qu’il leur faudrait !...

Veritis

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 10 Avril 2013

psa-peugeot-citroen-new_640x280.jpg

Dans un marché automobile morose, le groupe PSA veut satisfaire ses clients malgré les perturbations provoquées par le vaste plan de réduction des effectifs. Depuis quelques jours, l’usine Peugeot de Poissy (Yvelines) a reçu pour consigne de rattraper le retard de production du site d’Aulnay (Seine-Saint-Denis). Ce retard a pour origine la grève des salariés d'Aulnay, depuis 16 janvier dernier, pour s’élever contre la fermeture de leur usine l’an prochain.

À cela s’ajoute le mouvement de colère des employés du fournisseur de sièges, Lear Corporation de Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise), qui ont cessé le travail durant plusieurs jours en février afin de soutenir l’action des ouvriers de Seine-Saint-Denis. Plus de 11 000 Citroën C 3 n’ont pas été fabriquées et près de 6 000 sont sorties des chaînes de montage sans sièges. De fait, le délai de livraison est plus long pour les clients, trois mois contre deux en temps normal.

Pour éviter de pénaliser les acheteurs, le centre de production des Yvelines qui assemble également ce modèle, va faire dix voitures de plus par jour jusqu’en juillet. A Aulnay-sous-Bois, les chaînes ont redémarré hier lundi mais en deux jours seulement 17 véhicules ont été fabriqués alors la production moyenne est de 250 unités au quotidien.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Emploi

Publié le 10 Avril 2013

Martine-Boutin.jpgLes bibliothécaires donnent rendez-vous aux enfants et à leurs parents pour partager des moments de plaisir autour d’albums, de comptines.

Aujourd’hui à 16h à la bibliothèque Dumont. Entrée libre.

Source : Oxygène 175

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 9 Avril 2013

 


Nous continuons ce soir notre reportage autour de la venue de M. Pokora au centre commercial O’Parinor samedi dernier avec deux nouvelles vidéos un peu spéciales. En effet, outre le showcase offert au public un concours était également organisé pour désigner un nouveau danseur ayant l’honneur et l’avantage de rejoindre la troupe du spectacle Robin des Bois. Nous vous proposons la séquence de leurs performances tout à fait spectaculaires et la découverte de l’heureux vainqueur… Let's dance !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 9 Avril 2013

Herbe.jpgSix hommes soupçonnés de trafic de stupéfiants ont été interpellés, samedi soir, à Drancy, Tremblay et Aulnay alors qu’ils revenaient des Pays-Bas avec de la drogue. Les enquêteurs du service départemental de la police judiciaire (SDPJ) travaillaient sur cette affaire depuis plusieurs mois dans le cadre d’une commission rogatoire du parquet de Bobigny. Samedi soir, les suspects se trouvaient à bord de trois voitures lorsque la police est intervenue.

Quinze kilos d’herbe de cannabis ont été saisis dans le coffre d’un des véhicules. Les perquisitions menées dans un box à Drancy ont également permis de découvrir 300 g de résine de cannabis et 300 g d’herbe. Deux autres suspects, les fournisseurs présumés de la drogue, ont été arrêtés ce même week-end aux Pays-Bas. Les six suspects français, âgés de 21 à 29 ans, étaient toujours en garde à vue hier soir dans les locaux du SDPJ, à Bobigny. Quatre d’entre eux sont déjà bien connus des services de police pour trafic de stupéfiants.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 9 Avril 2013

school.jpgPas moins de quinze villes ont été retenues par Jean-Louis Brison, le directeur académique du département de la Seine-Saint-Denis, pour accueillir une classe réservée aux enfants de moins de 3 ans : Epinay, La Courneuve, Villetaneuse, deux classes sur Saint-Denis, Saint-Ouen, Stains, Aulnay-sous-Bois, Le Blanc-Mesnil, Sevran, Tremblay-en-France, Bobigny, Montreuil, Pantin, Bondy et Noisy-le-Grand. « J’ai choisi parmi les quartiers les plus sensibles où la scolarisation à moins de 3 ans peut apporter un véritable intérêt pour l’enfant comme pour les parents », souligne Jean-Louis Brison. « Il y aura une montée en charge progressive jusqu’à atteindre 24 élèves maximum par classe. » Chaque année, il y aura 16 instituteurs supplémentaires dévolus aux moins de 3 ans.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Education

Publié le 9 Avril 2013

fibre.jpg84 814 foyers seront reliés au très haut débit dans le nord-est de l’Ile-de-France d’ici à 2020. C’est ce que prévoit l’avenant signé hier à la région avec les départements de la Seine-Saint-Denis et du Val-d’Oise concernant Debitex. Cet établissement public travaille depuis 2009 au déploiement de la fibre optique dans 13 villes du 95 et 14 villes du 93* délaissées par les grands opérateurs. Jusqu’à présent, seules les zones d’activités et les lieux publics étaient concernés. Grâce à cet avenant, les particuliers aussi auront la fibre!

* Aulnay-sous-Bois, Tremblay, Villepinte, Sevran, Vaujours, Coubron, Clichy-sous-Bois, Le Raincy, Montfermeil, Gagny, Neuilly-Plaisance, Neuilly-sur-Marne, Gournay et Noisy-le-Grand.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Technologies

Publié le 9 Avril 2013

francois-hollande-lunettes-soleilJusqu’à quand pourra-t-il tenir ? Telle est la question qui se pose désormais à F.Hollande.

Celui qui n’aime pas trancher dans le vif, et qui pense bien volontiers qu’il n’y  a pas de problème dont l’absence de solution ne finisse par venir à bout, est-il prêt à opérer ce grand saut dans l’inconnu, dont il répugne pourtant à se résoudre. A savoir, nommer un gouvernement resserré sur la base d’une nouvelle politique en prise sur les réalités  d’une société ouverte qui ne se plie pas aux dogmes d’un autre âge.

Mais est-il véritablement maître du temps qu’il semble vouloir s’accorder ? A la lumière des affaires récentes, on peut légitimement en douter.

Faudra-t-il de nouvelles révélations pour qu’il se décide enfin à agir et tirer les conséquences  d’un début de mandat si décevant que sa côte de popularité  a plongé, en très peu de temps, dans des abimes inconnus jusqu’alors.

Un Premier ministre en manque de charisme et d’autorité. Un gouvernement tirant à hue et à dia, ballotté par les événements, inaudible hormis dans les cacophonies à répétition, et inexpérimenté, à de rares exceptions près. Que lui faut-il de plus ? Des députés, notamment les plus jeunes d’entre eux, qui, de retour de leurs circonscriptions, commencent à tirer la sonnette d’alarme ? Encore faudrait-il que le Président « normal » prenne l’exacte mesure de la situation et assume pour lui-même l’éthique de responsabilité si chère à Max Weber.

Qu’il accepte aussi d’être bousculé dans ses certitudes dont il mesure encore mal les pesanteurs et leur caractère désuet.  Oubliant les leçons du véritable Marx, pour lequel  il ne peut y avoir d’évolution des « rapports de production » sur l’affaiblissement des « forces productives », il a cru, en effet, que ses incantations pouvaient lui servir de viatique. Normal, me direz-vous, de la part de quelqu’un qui a toujours fait carrière dans la fonction publique  et qui ignore à peu près tout de la sphère productive réelle et de ce que sont les usines, les entreprises, leurs actionnaires, leurs salariés et leurs clients.

Peut-être, mais il n’est jamais trop tard pour apprendre et s’apercevoir que l’on s’est trompé. A l’heure, où, lors de sa dernière intervention télévisée, il s’affirme comme le Président de tous les français, ne pourrait-il pas, enfin, en tirer les conséquences en appliquant les méthodes d’un « manageur » moderne, rassemblant toutes les forces du pays au service d’un véritable redressement en actes et non plus seulement en paroles. Nul doute que s’il avait été, à la tête d’une entreprise privée, sur la vue de son bilan, il aurait été, aujourd’hui, remercié et renvoyé à ses chères études.

A ce jour donc, sauf à ce qu’il envisage de remettre, lui-même, son mandat en jeu, ce qui est assurément très improbable, il ne lui reste plus qu’à appliquer, enfin, ce qu’il avait promis lors de son élection, à savoir nommer un véritable Premier ministre chargé de diriger un gouvernement et conduire la politique de la nation, conformément aux institutions de la V° République.  Avec si possible, à sa tête et en son sein, des gens dont l’intégrité et  la compétence sont reconnues. Capables de diriger des équipes. Capables de tenir un cap. Capables de restaurer la confiance. Capables d’entraîner les citoyens dans un juste effort dont ils verront rapidement les fruits. Pas forcément issus des milieux politiques traditionnels.  Jusqu’à présent, en manque criant de vision et d’autorité saura-t-il profiter des difficultés actuelles pour mieux rebondir ? Ceux que certains appelaient « culbuto » en raison de sa capacité à surfer sur l’événement saura-t-il saisir sa chance et reprendre la main ? Mais, à la lumière de la gestion de son premier gouvernement, n’est-ce pas trop lui demander ?

Nous verrons bien. Qui prend les paris ?

Veritis

 

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Rédigé par Veritis

Publié dans #Le Billet de Veritis

Publié le 9 Avril 2013

quick.jpgAujourd’hui Quick ouvrira à Aulnay-sous-Bois au niveau du carrefour de l’Europe son 10e établissement dans le département de Seine-Saint-Denis. Avec 81 restaurants, l'enseigne renforce sa présence en région Île-de-France.

L'exploitation du restaurant a été confiée à Éric Azan, déjà franchisé de huit autres restaurants dont un à Villejuif en région parisienne et sept autres sur Paris. Avec une surface de 470 m² et une capacité de 131 places assises en salle et 50 en terrasse, ce nouveau restaurant a permis l'embauche de 40 personnes. Le recrutement a été effectué en partenariat avec le Pôle emploi d'Aulnay-sous-Bois.

 

http://groupe.quick.fr

Source : http://www.lhotellerie-restauration.fr

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Commerce

Publié le 9 Avril 2013

Violon-et-Piano640x480.jpgLes dernières sonates pour violon et piano de Mozart sont toutes dignes de prendre place aux côtés de ses derniers chefs-d’œuvre symphoniques et des quintettes à cordes. Bien loin des pièces destinées à l’origine au marché des amateurs, la Sonate en si bémol majeur K.454 montre un certain nombre de raffinements d’écriture propres aux œuvres de la maturité.

La Sonate n°9 en la majeur est la plus célèbre entre toutes celles dédiées à l’instrument par Beethoven. Dite « à Kreutzer », elle fut surnommée ainsi à partir de 1805, lorsque Beethoven dédia l’œuvre à « l’habile violoniste » français Rodolphe Kreutzer qu’il avait rencontré à Vienne en 1798. Les œuvres sont jouées sur instruments d’époque.

Ce soir à 20h30 au conservatoire de musique d’Aulnay-sous-Bois. Entrée libre. 

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Culture

Publié le 8 Avril 2013

 


Nous poursuivons notre couverture vidéo du passage de M. Pokora et la troupe de la comédie musicale Robin des Bois au centre commercial O’Parinor d’Aulnay-sous-Bois samedi après-midi avec la chanson intitulée : A nous. Pour mémoire le spectacle dans sa version finale débutera à partir du 26 septembre 2013 au palais des congrès de Paris avant une tournée dans toute la France.

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 8 Avril 2013

C'est parfois un petit signe de rien, plusieurs boîtes aux lettres sur une même grille quand les maisons voisines n'en possèdent qu'une. Des allées et venues plus nombreuses aussi dans ces quartiers tranquilles. Mais la plupart du temps, rien ne distingue ces pavillons de leurs semblables. Et pourtant, depuis deux ans, les villes de banlieue voient se développer un nouveau phénomène du mal-logement : la location à la découpe dans les zones pavillonnaires.

nombreuses-boites-aux-lettres.jpg

Au milieu des pseudo-villas "Sans souci" aux prétentieuses colonnes doriques, des petites maisons ouvrières "Marceline" ou "Ginette" avec leurs nains de jardin ou encore les belles meulières des années 1930 derrière leurs troènes, se nichent de nouveaux taudis : un pavillon, divisé en quatre ou cinq appartements, loués chacun entre 600 et 800 euros selon les communes, sans déclaration à la mairie ni respect des normes sanitaires. La cible ? Une population pauvre qui ne trouve pas à se loger ailleurs et ne se plaint pas, vivant dans la peur de perdre son toit.

"Ce processus de densification spontanée, accompagné d'une "taudification" de l'habitat dans les tissus pavillonnaires est avéré dans plusieurs communes qui accueillent des populations défavorisées", explique Anastasia Touati, doctorante à l'Ecole nationale des ponts et chaussées.

Ainsi, en Seine-Saint-Denis, les communes d'Aulnay-sous-Bois, Tremblay-en-France, Sevran, Romainville, Montfermeil, Pavillons-sous-Bois seraient touchées. Dans l'Essonne, le phénomène émerge à Grigny et, dans les Yvelines, à Trappes et à Saint-Quentin. On le retrouve à Goussainville, Gonesse, Villiers-le-Bel, dans le Val-d'Oise, à Chelles et Villeparisis, en Seine-et-Marne, ou encore à Orly, Choisy-le-Roi et Villeneuve-le-Roi, dans le Val-de-Marne.

C'est une partie significative de la moyenne couronne qui est ainsi concernée, dans cette banlieue pavillonnaire modeste qui s'est développée successivement dans les années 1940, au lendemain de la guerre et dans les années 1970. Contrairement à la proche banlieue, on y trouvait des grandes parcelles, peu chères, sur lesquelles les ménages, "sortis des cités" ou fuyant la grande ville, pouvaient s'offrir leur maison. Le pavillon avec son bout de jardin et sa balançoire pour les enfants était alors une valeur de standing pour cette France des "petits-moyens"titre de l'ouvrage collectif des sociologues Marie CartierIsabelle CoutantOlivier Masclet et Yasmine Siblot (La Découverte, 2008).

Avec l'extension des gares, la création de zones d'activités économiques autour des aéroports parisiens, ces zones pavillonnaires sont devenues plus accessibles et proches de l'emploi. Les pavillons y ont souvent vieilli avec leurs habitants et, quand ils sont mis en vente, ils constituent désormais un bon placement pour qui veut faire de l'argent rapidement : "Certains marchands l'ont bien compris : avec une maison de 140 m2, ils arrivent à faire quatre F2 en utilisant les combles. C'est très rentable et les opérations se succèdent, car il y a de la demande", explique Benoît Le Foll, pilote du Centre d'études techniques de l'équipement de Normandie.

On ne parle pas ici de la sous-location que peut faire un couple de retraités pour arrondir ses fins de mois. Mais d'acquéreurs qui veulent faire de l'argent rapidement. Leur profil semble un peu partout le même : des petits commerçants, des petites entreprises de BTP ayant un peu de cash, qui obtiennent très vite des prêts bancaires qu'ils remboursent avec les loyers perçus et qui repèrent les maisons à acheter par les agents immobiliers de leur réseau professionnel.

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PETITE MAFIA ARTISANALE

Les clients sont légion : étudiants, jeunes travailleurs, stewards ou personnels travaillant dans les aéroports, familles aux faibles revenus trop contentes de s'offrir aussi un logement en dehors des zones urbaines denses...

Une petite mafia artisanale, parfois en réseau communautaire faisant venir ses compatriotes, a su aussi prospérer sur la misère. "Dans certains cas, le business est porté par des familles ou des réseaux familiaux qui achètent ensemble le patrimoine et le rentabilisent avec des pavillons utilisés avec des familles entassées dans les moindres recoins", raconte Xavier Lemoine, maire UMP de Montfermeil. On trouve ainsi "à louer" des abris de jardin, des garages, des caves...

Certains poussent l'arnaque un cran plus loin : comme à Sevran, où un pavillon a été transformé en dortoirs, dans lequel le propriétaire loue des lits. "Ce sont les nouveaux marchands de sommeil. Comme il n'y a plus de construction de foyers de travailleurs migrants, la demande est forte. A 400 euros le lit, c'est le scandale absolu", assure Stéphane Gatignon, maire EELV de la commune.

"On est face à des gens sans scrupule qui profitent de la crise du logement en proposant un logement moins cher à des familles à la rue", remarque aussi Martine Bescou, adjointe au logement du maire Front de gauche de Tremblay-en-France. "Dans ces réseaux, on a découvert que des agences immobilières s'étaient spécialisées, des notaires étaient impliqués ainsi que des banques qui font des prêts défiant toute concurrence", dénonce Cécile Madura, première adjointe PS à Goussainville.

Les maux de ces nouveaux taudis sont un peu partout les mêmes : humidité, isolation défaillante, installations électriques saturées, surcharge des réseaux sanitaires... jusqu'au stationnement de voitures sans parking qui rend la circulation difficile. "Les élus s'inquiètent, car pour le voisinage, c'est vécu comme une dégradation du quartier et l'arrivée de ces populations plus modestes, c'est aussi moins d'impôts et des dépenses publiques en plus", souligne Eric Charmes, directeur de recherche à l'Ecole nationale des travaux publics de l'Etat.

L'ensemble des acteurs s'accordent pour expliquer que lutter contre ces nouvelles locations à la découpe demeure compliqué, car la législation n'a pas prévu une telle utilisation du bâti individuel.

TENDANCE À FERMER LES YEUX

La division d'un pavillon en plusieurs logements, non accompagnée de travaux extérieurs, n'est pas soumise à autorisation préalable auprès des services d'urbanisme. Seule demeure l'obligation de respecter le plan local d'urbanisme qui impose, par logement, des contraintes de construction, de stationnement et d'espace vert disponible. Mais, parmi ces nouveaux marchands de sommeil, peu de propriétaires le font. Les services municipaux découvrent souvent l'existence de ces contrevenants lors des inscriptions à l'école, les rattachements demandés à ERDF ou les interventions des services d'hygiène. Les listes d'habitants fournies par l'Insee permettent aussi parfois de découvrir ces nouveaux logements collectifs.

Conscients de l'effet négatif que ces nouveaux taudis donnent à l'image de leur ville, certains élus préfèrent les ignorer. Une tendance à fermer les yeux, car les procédures judiciaires sont longues et difficiles et que ces maires n'ont souvent pas de solution de relogement.

D'autres ont décidé d'attaquer ces constructions non conformes. C'est le cas de la commune de Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis) qui a mis en place un groupe de travail pour croiser les données des différents services et repérer les infractions. A Aulnay-sous-Bois, la ville dresse des procès-verbaux d'infraction au plan local d'urbanisme en s'appuyant sur la liste des déclarations de logement aux impôts et saisit systématiquement le procureur.

Idem à Goussainville où quinze propriétaires ont été condamnés pour"changement d'affectation" ou "augmentation de la capacité d'habitation" du bien immobilier. Là, les services de la ville vérifient les déclarations d'achèvement de travaux pour traquer les contrevenants. "Dès qu'on voit un tas de sable devant une clôture, on s'inquiète", admet Mme Madura.

Source : Sylvia Zappi Le Monde.fr 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Logement

Publié le 8 Avril 2013

battleVNR-copie-1Un membre du conseil administratif  de l’association aulnaysienne Les Voies de la Nouvelle Rue a transmis à la rédaction d’Aulnaylibre ! une lettre d’indignation concernant sa situation. En effet, cette structure a contacté le bureau du maire pour un rendez-vous à plusieurs reprises depuis le 18 mars dernier, sans succès. Cet état des choses fait planer le doute sur l’organisation de l’édition 2013 du Battle VNR, événement incontournable de la scène Hip Hop. Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous de ce courrier adressé aux membres du conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois

« Mesdames et messieurs membres du conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois,

Alors que pourrait se célébrer la dixième édition de notre manifestation annuelle, nous sommes consternés de l’état d’avancée de notre collaboration pour la réalisation de l’édition 2013 du Battle VNR. Aussi vis-à-vis du trouble actuel que nous ressentons, nous souhaiterions vous rencontrer afin que s’éclaircisse le positionnement de la ville d’Aulnay-sous-Bois. En effet, nos discussions se sont arrêtées à une réunion en date du 15/09/2012 pour le bilan de l’édition 2012 avec les référents de la ville.

A ce jour, aucun des services et structures associés de la ville ne nous officialise une décision.

D’une part, nous sommes pressés d’opérer une réservation du gymnase Pierre Scohy. D’autre part, l’idée d’un passage en biennale serait évoquée. Incohérent… Nous avons acté au fil du temps la multiplication des référents. Ceci allant dans le sens des multiples objectifs que ce rendez-vous annuel rempli, ceci allant dans le sens d’une volonté jusqu’ici partagée de rassemblement et de développement. Cette transversalité entre services et structures, qui pourrait être particulièrement souhaitable en ces temps contraints, s’illustre dans les faits par ce qui pourrait sembler être pour le moins un défaut d’appropriation du projet, pour le pire des enjeux de pouvoir. Certes sur le temps de réalisation, nos efforts sont loués sur les questions de fréquentation et de mixité des publics. Du local à l ‘international, nous portons particulièrement un sens à notre volonté d’ancrage local, un sens à notre attachement à la valorisation d’une mémoire locale collective. C’est tout cela qui est mis à mal par les conditions de mise en œuvre actuelle.

Effectivement, si le Battle VNR s’est imposé comme une manifestation d’envergure, il demeure un des moteurs de notre activité annuelle en direction des publics, principalement jeunes. L’exigence artistique que nous y portons se conjugue à la meilleure ambition pour les jeunes dans un lien le plus souvent entretenu avec leur famille. Sans nous soustraire à un échange de point de vue qui resterait à tenir, nous excluons telle quelle l’idée d’une biennale dans la mesure où le cœur de notre jeune public, a besoin d’une offre continue à la faveur de son épanouissement et de son émancipation. Il s’agit d’être facteur de lutte contre le déterminisme social. C’est l’ambition d’y œuvrer au quotidien qui anime les artisans de la culture que nous sommes.

L’état des échanges actuels laisse place aux plus grandes inquiétudes et il nous est difficile de qualifier ce terrible flottement. Il y a désormais urgence de préserver la richesse et la diversité culturelle mises en lumière à Aulnay-sous-Bois.

Pourquoi sacrifier un événement culturel qui a mis Aulnay-sous-Bois sur la carte depuis 2003 et en 9 éditions, qui est reconnu comme un rendez-vous majeur et singulier pour les pratiques artistiques dans lesquelles nous œuvrons ? S’agit-il de la mauvaise volonté de quelques personnes, de sombres raisons financières ?

Que d’émotions… Nous sommes désolés, troublés, choqués. Dans le genre c’est du grand art.
La méthode pourrait à terme nous faire penser au dicton « Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage »
Quelle tristesse ! Quelle déception ! Quel gâchis ! Tels sont actuellement les sentiments qui accompagnent la préparation de notre 10ème édition.

Plutôt qu’imaginer les hypothèses les plus sombres, nous nous en remettons à un échange franc et direct avec vous. Il nous faut sortir de cette crise par le haut. Bon sang, on parle là d’un événement culturel majeur d’Aulnay-sous-Bois, réputé au niveau national et international !

Nous osons croire que vous ferez tout votre possible pour nous rencontrer au plus vite avant d’engager toutes les personnes qui se sentent concernées à se manifester également.

Je vous prie de croire, Mesdames et messieurs membres du conseil municipal d’Aulnay-sous-Bois, en ma considération.

Emery ONDZIE

Président de l’association Les Voies de la Nouvelle Rue. »

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Associations