Publié le 15 Décembre 2013

Daouda-Sanogo-Aulnay.jpgVanter les mérites de la Seine-Saint-Denis… sous les ors de l’hôtel de Lassay, la résidence du président de l’Assemblée nationale, il fallait le faire. « Je sais ce que représente l’hôtel de Lassay, confie Claude Bartolone, le locataire des lieux. Dans des locaux administratifs, il y aurait eu moins de monde. » De fait, il y avait de nombreux entrepreneurs, jeudi soir, lors de cette table ronde sur « l’attractivité du territoire », organisée par la chambre de commerce et d’industrie de Bobigny… à deux pas de l’hémicycle où l’on votait le jour même la création du Grand Paris.

Dans la salle, les dirigeants d’Eurocopter côtoient des petits artisans : Daouda Sanogo, entrepreneur Aulnaysien, salue le responsable de la CGPME de Seine-Saint-Denis… Au micro se succèdent Hervé Chastagnol, responsable du parc d’affaires Paris-Nord 2, en partie situé à Villepinte, Antoine Frérot, président de Veolia environnement — dont le siège et 4000 salariés sont attendus d’ici deux ans à Aubervilliers — ou Barnabé Wayser, PDG de Guard Industrie, prospère société montreuilloise de revêtement de sols, qui a rénové la place Tian An Men.

Mais à quoi bon prêcher les convaincus, ceux qui sont déjà dans le département? « C’est le principe de la contagion positive, glisse Claude Bartolone. Si ces entreprises portent elles-mêmes le message que c’est en Seine-Saint-Denis que ça se passe, elles en tireront une force supplémentaire. » L’autre objectif, c’est que l’arrivée de ces sociétés profite aux habitants et au territoire. « C’est le premier département en nombre de créations d’entreprises, rappelle Gérard Lissorgues, président de la CCIP de Bobigny. Mais ce ne sera pas un eldorado tant que le chômage sera à un tel niveau, que le taux de survie des sociétés sera le plus faible de la région. »

Rémi Babinet, président de l’agence publicitaire BETC Euro RSCG, qui s’installera à Pantin en 2015, l’assure : il y aura un lien entre ses 500 publicitaires et le quartier du canal de l’Ourcq. « On n’a pas l’intention de s’installer comme une plate-forme offshore », dit-il. Stéphane Troussel, président PS du conseil général, espère faire naître une « nouvelle rumeur du 93 » : « Les entreprises qui sont ici ont un temps d’avance. Il faut faire savoir que l’espace, le bouillonnement sont chez nous. »

A condition, toutefois, de lever quelques incertitudes liées à la métropole du Grand Paris. « Ce qui va sortir des limbes devra bien fonctionner », prévient ainsi Antoine Frérot. Hervé Chastagnol, met l’accent sur les « lacunes des transports en commun » et réclame aussi le soutien des collectivités pour créer un « territoire de résidence » haut de gamme, pour les délégations internationales.

Source : Le Parisien

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Economie

Publié le 15 Décembre 2013

cambriolages1.jpgIls sont rarement spectaculaires, mais ils empoisonnent l’existence et créent toujours un traumatisme pour les victimes. En augmentation brutale depuis cinq ans, les cambriolages et autres vols simples ou armés font l’objet d’un plan d’action judiciaire nationale. Dans une circulaire transmise aux 163 procureurs de la République et 36 procureurs généraux le 29 novembre, le ministère de la Justice s’attaque à cette délinquance quotidienne en renforçant les procédures et les poursuites à mettre en œuvre pour la combattre.  Ce document confidentiel, que nous nous sommes procuré, constitue un tour de vis inédit de la chancellerie.

Des délits en forte hausse et rarement élucidés. Le constat fait par le document est sans nuance : avec plus de 360 000 faits recensés en 2012, les cambriolages ont explosé de 18% en cinq ans. Plus impressionnant : les délits commis dans des résidences principales (219 000 l’an passé) ont augmenté de 44% sur la même période. Les commerces sont moins touchés, avec 60 000 faits constatés, en baisse de 14% depuis cinq ans. Mais c’est la faible élucidation des affaires qui pose le plus de problèmes : seuls 11% des dossiers sont résolus.

Les vols à main armée, dont le ministère ne précise pas l’évolution, représentaient, eux, 5200 affaires en 2012, avec 2800 personnes poursuivies grâce à un taux d’élucidation jugé bon, de 37%. Un motif de satisfaction, bien que les auteurs de ces faits, normalement passibles de la cour d’assises, bénéficient dans 20% des cas d’une requalification de leur 
crime en délit. Un tour de passe-passe qui leur permet d’encourir des peines moins lourdes, mais augmente les chances de condamnation et accélère les procédures.

cambriolages2.jpgDes poursuites plus systématiques et plus fermes. Sans être ouvertement critiqués, les juges responsables des poursuites sont rappelés à l’ordre. Le voleur isolé « pourra utilement faire l’objet d’une convocation » devant le tribunal, la chancellerie écartant implicitement l’option d’une alternative aux poursuites. Lorsque celle-ci apparaît néanmoins indiquée, les magistrats choisissent majoritairement « le rappel à la loi », note le ministère. En clair, les primo-délinquants font l’objet d’une trop grande indulgence, puisqu’ils peuvent aussi se voir proposer une amende ou un travail d’intérêt général.

Quant aux récidivistes, ils devront être « systématiquement » présentés à un juge, une procédure contraignante mais qui aboutit plus souvent à un procès. Ces mêmes juges devront avoir « une parfaite connaissance des antécédents judiciaires » du suspect et « solliciter la délivrance de casiers étrangers ». Une fois la peine exécutée, les auteurs doivent être mieux suivis, et ceux condamnés à une peine de prison de trois ans ou plus faire l’objet d’un signalement aux forces de l’ordre à leur sortie de détention.

Des cellules d’enquête locales. « La lutte contre le phénomène des cambriolages doit constituer une priorité des états-majors de sécurité », exige le ministère. Pour y parvenir, les plans départementaux de lutte contre les vols (réunissant services d’enquêtes de police et de gendarmerie), testés dans certaines régions, « doivent être généralisés ». Des cellules d’investigation spécifiques régionales ou départementales doivent être mises en place « afin d’assurer l’échange d’informations ». A l’échelle des communes et des quartiers, la création de groupes d’enquête locaux dédiés est préconisée. Ces actions doivent impliquer les commerçants, cibles privilégiées des braqueurs. La chancellerie invite les magistrats « à prendre spécifiquement en compte » ces attaques « en nouant un dialogue avec les représentants des chambres de commerce » et ceux « des professions les plus exposées ».

La police scientifique en renfort. La police technique et scientifique « constitue un atout pour l’identification des auteurs », poursuit le texte, qui préconise d’y avoir recours, mais « de manière appropriée au regard de la nature des faits ». Pour des raisons budgétaires, les enquêteurs doivent « être sensibilisés à la nécessité de ne prélever que les traces […] susceptibles d’une exploitation utile ».

Au 10 octobre, 134 enquêtes de criminalité organisée touchant des bandes de voleurs et receleurs étaient en cours, « relevant pour certaines de la délinquance itinérante ». Pour faciliter les rapprochements entre membres de mêmes réseaux, les officiers de police judiciaire devront signaler « par voie électronique » et « dans les plus brefs délais » chaque garde à vue de ce type à leurs collègues du même secteur géographique.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 15 Décembre 2013

CORIGAT.jpg«Stop au danger. Nous exigeons l’arrêt du transit et du stationnement des wagons transportant des matières dangereuses sur le site de la gare de triage de Drancy. » Cette banderole orne le capot d’une des voitures du cortège. Hier matin, cinq jours après le déraillement heureusement sans conséquence d’un wagon, une cinquantaine de riverains, pour la plupart originaires du Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis, ont défilé en voiture dans les rues de la ville, mais aussi dans celles de Drancy et du Bourget. Ils entendaient dénoncer le passage de produits toxiques à la gare de triage, située au cœur de quartiers pavillonnaires. Chaque année, plus de 200000 wagons transitent sur ce site majeur du fret ferroviaire, dont 20800 transportant des matières dangereuses.

La publication d’une étude de l’Etat datant de mai 2011 et mettant au jour les dangers potentiels pour la population a éveillé les consciences. L’arrêté préfectoral pris au 
printemps dernier — qui interdit désormais toute construction nouvelle dans un périmètre de 620 m autour de la gare —, loin de calmer les inquiétudes, a mis le feu aux poudres.

« Je vis au Blanc-Mesnil depuis vingt-deux ans. Je savais qu’il y avait des produits dangereux, mais je croyais naïvement que la 
SNCF nous garantissait la sécurité! Or, au printemps, j’ai découvert que je vivais dans une zone à risques », dénonce Anne-Marie, 55 ans. A ses côtés, Tania, 58 ans, acquiesce : « Et si, mercredi, le wagon avait été plein, qu’est-ce qu’on aurait fait? On ne sait même pas quelles sont les conduites à tenir en cas d’accident. » Les riverains sont aussi inquiets pour leur portefeuille. « J’ai acheté un pavillon il y a trois ans, raconte Ludovic, 34 ans, père de deux fillettes. Il a perdu 30% de sa valeur. » 

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Environnement

Publié le 14 Décembre 2013

Il y a quelques minutes au gymnase Paul Emile Victor le Club Badminton d’Aulnay-sous-Bois s’est imposé 5 - 3 face à une solide et combative équipe de Bordeaux. Ce succès n’a en que plus de saveur. Avant de revenir plus en détail sur le déroulement de cette rencontre nous vous proposons la vidéo du cinquième match de double dame emporté par Marion Luttmann et Agnieszka Wojtkowska 21-06 / 21-15 suivi du salut de l’équipe au public. Bravo aux Ducks et à l’année prochaine !

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 14 Décembre 2013

L’initiative risque de faire grincer les dents de Gérard Ségura, le maire (PS) d’Aulnay, candidat à sa succession en 2014. Hier soir, c’est à quelques mètres de l’hôtel de ville que son ancien allié, Alain Amédro (EELV), a inauguré son « atelier » de campagne, autour d’une cinquantaine de militants.

L’occasion pour l’ex-adjoint en charge de l’urbanisme, passé dans l’opposition (comme tout le groupe écologiste) en 2010 à la suite de désaccords avec le maire, de présenter quelques-uns de ses colistiers, acteurs de son union « du centre à la gauche de la gauche ».

Parmi ses prises, des personnalités d’extrême gauche, à l’instar de Sébastien Ville, ex-NPA et candidat Front de gauche aux législatives (correctif Aulnaylibre : c'est Marie-Jeanne Queruel qui a défendu les couleurs du Front de gauche aux législatives), et de Pierre Laporte, vice-président du conseil général (Fase). Dans ses rangs également, le militant socialiste Mohammed Beldjoudi, cocréateur du festival Aulnay all blues et l’ex-PS Alain Boulanger (sans étiquette). Encarté au MoDem, Jean-Marc Engelvin a, quant à lui, choisi de faire faux bond au candidat UDI, Jacques Chaussat. « Même si je peux avoir des désaccords avec Europe Ecologie sur le plan national, je pense qu’on peut diriger une ville avec des valeurs communes », assure ce dernier.

Objectif d’Alain Amédro : « Conduire une liste qui mette fin à des décennies d’opposition gauche-droite stérile à Aulnay-sous-Bois et proposer une vraie alternative humaniste pour que l’UMP et son candidat parachuté (NDLR : Bruno Beschizza) ne reprennent pas la ville. »
Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 14 Décembre 2013

frontnational.jpgLe Front national est passé à l’offensive. Hier soir, le parti de Marine Le Pen a réuni une centaine d’adhérents au Raincy. But de l’opération : motiver les participants à s’engager sur des listes. Voire dénicher la pépite qui manque cruellement dans le département : la fameuse tête de liste. Car, à la date d’aujourd’hui, le FN n’en a convaincu que huit : Patrick Julien au Raincy, Claude Gimenez à Villepinte, Cyril Bozonnet à Gagny, Daniel Bousselaire à Rosny-sous-Bois, Laurent Stocco à Saint-Ouen, Maxence Buttey à Noisy-le-Grand, Melina Mottet-Amrani à Aulnay-sous-Bois et Didier Labaune à Saint-Denis. Les tables étaient dressées, le Beaujolais nouveau débouché et le buffet n’attendaient plus que les convives. Mais juste avant le début de soirée, Louis-Armand de Bejarry, secrétaire national aux fédérations, et Gilles Clavel, secrétaire départemental, ont organisé une conférence de presse afin de faire le point sur les ambitions du parti. « Marine Le Pen a fait 18% aux élections présidentielles et, pourtant, nous n’avons aucune représentation locale, nous sommes le parti des invisibles », regrette Louis-Armand de Bejarry.

Des discussions avancées à Villemomble et Montreuil

Et il ne veut pas le rester. Il se souvient notamment qu’en 1995 des listes étaient présentes dans les trois quarts des villes en Seine-Saint-Denis. En 2008, une seule liste d’extrême droite était en lice, à Romainville, sous l’étiquette MNR (NDLR : mouvement issu de la scission du FN mené par Bruno Mégret). « Début 2000, il y a eu des mutations sociologiques importantes dans la population, le MNR s’est mieux implanté dans le département que nous, et nos cadres ont peu à peu disparu, justifie le secrétaire aux fédérations. Ces élections sont l’occasion pour nous de rebâtir un socle solide. » « Une bonne tête de liste est capable de créer une équipe, assure Gilles Clavel. Et pas besoin d’être un pro de la politique car nos thèmes sont connus. » Le FN ne s’en cache pas : il interpelle surtout les déçus du gouvernement et fonde son discours sur des thèmes nationaux.
« Ce qui intéresse nos électeurs, ce n’est pas les questions d’entretien du parc de la ville, mais les trois i : immigration, impôts, insécurité », martèle Louis-Armand de Bejarry. Outre les têtes de liste désignées, Gilles Clavel assure avoir des discussions très avancées à Villemomble et Montreuil. Il a aussi des espoirs sur Drancy, Stains, Tremblay et Romainville.

Source article et image : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 13 Décembre 2013

pv-stationnement.jpgL'Assemblée nationale a  de nouveau voté jeudi la dépénalisation des PV de stationnement, une mesure polémique qui, si elle était définitivement adoptée, permettrait aux maires de fixer eux-mêmes le montant des amendes.  Cette proposition est incluse dans le projet de loi de décentralisation, actuellement examiné en deuxième lecture par les députés.

Réclamée de longue date par des élus locaux, la dépénalisation, introduite par le 
Sénat et acceptée par l'Assemblée lors des premières lectures du texte, en juin et juillet, permettrait aux maires de fixer à la fois le prix du stationnement et l'amende qui serait infligée à l'automobiliste qui ne l'aurait pas payée.

Pour le sénateur à l'origine de la mesure, Jean-Jacques Filleul (
PS), le cadre juridique actuel est inadapté, puisqu'en cas de non-paiement, la sanction «est une amende pénale dont le montant est uniforme sur tout le territoire, sans lien ni avec le lieu, ni avec le tarif de stationnement pratiqué». «Peu dissuasive à Paris, elle est excessive dans nombre de petites communes», juge t-il. 

Le prix des amendes de stationnement est passé à 17 euros le 1er août 2011, alors qu'il était resté à 11 euros depuis 1986.

«A l'heure actuelle, le système est inefficace. Vous n'avez en moyenne que 35% des gens qui payent leur stationnement», reprend Guy Le Bras, directeur général du Groupement des autorités responsables de transports (Gart), organisme qui regroupe 280 collectivités territoriales. «Avec la dépénalisation, vous pouvez mettre en place un contrôle beaucoup plus efficace», qui serait effectué par «des agents assermentés» bien moins coûteux que les policiers municipaux, explique-t-il. Cette mission pourrait être confiée à des sociétés privées.

Les opposants au projet craignent aussi une augmentation du montant des amendes

«Il n'y a que des zones d'ombre autour de ce dispositif», estime Me Rémy Josseaume, président de l'Automobile club des avocats, notamment en ce qui concerne la contestation des amendes, qui ne serait plus de la compétence du tribunal de police. «Pour contester, il va falloir faire un recours administratif préalable obligatoire, c'est-à-dire écrire à la commune. Si la commune dit qu'elle maintient la taxe, il faudra aller devant le tribunal administratif», explique-t-il, ce qui contraindrait les usagers à prendre un avocat et ne leur laisserait plus la possibilité de faire appel.

«C'est un texte ubuesque qui place l'intérêt financier au-delà de la mise en place d'une politique de stationnement, estime Pierre Chasseray, porte-parole de 40 millions d'automobilistes. «Le montant du forfait de post-stationnement (le nom désormais donné aux amendes, NDLR) ne pourra être supérieur au montant total d'une journée de stationnement», répond Guy Le Bras.

Si députés et sénateurs se mettent d'accord sur l'ensemble du projet de loi, celui-ci devrait être adopté définitivement la semaine prochaine, selon une source parlementaire. En cas de désaccord, l'adoption définitive n'interviendrait qu'en janvier. Si ensuite, le Conseil constitutionnel est saisi, celui-ci aura un mois pour se prononcer.

L'entrée en vigueur de la dépénalisation des PV de stationnement est prévue deux ans après la promulgation de la loi.

Source : Le Parisien

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Publié le 13 Décembre 2013

MDE-Aulnay.pngPour finir l’année 2013 en fanfare la maison de l’environnement d’Aulnay-sous-Bois, située allée circulaire dans le parc Faure, propose deux ateliers pratique et créatif spécial Noël. Vous trouverez ci-dessous tous les détails autour de cet événement.

De 15h à 16h. Atelier pratique pour garder la chaleur chez soi !

Fabriquer un panneau réfléchissant mobile pour radiateur (aimanté ou scratché), un double vitrage économique et simple, un absorbeur d’humidité en récup’, une isolation des portes etc. Astuces simples et efficaces pour réduire ses factures d’électricité ou de gaz avec une démonstration sur place. Un savoir-faire à partager ! Atelier collectif animé par un conseiller info-énergie de l’IDEMU - Croix Rouge Insertion. Partenariat avec ERDF. Gratuit sur inscription - Nombre de places limité. Pour adultes. 01.48.79.62.75.

16h. Atelier créatif. Les fêtes approchent !

Venez fabriquer des objets décoratifs pour les fêtes de fin d’année en argile. Bougeoirs, décorations pour sapins et couronnes de Noël, figurines… Un goûter festif en musique est prévu pour finir la journée. Vos petits gâteaux fait maison sont les bienvenus ! Gratuit sur inscription - Nombre de places limité. En famille à partir de 6 ans. 01.48.79.62.75.

 

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 13 Décembre 2013

Le quartier Mitry-Ambourget d’Aulnay-sous-Bois sera placé ce samedi 14 décembre sous le signe de la fête solidaire. Ainsi à partir de 10h au centre social est organisée une vente de vêtements, alimentation et jouets. Un concert classique (à DO MI SI le) est également programmé à l’église Saint-Paul de la rue du 8 mai. A cette occasion, Jérôme LARAN, professeur au conservatoire de musique et de danse d’Aulnay, accompagné d’une dizaine de saxophonistes interpréteront 40mn de répertoire varié et rythmé (musique slave, tango ballet, boléro et un hommage à Edith Piaf). Voilà qui promet donc une très bonne journée. L’entrée est libre.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Fêtes et Cérémonies

Publié le 13 Décembre 2013

transport_actu36596_photo.jpgDeux femmes de 18 et 19 ans, ainsi que trois hommes de 21, 22 et 55 ans, habitant Le Pré-Saint-Gervais et Aulnay-sous-Bois, ont été interpellés après une série de vols de fret. Le 15 mars, des malfaiteurs s’étaient attaqué à une camionnette sur la D317, au niveau de Fosses (Val-d’Oise), lorsqu’ils ont croisé une patrouille de gendarmes. Les militaires roulaient en direction de l’Oise quand ils ont surpris des jeunes chargeant un véhicule. Mais la course-poursuite a tourné court. Les jeunes se sont échappés et la voiture a été retrouvée accidentée. Les enquêteurs ont pu identifier les membres de cette équipe, suspectée d’avoir commis trois vols de fret au total, en décembre 2012, février et mars 2013, pour un préjudice global de 27000 €. Les suspects s’étaient emparés de produits de beauté, de rasoirs, de vêtements et de luminaires.

Source article : Le Parisien / Image d’illustration

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 13 Décembre 2013

« Paroisse satanique »! Mercredi soir, à 22 heures, en sortant d’une réunion avec des paroissiens, le curé de l’église Saint-Sulpice, à Aulnay, a découvert cette inscription sur le mur de son presbytère. De larges lettres avaient été barbouillées à la peinture noire sur plusieurs mètres. Une plainte a été déposée afin d’identifier l’auteur de ces mots diaboliques.

Source : Le Parisien


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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 13 Décembre 2013

Le Spoumj est un ensemble à géométrie variable, pluridisciplinaire, interventionniste et militant, composé de musiciens, comédiens et danseurs improvisateurs. L’objectif est de réaliser des performances exclusivement autour du sounpainting : un langage d’environ 900 signes, qui permet de réaliser des performances de composition en temps réel. Il incarne la folie travaillée, la spontanéité assumée et le chaos ordonné. Le résultat : une explosion de couleurs sonores. Ce soir à 21h au Cap, 56 rue Auguste Renoir à Aulnay-sous-Bois. Renseignements au 01.48.66.94.60.

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Publié dans #Culture

Publié le 12 Décembre 2013

drancy-gare.jpgVers 8h15, hier matin, les sirènes de la gare de triage de Drancy retentissent. Rapidement, six ou sept véhicules de pompiers et des policiers se rendent à proximité des voies ferrées, rue Anatole-France, où un wagon de produits chimiques a déraillé. Les riverains commencent à s’inquiéter, ainsi que la mairie, qui conseille à la direction du collège Anatole-France, tout proche, de garder ses élèves dans les classes. La SNCF lance son plan d’urgence interne (PUI) et un périmètre de sécurité est établi par la préfecture. Fort heureusement, le scénario catastrophe s’arrête là. A 9h40, l’alerte est levée. Aucun drame n’est à craindre : le wagon, censé transporter de l’acide chlorhydrique, était vide. Seule une roue a sauté du rail, sans doute après un choc avec un autre wagon. L’enquête technique de la SNCF le déterminera.

Mais cet incident finalement sans gravité n’a pas manqué d’alimenter les peurs autour de la gare de triage, site majeur du fret ferroviaire francilien, où transitent chaque année près de 250000 wagons de marchandise, dont 13000 chargés de matières dangereuses. « Ça m’a fait très peur. On entendait les consignes au micro qui disaient d’évacuer le site », confie Sébastien, qui tient le bar-tabac de la gare avec son père, juste au-dessus des voies. « On ne se sent plus en sécurité, ajoute Marco, Drancéen depuis dix-sept ans. Samedi dernier, déjà, il y a eu un déraillement. Il n’y a pas eu d’alarme, ils ne veulent pas que le voisinage se révolte. »

La gare de triage est revenue sur le devant de la scène il y a près de deux ans quand une étude a identifié des risques potentiels sur le secteur. Cela a conduit le préfet à prendre un arrêté interdisant toute nouvelle construction dans un périmètre de 630 m autour de la gare. Depuis, élus et habitants sont mobilisés pour dénoncer les dangers du site. « Il y a quatre ou cinq incidents de ce type chaque année, indique-t-on à la préfecture. Avant, ils passaient inaperçus, mais nous avons baissé le seuil d’alerte il y a deux ans. L’opérateur est désormais obligé de déclencher le PUI, ce qui implique les sirènes, les pompiers et le bouclage du secteur. » Hier, c’était le premier PUI déclenché depuis une fuite de gaz mercaptan, en mars dernier.

« Ce qui s’est passé confirme le danger que nous dénonçons depuis deux ans, déplore Jean-Christophe Lagarde, député-maire (UDI) de la commune. Que se serait-il passé si le wagon avait été plein? Derrière l’acide chlorhydrique, il y avait un wagon de nitrate d’ammonium. Le même mélange qui a provoqué l’explosion d’AZF, à Toulouse en 2001. Je souhaite que l’on aille trier ailleurs les matières dangereuses avant qu’une catastrophe n’arrive. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #Environnement

Publié le 12 Décembre 2013

Le gymnase Pierre Scohy d’Aulnay-sous-Bois devrait être en ébullition ce samedi 14 décembre 2013 à l’occasion d’un gala de boxe qui s’annonce prometteur. Le programme prévoit trois combats amateurs (de 17h30 à 19h30), sept combats professionnels (à partir de 20h) et enfin en point d’orgue un combat avec pour enjeu la ceinture internationale WBC Féminin Poids léger entre la Française Myriam Dellal et l’Italienne Anita Torti (à partir de 21h30). A noter la participation des boxeurs Aulnaysiens  Mehdi Bouadla, Mohamed Bouleghcha, Bruno Marcellin,  Karim Menasria,  Zineddine Benmakhlouf et  Denis Farias.

Rendez-vous le samedi 14 décembre 2013 à 17 h au Gymnase Pierre Scohy - 1, Rue Aristide Briand à Aulnay-sous-Bois.
Source : aulnay-sous-bois.fr 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Soyons sport.

Publié le 12 Décembre 2013

Vous trouverez ci-dessous un communiqué de presse annonçant l’inauguration de l’atelier de campagne de la liste « Vivre mieux, ensemble, à Aulnay-sous-Bois » menée par le conseiller municipal et vice-président à la région Ile-de-France Alain Amédro. Cet événement se déroulera le vendredi 13 décembre 2013 à partir de 19h15 au 29 rue Anatole France. Les premiers candidats et les personnalités ayant rejoints cette liste en vue de l’élection de mars prochain devraient être dévoilés. Alain Amédro promet un rassemblement de militants et citoyens unis dans la volonté de reconstruire une ville apaisée dans laquelle l’humain  et la nature seront remis au cœur des politiques municipales, avec un réel souci de transparence et de démocratie. Bref, en somme, tout le contraire du système Ségura qui a fait voler la gauche en éclats…

Alain-Amedro-2014

Communiqué de presse

mercredi 11 décembre 2013

Inauguration de l'Atelier de campagne

de la liste « Vivre mieux, ensemble, à Aulnay-sous-Bois »

menée par Alain Amédro

Nous avons le plaisir de vous inviter à l'inauguration de l'Atelier de campagne de la liste « Vivre mieux, ensemble, à Aulnay-sous-Bois » ce vendredi 13 décembre à partir de 19h15 au 29 rue Anatole France (à 3' à pied du RER).

Quelques interventions permettront de présenter les premierEs candidatEs de la liste, ainsi que les personnalités nous ayant rejoints, puis nous offrirons un buffet convivial vers 20h15.

Non superstitieux mais certains que cette date nous portera chance, nous vous convions avec pour mot d'ordre de la soirée « Une chance au premier tour, une chance au second » ! :-)

Démocratique, écologique, solidaire, la liste « Vivre mieux, ensemble, à Aulnay-sous-Bois »qui sera menée par Alain Amédro, est issue du rassemblement de militants et citoyens mûs par la même volonté de reconstruire une ville apaisée, dans laquelle l'humain et la nature seront remis au coeur des politiques municipales, avec un réel souci de transparence et de démocratie.

Contact presse :

Alain Amédro : alain.amedro@vivremieux-aulnay.fr ou 06 12 84 03 34

(relations presse : 07 86 12 61 82)

www.vivremieux-aulnay.fr

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 12 Décembre 2013

college-gerard-philippe-aulnay.jpgComme plus d’un établissement sur deux en Seine-Saint-Denis, le collège Gérard-Philipe d’Aulnay-sous-Bois appartient à l’éducation prioritaire. Il fait partie d’un réseau de réussite scolaire. Mais l’établissement pourrait perdre bientôt ce label : après plusieurs années d’effort, il affiche plus de 96% d’admis au brevet et ses classes sont désormais plutôt cotées. « On a tous les indicateurs pour sortir de l’éducation prioritaire », résume le principal, Stéphane Larrieu, également secrétaire départemental du principal syndicat des chefs d’établissements, le SNPDEN.

Il n’est pas sûr de devoir se réjouir de la nouvelle. « D’un côté, ce serait une victoire pour nous mais, de l’autre, on craint que le cercle vertueux qu’on avait mis en place ne s’écroule », confie-t-il. S’il perdait du jour au lendemain son statut, Gérard-Philipe ne disposerait plus des dotations supplémentaires qui financent les projets pluridisciplinaires et culturels des collégiens. Il devrait aussi renoncer à 9000 € de subventions du conseil général. Mais ce qui inquiète le plus Stéphane Larrieu n’est pas tant la baisse des moyens de l’établissement… que ses conséquences, pour le moral des troupes.

Crainte d’être découragés

« S’il faut choisir entre les projets, tout réinventer, on passera forcément par une phase de découragement : les enseignants auront l’impression que leur travail n’est pas reconnu », pense Stéphane Larrieu. Or, selon lui, « la stabilité des équipes est ce qu’il y a de plus important, avant même les moyens. S’il n’y en a plus, le projet d’établissement n’est plus porté par personne, il n’a plus de sens. » Le début du décrochage.

Source : Le Parisien 

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Publié dans #Education

Publié le 12 Décembre 2013

dali-toure.jpgToute nouvelle maman d’un bébé de 9 mois, mais romancière aguerrie. Dali Misha Touré, une étudiante Aulnaysienne de 19 ans, publie son quatrième roman (il s’agit d’une autoédition). Presque une routine pour cette toute jeune femme, qui avait écrit son premier livre à l’âge de 15 ans. Dans « J’ai tué ma mère », Dali Touré narre l’ascension d’un jeune homme politique américain.

« J’ai tué ma mère », autoédition, 150 pages, 10 €. En vente à la librairie Folies d’Encre à Aulnay et sur le site www.dalimishatoure.fr.

Source article : Le Parisien / Photo : www.dalimishatoure.fr.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 12 Décembre 2013

La rédaction d’Aulnaylibre ! était ce matin aux alentours de 6h45 sur les quais du RER B à Aulnay-sous-Bois.


La grève SNCF du 12 décembre 2013 a pour conséquence habituelle la suspension de l’interconnexion à la gare du Nord. Les panneaux d’affichage annonçaient en moyenne un train toutes les 10 minutes et les rames n’étaient pas particulièrement bondées. Du coup le trafic paraissait paradoxalement presque fluide. La situation s’est peut-être dégradée depuis. N’hésitez à témoigner si vous le souhaitez. En attendant bon courage aux usagers de la ligne RER B+ !  

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Rédigé par Stéphane Fleury

Publié dans #Transports

Publié le 12 Décembre 2013

zazie-metro.jpgLa bibliothèque Dumont d’Aulnay-sous-Bois propose aujourd’hui de 14h à 16h30 une conférence consacrée à l’humour en littérature. Elle sera animée par Jean Delabroy, professeur de littérature comparée à l’université Paris-Diderot et s’articulera autour du roman de Raymond Queneau intitulé Zazie dans le métro paru en 1959. En ce jour de grève à la SNCF on pourrait peut-être déjà plancher sur une suite dont le titre serait pourquoi pas : Zazie dans le RER B+ ! Alors à vos plumes !

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Culture

Publié le 11 Décembre 2013

drancy-wagon.jpgL'alerte chimique a été levée ce mercredi à 9h40 après le déraillement d'un wagon-citerne destiné au transport de produits chimiques à Drancy. Les sirènes de la gare de triage, classée en zone Seveso, s'étaient déclenchées à 9 heures. Le wagon en cause sert à transporter de l'acide chlorhydrique mais était vide au moment de l'accident, alors qu'il se dirigeait vers son lieu de chargement.  Il n'aurait pas été percé lors du choc, selon les premières constatations. Aucune odeur ni fuite n'ont été constatées sur place. L'accident n'a pas fait de blessé. Cette alerte a semé l'émoi dans le quartier, qui demande depuis plusieurs mois la fin de ces convois dangereux. C'est un arrêté préfectoral pris au printemps dernier et interdisant toute nouvelle construction dans un périmètre autour de la gare, qui a ravivé les inquiétudes des riverains. Ces derniers ont prévu de se rassembler une nouvelle fois samedi, lors d'une manifestation au Blanc-Mesnil, qui jouxte la gare de triage.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 11 Décembre 2013

rerb-voiesCe jeudi 12 décembre 2013 s’annonce particulièrement compliqué dans les transports en commun suite à un préavis de grève déposé conjointement par la CGT, l'Unsa, Sud-Rail et FiRST pour protester contre la réforme ferroviaire. Comme toujours, le mouvement de grève débutera la veille dès 19 heures (aujourd’hui) et s’achèvera le lendemain à 8 heures. Voici les premières prévisions de trafic :

RER A : trafic normal, RER B : 1 train sur 4, RER C : 1 train sur 2, RER D : 1 train sur 2, RER E : 1 train sur 2. La circulation des métros sera normale sur toutes les lignes.

Le trafic des TGV sera normal sur le TGV Est et 6 trains sur 10 en moyenne circuleront sur les autres axes. Le trafic international (Thalys et Eurostar) sera normal. Les trains inter-cités seront 5 sur 10 en moyenne à circuler.

Source : http://www.terrafemina.com

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 11 Décembre 2013

En cas de grande crue en Ile-de-France, 850 000 personnes seraient victimes des inondations. Pourtant, les constructions se poursuivent dans les zones exposées.

En Ile-de-France, plus de 430 000 logements sont directement menacés par la montée des eaux en cas de grande crue. Autrement dit, si le lit de la Seine venait à déborder comme en 1910, 8% de l’habitat francilien serait inondé et 850000 personnes auraient les pieds dans l’eau. C’est ce que révèle l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (IAU), un bureau d’études du conseil régional, dans sa dernière note*.  Pourtant, architectes et promoteurs ne cessent de convoiter les bords de Seine, de la Marne et de l’Oise. En l’espace de trente ans, de 1980 à 2009, 100000 nouveaux logements ont été bâtis en zone inondable. « Et le rythme des chantiers s’accélère, souligne Ludovic Faytre, responsable de l’enquête. Il a été particulièrement soutenu au cours de la dernière décennie. » Ainsi, les zones inondables franciliennes se sont chargées de 38000 logements supplémentaires entre 2000 et 2009, contre 36000 pour la décennie 1990, et 26100 pour la précédente.

123 000 logements menacés rien que dans le Val-de-Marne

Le Val-de-Marne a accueilli, à lui seul, un quart des constructions opérées dans des secteurs à risques ces trente dernières années. Arrosé par la Seine et la Marne, il est d’ailleurs le territoire le plus menacé d’Ile-de-France, avec plus de 123000 logements en zone inondable, devant Paris (107700) et les Hauts-de-Seine (94450). Beaucoup moins exposée au fleuve, la Seine-Saint-Denis n’est concernée qu’à hauteur de 11700 logements. En grande couronne, ce sont la Seine-et-Marne et l’Essonne qui présentent le plus de risques, avec pour chacune plus de 36000 logements menacés.

La crue de 1910 avait vu la Seine monter de 8,68 m. Selon la note de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme, les ouvrages de protection développés par la ville de Paris, depuis, peuvent théoriquement protéger d’une inondation semblable. Mais le reste de l’agglomération paraît « beaucoup plus vulnérable ». L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) estime qu’une telle crue « impacterait cinq millions de citoyens et de nombreuses entreprises », représentant un tiers de l’activité économique du pays. De son côté, Ludovic Faytre avance qu’une inondation majeure en Ile-de-France causerait 17 à 20 Mds€ de dommages directs, imputés pour moitié à l’habitat.

* http://www.iau-idf.fr. 

Source article : Le Parisien. Vidéos : Aulnaylibre !

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Publié dans #Environnement

Publié le 11 Décembre 2013

mineurs-en-danger-93Le président PS du conseil général, Stéphane Troussel, doit signer cet après-midi, à 17h30 à Bobigny, un protocole d’accueil 72 heures avec le procureur de la République, Sylvie Moisson. Objectif de ce nouveau dispositif d’urgence mis en place dans onze départements : en cas de danger immédiat ou de suspicion de danger concernant un mineur ayant quitté le domicile familial, un hébergement d’urgence pouvant aller jusqu’à 72 heures sera organisé par le service de l’aide sociale à l’enfance.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 11 Décembre 2013

Il y a des chiffres qui donnent le tournis. Lundi soir, un murmure incrédule monte du public rassemblé dans le gymnase Scohy à Aulnay. A la tribune, Nadir Bentouta, de la Société du Grand Paris (SGP) énonce les temps de parcours du futur supermétro. « Du rond-point de l’Europe à Aulnay, pour aller à Noisy-Champs, il faut aujourd’hui 1h10, en prenant les bus 627, 702, puis la ligne A du RER. Demain, avec la ligne 16, vous mettrez 14 minutes. Pour vous rendre à Saint-Denis Pleyel, vous mettez aujourd’hui 50 minutes. Demain, le trajet durera 11 minutes… »


Certes, la perspective est lointaine — la ligne 16 desservira les quartiers nord d’Aulnay à partir de 2023 — mais elle s’est un peu précisée lors de cette réunion qui a rassemblé plus de 300 personnes. Sur deux grands écrans, la future gare se dévoile. Elle sera implantée sur le terre-plein de l’ex-RN2, proche des cités de l’Europe et de la Rose-des-Vents, voisine de la mosquée et du centre commercial O’parinor, au cœur de la ZAC des Aulnes, en plein aménagement. Une gare « accessible », avec escaliers mécaniques, et ascenseurs, desservie par des bus, où passeront des métros d’une capacité de 500 voyageurs, toutes les 3 à 4 minutes.


Une gare « Aulnay-Europe » ?

Au passage, Etienne Guyot confirme que le site PSA pourrait accueillir les ateliers de maintenance de la ligne, sur 8 ha (créant 200 emplois). Il est toutefois encore en concurrence avec un autre emplacement, dans la ville voisine de Gonesse (Val-d’Oise).

« Tout ça c’est bien beau, mais aujourd’hui on utilise un RER B qui ne fonctionne pas », râle une dame, très critique à l’égard du plan « RER B nord + », entré en vigueur en septembre. La discussion dévie un peu, obligeant les représentants du Stif (Syndicat des transports d’Ile-de-France) et de la SNCF à s’expliquer.

Mais dans la salle, les questions fusent. « La gare aura-t-elle un nom différent de celle du RER B? », demande un jeune homme. Gérard Ségura, maire PS, songe à « Aulnay-Europe ». « C’est pas mal, ça! », approuve une dame à mi-voix. Un monsieur s’inquiète : « Vous allez creuser à 15 m de profondeur, dans et sous les nappes phréatiques. Y a-t-il des risques de remontée d’eau? ». Sujet sensible dans une commune qui a subi d’importantes inondations en juin dernier. « La réponse est clairement non », assure Florence Castel, directrice d’ingénierie, qui détaille le processus de construction d’une boîte étanche à l’emplacement de la gare souterraine.

D’autres s’interrogent sur les risques d’embouteillage à proximité de la future station, de l’absence de parking, des tarifs… Et enfin sur les nuisances liées à ce chantier d’ampleur. C’est en effet d’Aulnay que partiront deux tunneliers, creusant leurs galeries l’un jusqu’à Clichy-Montfermeil, l’autre jusqu’à La Courneuve. Au total, près d’un million de m3 de terres à déblayer et transporter par camions, selon un dispositif qui sera « affiné ». Seule certitude : les ouvriers travailleront du lundi au vendredi de 7 heures à 20 heures. Les travaux préliminaires commencent l’an prochain, mais le véritable chantier débutera en 2016.

Le Blanc-Mesnil accueillera ce soir une réunion publique organisée par la Société du Grand Paris à 20 heures au forum culturel, salle Barbara au 1-5 place de la Libération. 

Source article : Le Parisien / Vidéos : Aulnaylibre !

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Publié le 11 Décembre 2013

heavenorlasvegas.jpgFace à la crise mondiale du marché du disque, quel est l’avenir des labels indépendants ? François Ooghe dit « Marsu » directeur artistique et manager du label Crash Disques, apportera un regard éclairé sur cette question avec une autre interrogation à la clé : « Internet est-il vraiment la terre promise pour les labels indépendants ? ».

Ce soir de 18h à 20h au Cap, 56 rue Auguste Renoir à Aulnay-sous-Bois. Entrée libre sur réservation au 01 48 66 94 52. 

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