securite publique

Publié le 26 Juin 2018

Lundi au petit matin, le directeur du fast-food Quick d’Aulnay a été braqué par plusieurs individus cagoulés et armés.

Peu après 6 heures du matin, alors qu’il prenait son service, le manager a été poussé de force à l’intérieur de l’établissement par les malfaiteurs. Sous la menace d’une arme de poing, ils l’ont ligoté et se sont fait remettre le contenu du coffre. Les auteurs sont en fuite.

La victime n’a pas été blessée. Le préjudice s’élève à 13 800 €.

Source information et photo : Thomas Poupeau du journal Le Parisien

 

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Publié le 17 Mai 2018

Des policiers à pied ont été pris à partie dans le quartier du Gros-Saule. Plusieurs coups de feu ont été tirés contre un chien d’attaque.

Trois fonctionnaires blessés, deux personnes arrêtées et un chien d’attaque qui se jette sur les fonctionnaires… Le passage d’une patrouille pédestre a déclenché les hostilités dans le quartier du Gros-Saule à Aulnay-sous-Bois ce midi.

De l’avis d’un policier, la seule présence de quatre fonctionnaires à pied aurait suffi à susciter un attroupement. Le quartier, retenu par le ministère de l’Intérieur avec celui des Beaudottes — juste en face à Sevran — pour expérimenter la future police de sécurité du quotidien, met toujours les autorités au défi, notamment en termes de trafic de drogue.

Blessé par balles, le chien revient sur les policiers

Ce jeudi en tout cas, les policiers ont été pris à partie physiquement. D’après les éléments de l’enquête qui démarre, un fonctionnaire a essuyé un coup de poing avant qu’un chien d’attaque de belle corpulence et de type amstaff se jette sur un autre. « Trois coups de feu ont été tirés sur le chien, il est parti, blessé, avant de revenir à l’attaque », relate un policier qui n’était pas sur place.

Un fonctionnaire s’est cassé le poignet, un autre s’est blessé à la cheville, sans compter le coup de poing reçu par le premier. Touché par plusieurs balles, le chien était toujours en vie au moment de sa prise en charge par des services vétérinaires. Deux personnes ont été interpellées après l’arrivée de renforts. L’un est le propriétaire présumé du chien, le second a été placé en garde à vue pour violences.

Source article et photo d’illustration : journal Le Parisien

 

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Publié le 26 Mars 2018

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article de Thomas Poupeau paru dans le journal Le Parisien du vendredi 23 mars 2018. On y apprend que, depuis janvier 2018, les agressions et atteintes aux biens ont diminué à Aulnay-sous-Bois. Un résultat encourageant pour le tout nouveau commissaire, qui espère tourner la page de l’affaire Théo.

Pour lire cliquez sur l’image.

Sécurité : agressions et atteintes aux biens en baisse à Aulnay-sous-Bois

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Publié le 22 Mars 2018

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien paru dans son édition d’aujourd’hui. On y apprend qu’un jeune homme de 18 ans a été condamné à six mois de prison ferme pour avoir frappé deux policiers lors d’un contrôle à la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois.

Pour lire l’article cliquez sur l’image.

Six mois de prison ferme pour avoir frappé deux policiers à la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois

Source article et photo : Romain Chiron du journal Le Parisien

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Publié le 21 Mars 2018

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien évoquant un contrôle de police ayant dégénéré dans la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois. Selon le quotidien, deux policiers et un assaillant ont été blessés. Vous pouvez lire l'article en cliquant sur l'image.

Deux policiers blessés lors d’un contrôle dans la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois

Source article : journal Le Parisien

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Publié le 12 Février 2018

Vous pouvez prendre connaissance en cliquant sur l’image ci-dessous d’un article du journal Le Parisien paru le 9 février évoquant la police du quotidien impulsée par le président de la République Emmanuel Macron. Le quartier du Gros Saule à Aulnay-sous-Bois, ainsi que celui des Beaudottes à Sevran ont été selectionnés pour bénéficier de ce dispositif. Les maires de ces deux villes, à savoir Bruno Beschizza et Stéphane Gatignon demeurent prudents quant à son efficacité…

La police du quotidien de Macron testée au Gros Saule à Aulnay-sous-Bois

Source article : journal Le Parisien

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Publié le 4 Février 2018

« Bientôt, le cannabis représentera un tiers de notre travail ! » Le constat est dressé par Loïc Le Roux, directeur de la police municipale d’Aulnay-sous-Bois, à la tête de 79 agents. Sur 2 063 interpellations réalisées par ses services en 2017, 28 % concernent des consommateurs de cannabis. En seconde position, loin derrière : les vols et les agressions, à moins de 10 %.

« Le cannabis, c’est le problème numéro 1 à Aulnay, où l’on dénombre une vingtaine de points de deal », reconnaît Loïc Le Roux. Qui explique que dans l’immense majorité des cas, ses hommes n’ont « même pas fini de rédiger leur rapport d’intervention, ce qui prend au maximum une heure, que le consommateur de stupéfiant est déjà dehors ! » Conduit au commissariat, le contrevenant écope en effet, la plupart du temps, d’un simple rappel à la loi. Et d’aucune sanction financière. « Dans de très rares cas, ils sont placés en garde à vue, vont au tribunal, écopent d’une sanction pénale… Mais c’est une minorité », précise l’officier.

Résultat : « Il y a un sentiment d’impunité. Ils ne font même plus semblant d’éteindre leur joint quand ils nous croisent car ils savent qu’ils ne risquent rien », grince le patron de la police municipale. Il explique que ses policiers sont « usés, démoralisés » par ce système.

Alors, comme le maire d’Aulnay, Bruno Beschizza (LR), Loïc le Roux est favorable à la double peine : une amende immédiate, et des poursuites dans certains cas. « Ainsi, il y a sanction à tous les coups : car même si la personne ne paie pas, le Trésor Public, lui, n’oublie rien ! Et l’amende n’éteint pas une possible judiciarisation. Et au final, mes agents qui ramènent 500 consommateurs de stupéfiants par an au commissariat n’ont pas le sentiment de bosser pour rien », résume le policier.

Qui l’assure : « Dans la tête de mes hommes, cela change tout ! »

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : Thomas Poupeau du journal Le Parisien / Photo d’illustration

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Publié le 18 Juillet 2017

Les agents de la police municipale sont désormais équipés de caméras portatives qu’ils peuvent déclencher lors d’intervention. Un moyen d’apaiser les relations avec les administrés.

Protéger les agents et les citoyens. Voilà le rôle espéré des 25 nouvelles caméras portatives déployées sur les policiers municipaux d’Aulnay. Elles leur permettent d’enregistrer une intervention susceptible de dégénérer. Un dispositif pas neutre, dans la ville où Théo, 21 ans, a été victime, il y a quelques mois, d’un viol présumé par des agents de la police nationale. Nous avons suivi ses agents communaux sur le terrain.

8 heures, on s’équipe des caméras. Ce matin-là, Pascal, chef de brigade au sein de cette police municipale de 76 agents, est de patrouille avec Ludovic. « On récupère la caméra à l’armurerie, au même endroit que notre armement. C’est aussi là qu’est installé le docking, l’écran qui permet de visionner les images », explique-t-il.

Pour les agents, ces caméras permettent d’équilibrer leur rôle au quotidien. « Jusqu’ici, c’est nous qui étions filmés par le téléphone portable des gens qu’on interpelle. Facile pour eux d’isoler une scène, comme lorsque l’on met une personne au sol, puis de la diffuser sur le Web sans le contexte, analyse William Roizes, directeur adjoint à la PM. Avec nos caméras, on filme tout. C’est un élément imparable en cas de plainte. » Détail important : c’est le policier lui-même qui décide d’enregistrer… ou non. « Mais c’est dans notre intérêt de filmer », assure l’officier.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : Le Parisien / Photo d’illustration

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Publié le 9 Juillet 2017

Une échelle posée sur le mur d’un pavillon et deux hommes fouillant les abords de la maison. Ce n’est pas si courant : la police semble avoir pris deux cambrioleurs présumés sur le fait, à Aulnay-sous-Bois. Les faits ont eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche, avenue de Touraine.

La patrouille est intervenue à 2 h 35, empêchant les deux suspects de pénétrer dans le pavillon. Les deux hommes ont été interpellés pour tentative de vol avec effraction.

Source article : Le Parisien / Photo d’illustration

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Publié le 25 Avril 2017

C’était ce mardi 25 avril aux alentours de 14 heures sur le parvis de l’Hôtel de Ville.

Aulnay-sous-Bois a rendu hommage à Xavier Jugelé, policier assassiné dans un attentat aux Champs Elysées

Aulnay-sous-Bois a rendu hommage au Capitaine Xavier Jugelé, policier assassiné le 20 avril dans l’attentat des Champs Elysées.

Aulnay-sous-Bois a rendu hommage à Xavier Jugelé, policier assassiné dans un attentat aux Champs Elysées

Source photos : compte Twitter de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 5 Février 2017

Un policier mis en examen pour viol, les trois autres pour violences volontaires après l'interpellation au cours de laquelle Théo, un jeune homme de 22 ans a été blessé jeudi à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Le parquet a requis le placement sous contrôle judiciaire des fonctionnaires, qui étaient en garde à vue depuis jeudi soir dans les locaux de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).

Les policiers sont soupçonnés d'avoir porté de violents coups de matraque à ce jeune homme, gravement blessé au niveau de la zone rectale et toujours hospitalisé dimanche.

Source article : Le Parisien

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Publié le 15 Mars 2016

Trois russes avec un pistolet automatique arrêtés par la police à Aulnay-sous-Bois

Repérés alors qu’ils venaient de commettre plusieurs infractions au Code de la route, trois hommes de nationalité russe, ont été interpellés, dans la nuit de lundi à mardi, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) par des policiers de la Direction territoriale de la sécurité de proximité (DTSP).

Très vite, les fonctionnaires se sont rendu compte qu’une arme de poing était partiellement cachée sous le tapis de sol du véhicule des contrevenants. Aussitôt, les policiers ont récupéré ce pistolet automatique, chargé, avant d’interpeller les trois suspects. Après vérification, un d’entre eux faisait l’objet d’une fiche S, pour Sûreté de l’Etat, pour son appartenance à une organisation mafieuse russophone.

Déjà bien connus des service de police, ces trois ressortissants russes ont été placés en garde à vue dans les locaux du service départemental de police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis.

Source article : Le Parisien / Photo d’illustration

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Publié le 7 Mars 2016

Main cassée pour un policer après un rodéo en voitures sur le parking de O’Parinor à Aulnay-sous-Bois

Le rodéo improvisé dans la nuit de vendredi à samedi sur le parking du centre commercial O’Parinor à Aulnay se poursuivra au tribunal.

Les deux personnes arrêtées au terme d’une intervention compliquée, seront convoquées dans le cadre d’une comparution de reconnaissance préalable de culpabilité, autrement appelée «plaider coupable ». Ils sont originaires de Beauvais (Oise).

Un fonctionnaire a eu la main fracturée, il s’est vu prescrire 21 jours d’ITT (interruption totale de travail). Le rodéo clandestin avait été improvisé sur un parking, utilisé par les usagers du centre, dont les cinémas et restaurants sont encore ouverts. Les policiers, qui ont essuyé des jets de cannettes et de pierres, ont dû tirer au flash-ball. Le rassemblement s’était dispersé dans la foulée.

Source article : Le Parisien / Image d’illustration

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Publié le 6 Mars 2016

La police stoppe un rodéo de voitures à coups de flash-ball sur le parking de O’Parinor à Aulnay-sous-Bois

Un parking de centre commercial aux airs de Far-West. Dans la nuit de vendredi à samedi, des policiers ont dû tirer quelques coups de flash-ball pour faire cesser un rodéo — une sorte de concours de voitures clandestin.

Peu avant 1 heure du matin, plusieurs patrouilles de police font irruption sur la zone de stationnement de la galerie O’Parinor, où se regroupent, comme souvent, plusieurs amateurs de courses sauvages de voitures.

L’intervention ne plaît pas aux jeunes présents. La police essuie alors quelques jets de projectiles, notamment des canettes et des pierres. Les forces de l’ordre ripostent avec leurs flash-balls. Le rassemblement s’est dispersé dans la foulée, et deux jeunes ont été interpellés puis placés en gare à vue.

Source article : Le Parisien / Image d’illustration

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Publié le 2 Mars 2016

Bien que nous disposions d’un certain nombre d’informations sur l’intervention des forces de l’ordre au niveau du Galion à Aulnay-sous-Bois aujourd’hui, nous préférons les garder en stock pour ne pas gêner l’enquête.

Quoi qu’il en soit, le quartier des 3000 était totalement bouclé comme le montre nos vidéos inédites tournées sur place par notre rédacteur en chef Marc Masnikosa.

Les polices municipale, nationale et scientifique étant sur place, c’est forcément très sérieux.

A suivre donc…

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Publié le 27 Février 2016

Vous trouverez ci-dessous un communiqué du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve félicitant les policiers de la Brigade Spécialisée de Terrain d’Aulnay-sous-Bois qui ont interpellé sur l’A3 l’individu ayant fait un braquage au McDonald après avoir renversé un enfant de six ans.

Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve félicite les policiers de la BST d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 26 Février 2016

Nouveau commissariat à Aulnay-sous-Bois : Daniel Goldberg va aussi rencontrer le ministre de l’Intérieur !

Décidément, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, va beaucoup entendre parler d’Aulnay, ces prochains jours. Alors que le maire (LR) Bruno Beschizza vient de recevoir un courrier l’invitant à prendre rendez-vous avec le locataire de la place Beauvau, c’est au tour de Daniel Goldberg, député PS, de décrocher un entretien avec Cazeneuve. Celui-ci devrait avoir lieu le 7 mars.

Au programme : le projet de reconstruction du commissariat. «Nous avons perdu beaucoup de temps, l’ex-majorité (NDLR : dirigée par Gérard Ségura PS) avait trouvé un terrain mais celui-ci ne convient pas au maire actuel, qui a pris du temps pour trouver un autre site, explique Goldberg. Je veux rappeler au ministre ce projet, et m’assurer qu’il est toujours prioritaire. »

Source : Le Parisien

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Publié le 15 Février 2016

Nouveau commissariat de police à Aulnay-sous-Bois : le maire Bruno Beschizza bientôt reçu par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve

Bruno Beschizza, maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois, devrait être prochainement reçu par Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur. Au programme de cette rencontre : la construction d’un nouveau commissariat. La ville vient en effet de recevoir un courrier émanant de la Place Beauvau, invitant la municipalité à prendre attache avec le chef de cabinet du ministre.

Le 20 novembre dernier, l’édile avait écrit à Bernard Cazeneuve pour faire notamment part de la situation de l’actuel commissariat « dont la localisation pose incontestablement de nombreuses difficultés, qui ne permettent pas d’assurer une activité de service public en adéquation avec les inquiétudes et les exigences actuelles ».

Source article : Le Parisien

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Publié le 11 Février 2016

Attention ! Mise au point sur la téléalarme à Aulnay-sous-Bois

Suite à de nombreux appels téléphoniques d'Aulnaysiens, nous portons à votre attention que l'offre commerciale concernant une "Alarme Haute Sécurité avec Alerte à la Police" de la société "Sécuritas direct", filiale de Vérisure, ne fait pas l'objet d'un conventionnement avec la Police municipale d'Aulnay-sous-Bois.

Seul le groupe "SECURITAS", dont "Securitas Direct" n'est pas une filiale, est partenaire de la Police municipale pour la gestion de ses alarmes. L'inscription à ce service est possible auprès de la Police municipale au 5-7 rue Kléber à Aulnay-sous-Bois.

En cas de doute ou de danger, la Police municipale est à votre écoute et est joignable 7j/7 et 24h/24 au 0800 39 93 93.

Source : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 7 Février 2016

Donnant, donnant ! Bruno Beschizza, maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois, vient de rencontrer le préfet de police de Paris — le patron de la sécurité dans la capitale et en petite couronne. Objectif : remettre sur la table le projet de création d’un nouveau poste de police nationale dans sa commune, pour remplacer les locaux actuels, vétustes. Entre autres arguments, l’édile rappelle que sa ville octroie des moyens conséquents aux forces de l’ordre.

16 000 € annuels… payés par la ville. De la part de la municipalité, les policiers d’Aulnay bénéficient de trois véhicules sérigraphiés et d’un quatrième banalisé, assurances et entretien compris. Mais aussi de dix lampes torches, de quarante gazeuses, d’un ordinateur, d’appareils photo et de mobilier. Au total, il en coûte plus de 16 000 € par an à la ville ! Et certaines de ses fournitures sont prêtées depuis 2012.

Un commissariat mal situé et vétuste.

Des locaux vétustes. Autre argument plaidé devant le préfet de police, la vétusté du site actuel, où travaillent 200 gardiens de la paix. Une salle d’accueil « saturée », des « problèmes de confidentialité » pour les plaignants, pas de locaux réservés aux fouilles et aux visites de médecins et avocats, selon les services municipaux. La localisation même de la structure, dans le secteur pavillonnaire sud de la ville, rallonge « les délais d’intervention ».

Une promesse de Valls. Ce projet de relocalisation du commissariat n’est pas nouveau. En 2013, Gérard Ségura, ex-maire PS, a obtenu un courrier de Manuel Valls, alors ministre de l’Intérieur. Celui-ci stipulait que « la réalisation du nouveau commissariat de Sevran n’exclut pas la relocalisation du commissariat d’Aulnay ». Beschizza — qui avait dénoncé à l’époque un « effet d’annonce » dans le contexte des municipales — voit dans ce courrier un « engagement de Valls », devenu Premier ministre.

« L’Etat doit respecter son engagement, d’autant que nous avons trouvé un terrain qui convient à tout le monde ». La parcelle en question est située avenue du Maréchal-Juin. « La région passée à droite pourrait prendre part au financement », ajoute Beschizza. Du côté de la préfecture de police de Paris, on reste muet. « C’est à l’étude », jure une porte-parole.

Source article : Le Parisien / Vidéo d’illustration : Aulnaylibre !

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Publié le 5 Février 2016

L’Etat étant incapable de rassurer les français il faut prolonger l’état d’urgence selon le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza

Le parlement a demandé à être associé au contrôle de l’Etat d’urgence. Cela se fait au niveau d’une commission ad hoc au Parlement mais aussi avec les élus à l’échelle départementale. Ce jeudi matin, le préfet Philippe Galli a dressé un premier bilan de l’Etat d’urgence en Seine-Saint-Denis avec plusieurs élus.

95 perquisitions administratives ont été menées depuis près de deux mois. Après une salve d’interventions engagées sous la responsabilité du préfet dans les 15 jours qui ont suivi les attentats, leur rythme a ralenti. On dénombre 21 assignations à résidence, dont six font l’objet d’une contestation devant le tribunal administratif. Par ailleurs, les parlementaires ont appris qu’une centaine de jeunes de Seine-Saint-Denis étaient partis en Syrie.

Lors de ce petit-déjeuner sous le signe de l’Etat d’urgence, les parlementaires de tous bords ont pu échanger avec le préfet. Tous n’étaient pas présents. Jean-Christophe Lagarde, député maire UDI de Drancy, Marie-George Buffet, (PCF-Stains-Blanc-Mesnil-Dugny) et Elisabeth Guigou (PS-Aubervilliers) étaient retenus ailleurs.

Bien présent, le député frondeur, Mathieu Hanotin, député PS de Saint-Denis-Pierrefitte-Villetaneuse (2e circonscription), se montre très prudent : « Je n’ai pas encore arrêté ma position concernant la prolongation ou non de l’Etat d’urgence. Je suis contre un état d’urgence permanent mais peut-être faut-il le prolonger encore de quelques mois. J’attends les explications du ministre de l’Intérieur pour me prononcer. »

Plus loyaliste, le socialiste Razzi Hamadi considère que « le niveau de menace justifie le maintien de l’Etat d’urgence, même s’il n’a pas vocation à rester permanent ». Il en veut pour preuve les saisies d’armes : « Quatorze armes à feu, 1 kg d’explosifs, des grenades avec des détonateurs sophistiqués ont été découverts », détaille le député.

Chez Les Républicains, Bruno Beschizza, le maire d’Aulnay-sous-Bois, parvient à la même conclusion avec un diagnostic différent : « Ce n’est pas un sujet partisan. Vu que l’Etat est dans l’incapacité de porter un message rassurant, il faut prolonger l’état d’urgence. » Il n’assistait pas à la réunion car il siégeait au conseil régional. Pour autant, l’élu regrette « d’être tenu à l’écart » : « On n’a jamais d’information, même a posteriori, une fois que les perquisitions ont lieu. Si ça se passe mal, c’est nous qui prenons le retour de flamme. Nous sommes des relais de terrain dans les deux sens, il ne faudrait pas l’oublier. »

Source article : Le Parisien

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Publié le 4 Février 2016

En 2015, la délinquance a reculé de 1,3 % en Seine-Saint-Denis. C’est la tendance générale dégagée par le dernier bilan statistique, dévoilé par la préfecture de Bobigny ce mercredi soir. Mais cette donnée est un peu l’arbre qui cache la forêt. L’activité délinquante atteint toujours des niveaux stratosphériques : 123 520 faits délictueux ont été enregistrés par la direction de départementale de la sécurité publique et 37 722 personnes ont été mises en cause (- 3.6 %).

Les plus fortes baisses ont été constatées pour les vols avec violences sans arme (- 5.24 %, -597 faits) qui touchent quand même toujours près de 11 000 personnes dans le 93 — c’est plus du double que dans les Hauts-de-Seine. Les chiffres s’améliorent aussi pour les destructions et dégradations de biens (- 17.1 %, -2 373 faits), les vols liés à l’automobile et aux deux roues (- 5.9 %, -1 487 faits) et les vols à la tire (- 5.2 %, -597 faits). Côté cambriolages, ça augmente : 11 100 en 2015, soit 3,4 % de plus. Les vols avec armes blanches ont aussi fortement progressé (+25,5 %, + 151 faits).

Moins de voitures brûlées, plus d’homicides

Dans les quartiers sensibles, le climat est à l’apaisement, se félicite la préfecture. « Les violences urbaines sont de plus en plus épisodiques et limitées dans leur intensité et leur durée. » Il y a encore eu 1 218 voitures brûlées en 2015 (plus de trois par jour en moyenne) mais c’est mieux qu’en 2014 (1 484 voitures incendiées).

Ces tendances à la baisse sont plombées par le trafic de stupéfiants, endémique sur le département. Cette criminalité se caractérise par des règlements de compte d’une rare violence. « 30 % des meurtres et 60 % des tentatives de meurtre traitées cette année étaient des règlements de comptes », souligne la préfecture. Les homicides ne connaissent aucune trêve : 28 en 2015 contre 25 en 2014. La police judiciaire a été saisie de 22 procédures d’homicides volontaires (dont 2 doubles homicides dans un contexte familial et 8 affaires sur fond de règlements de compte entre délinquants) contre 16 en 2014.

7,7 M€ d’avoirs criminels saisis

La lutte contre le trafic de stupéfiant a été couronnée par plusieurs démantèlements de gros réseaux. Le plus retentissant s’est déroulé à la cité Cordon, haut lieu du « business » à Saint-Ouen. Le 11 juin 2015, deux trafiquants étaient interpellés. Treize autres dealeurs seront arrêtés au début de l’année 2016, aboutissant à dix incarcérations.

Corollaire du trafic, le blanchiment est l’autre versant de l’économie souterraine, contre lequel lutte le groupement d’intervention interrégionale 93. En 2015, le GIR a pu saisir 240 632 € en espèces, 1,58 M€ sur des comptes bancaires, 31 biens immobiliers. Le montant total des avoirs criminels saisis en 2015 s’élève à 7,7 M€.

Source article : Le Parisien / Vidéo d’illustration : Aulnaylibre !

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Publié le 15 Janvier 2016

Le maire Bruno Beschizza met le paquet sur la sécurité à Aulnay-sous-Bois

L’ancien flic appose son empreinte sur Aulnay. Le maire LR Bruno Beschizza — ex-officier de police et chargé des questions de sécurité de son parti — a décidé de ramener la téléalarme dans le giron municipal.

Depuis le début de l’année, ce n’est plus une société privée mais bien la police municipale qui intervient au domicile des abonnés en cas de cambriolage. Le concept est simple : quand l’alarme d’un logement sonne, un prestataire vérifie qu’il ne s’agit pas d’une fausse alerte puis prévient la police municipale qui se rend sur les lieux. Tarif du service : 264 €/an. « Cette formule existait depuis 1988, mais la précédente majorité (NDLR : dirigée par le socialiste Gérard Ségura) a décidé de faire appel à un prestataire privé, qui dépêchait un vigile sur place, rappelle Séverine Maroun, maire adjointe en charge de la sécurité. Or, beaucoup d’abonnés ont constaté qu’entre le déclenchement de l’alarme et l’arrivée de l’agent, il s’écoulait souvent plus d’une heure ! » Des failles qui ont, selon l’élue, conduit à une baisse du nombre de citoyens affiliés à ce service : « De 900 abonnés au début, il n’y en avait que 457 au dernier comptage », ajoute l’adjointe.

Un délai d’intervention de 5 à 10 minutes

L’actuelle majorité a donc décidé de faire à nouveau appel à la police municipale. « Depuis que c’est elle qui se déplace, le délai moyen d’intervention est de 5 à 10 minutes », précise Séverine Maroun. Qu’en disent les habitants ? « C’est une bonne idée, si c’est plus efficaceet que cela ne coûte pas une fortune, estime un habitant de la rue Danton. Dans ma rue, on compte un cambriolage par an. Moi, j’ai été cambriolé il y a trois ans, quand je quitte mon domicile le matin, j’ai peur de le retrouver vide le soir… »

De son côté, Daniel Goldberg, élu d’opposition PS et député, n’a « pas de problème avec ce service ». Mais précise : « Si on fait de cette prestation un service public, tous les Aulnaysiens doivent pouvoir en profiter, pas simplement les habitants des quartiers du sud et du centre (NDLR : les zones pavillonnaires). Il en va du principe d’égalité. Je ne suis pas sûr que la ville ait prévu le budget si tous les habitants veulent en profiter. »

La municipalité met le paquet sur la sécurité

Parmi les grands chantiers de 2016, la municipalité d’Aulnay-sous-Bois va largement développer la vidéosurveillance. De 23 caméras aujourd’hui, elle va en installer 46 supplémentaires d’ici quelques mois. Objectif : 200 caméras d’ici 2018, pour un coût total de 2,36M€, «entre le matériel, le cablage et le génie civil», détaille Séverine Maroun, maire-adjointe (LR) en charge de la sécurité. Par ailleurs, les travaux de construction du nouveau centre de supervision urbaine (CSU), qui permettra de visionner les images de vidéosurveillance, vont démarrer cette année, la structure devant sortir de terre l’an prochain. Elle sera située juste à côté des locaux de la police municipale, avenue Kleber.

Source article : Le Parisien

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Publié le 2 Janvier 2016

L'état d'urgence en vigueur en France depuis les attentats du 13 novembre ne fait pas tout. Huit cent quatre véhicules ont été incendiés en France au cours de la nuit de la Saint-Sylvestre 804 a annoncé vendredi le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve. Le ministère précise que ce nombre est en baisse de 14,5% par rapport à l'année dernière, lors du passage à 2015. Quelque 940 véhicules avaient officiellement été incendiés. Selon les informations du Parisien, 22 voitures ont été brûlées dans les Yvelines, 22 dans l'Essonne et moins d'une dizaine dans l'Oise.

Le nombre d'interpellations a lui été deux fois plus important qu'il y a un an et a concerné 622 personnes, dont 368 ont été placées en garde à vue, indique le ministère dans un communiqué, sans plus de précision. Pour le ministre, «ces résultats confirment la grande efficacité du travail des forces de sécurité», qu'il félicite. Les festivités étaient encadrées par une forte présence des forces de l'ordre un mois et demi après les attentats de Paris. Plus de 100.000 gendarmes et policiers étaient ainsi mobilisés pour la nuit du Nouvel An. Il n'y avait pas selon M. Cazeneuve de «menace précise» d'attentat mais «une menace générale sur l'ensemble des capitales européennes avec des messages de Daech qui sont envoyés».

Source article : Le Parisien / Vidéo d’illustration : Aulnaylibre !

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Publié le 28 Novembre 2015

Après les attentats de Paris les policiers du 93 s’estiment sous-équipés

Manque de gilets pare-balles, pénurie de casques lourds... A l'heure de l'état d'urgence et à deux jours du lancement de la COP21, des policiers tirent le signal d'alarme.

« Aucun stock ou presque, pas de gilets pare-balles lourds, ni de casques lourds, comment faire face à la situation ? » fulmine Sébastien Bailly, représentant départemental du syndicat de gardiens de la paix Alliance, qui tente d'alerter depuis des semaines l'administration à ce sujet. Ces gilets, équipés d'une plaque céramique, sont capables de résister à un tir de kalachnikov, pas les autres, plus fins. Idem pour les casques lourds. Un rapide sondage des policiers de terrain permet de confirmer le constat.

Un fusil à pompe pour les brigades anticriminalité

« Aucun gilet lourd n'est arrivé, assure un policier en tenue d'une brigade police secours. Et on a des casques de maintien de l'ordre alors qu'on devrait avoir des casques lourds. A bout de souffle physique et psychologique, voilà l'état d'esprit des policiers dans le 93 », résume ce fonctionnaire, quinze ans de Seine-Saint-Denis à son actif. « Quand il a fallu aller en renfort s ur Saint-Denis avant l'arrivée du Raid, les policiers ont mis du temps avant de réunir des gilets pare-balles lourds », confie un autre fonctionnaire.

« Des demandes ont été faites après les attentats de janvier, mais on n'a rien vu arriver », regrette un gradé du département qui sait que le déficit budgétaire et les lourdeurs administratives peuvent expliquer la situation. La direction générale de la police nationale assure que 2 400 gilets lourds ont été livrés en France et 200 casques lourds depuis janvier. En Ile-de-France, c'est le Sgami (secrétariat général d'administration du ministère de l'Intérieur) qui se charge de la répartition. Combien et comment les ont-ils répartis ? Aucune réponse, malgré plusieurs sollicitations depuis cinq jours.

Une nouvelle arme, promise depuis janvier, vient de faire son apparition dans les commissariats : le fusil à pompe, « plus approprié que le pistolet semi-automatique pour riposter à un tir de fusil d'assaut » de l'avis de policiers. « Pour l'instant, seules les BAC (brigades anticriminalité) en sont dotées, alors qu'il faudrait que toutes les patrouilles puissent en avoir dans le coffre », estime un gradé.

Source : Le Parisien

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