securite publique

Publié le 4 Novembre 2021

Deux ans de prison dont un an avec sursis, mais sans mandat de dépôt. Ce sont les termes du délibéré rendu ce mercredi après-midi par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis), à l’encontre de deux jeunes. Le parquet avait requis, le 22 septembre, dix-huit mois de prison ferme, avec mandat de dépôt, assortis de six mois avec un sursis probatoire, pour avoir porté des coups à deux policiers de la compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI), à Aulnay-sous-Bois, le 3 janvier dernier, alors qu’ils intervenaient en lisière de la cité sensible des 3 000.

Un an de prison ferme pour les deux agresseurs de policiers dans la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois

Les deux prévenus étaient absents à l’audience, ce mercredi, mais leurs avocats, qui avaient fait le déplacement, ont réagi. « Cette peine est une peine d’apaisement, alors que nous attendions une décision plus tranchée, qui reflète mieux la vérité judiciaire », déplore Me David-Olivier Kaminski, avocat d’Omar, l’un des deux prévenus. De bout en bout, ce dernier avait nié être présent lors de ce contrôle d’un scooter qui a dégénéré.

L’avocate d’un policier satisfaite

Un jeune juché sur deux-roues avait bien obtempéré, avant de rameuter ses amis. Léo et Sébastien* (les prénoms ont été changés), deux motards de la CSI âgés de 25 et 45 ans, avaient rapidement été débordés et s’étaient retrouvés aux prises avec une dizaine d’assaillants décidés à en découdre.

Alors que le conducteur du deux-roues était au sol, le plus jeune des deux policiers avait tenté de le menotter, mais il s’était rebellé. Le fonctionnaire de police avait ressenti une vive douleur au bras, « comme si on me démembrait. J’avais la sensation que mon épaule était descendue au niveau de mon coude », avait confié le policier en septembre dernier.

Il recevra en plus une barrière sur la tête. Au total, 90 jours d’incapacité totale de travail (ITT) lui seront appliqués. Son collègue a aussi été en fâcheuse posture. Il en réchappera avec des côtes cassées. La scène, d’une rare violence, avait été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux.

Les deux suspects n’ont cessé de nier les faits. Ilyes avait invoqué « la peur panique devant les violences policières » et assuré que l’un des policiers était en train de l’étouffer avec son genou. « Les policiers cherchaient une cible », avait dénoncé Omar, en niant toute violence. Son avocat plaidera le fait qu’il n’avait pas pu être formellement reconnu.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source photo : Twitter

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Publié le 18 Octobre 2021

Ce week-end, Bruno Beschizza a partagé une tribune avec Frédéric Péchenard et Vincent Jeanbrun dans Valeurs Actuelles pour dénoncer les propos tenus par certains élus de gauche accusant la police de tuer des citoyens, dans le silence coupable des leaders de cette même gauche. Nos policiers méritent bien mieux que ces mises en cause déshonorantes d’après le maire d’Aulnay-sous-Bois.

Consultez la tribune en cliquant : ici

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza fustige les propos de certains élus de gauche vis-à-vis de la police

Source information et image : compte Facebook de Bruno Beschizza

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 23 Septembre 2021

C’est l’histoire d’un banal contrôle routier qui dégénère, à proximité de la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois. De coups portés et d’insultes proférées par une dizaine de personnes, venus prêter main-forte à deux jeunes hommes contrôlés par deux policiers. Et d’une vidéo qui avait fait le tour des réseaux sociaux. Bilan : deux motards de la CSI 93 (compagnie de sécurisation et d’intervention) sérieusement blessés. Deux des agresseurs comparaissaient ce mercredi devant le tribunal de Bobigny.

Le 3 janvier 2021. Un jeune se fait intercepter sur un puissant scooter. Il n’a pas le permis adéquat. Il s’arrête bien à la demande de deux policiers à moto et commence à parlementer. Il risque le retrait de six points sur son permis. « Vous pouvez me faire une fleur ? », risque Ilyes, le contrevenant. « Je ne suis pas fleuriste », lui rétorque le gardien de la paix. Les deux motards lui indiquent que s’il présente sa pièce d’identité, il fera l’économie du commissariat. Mais tout à coup, tout part en vrille. Des coups pleuvent, accompagnés d’insultes et de menaces de mort.

Agression de deux policiers à Aulnay-sous-Bois : la situation huit mois après les faits

« C’était comme si on me démembrait », raconte un policier

« Je vais te démonter fils de chien. Je vais te mettre une patate sur ta gueule. Viens sur Degas (NDLR : une rue du quartier des 3000) et on va te tuer. » Les copains de la cité sont rameutés. Une dizaine de personnes arrive sur le point de contrôle pour aider leurs camarades aux prises avec la police.

Léo (le prénom a été changé), un gardien de la paix de 25 ans, plaque Ilyes au sol et tente de le menotter mais le jeune homme se rebiffe et le projette contre le bitume. Le policier ressent alors une douleur d’une violence inouïe à l’épaule : « C’était comme si on me démembrait. J’avais la sensation que mon épaule était descendue au niveau de mon coude », explique-t-il. Puis une barrière de chantier lui atterrit sur la tête. Heureusement il est protégé par son casque. Son collègue Sébastien (le prénom a été changé), 45 ans, est aussi en fâcheuse posture. Il encaisse une pluie de coups de pied et s’en sortira avec des côtes cassées. Malgré la souffrance insupportable, Léo se traîne pour venir en aide à son coéquipier qui parvient à donner un coup de gazeuse pour disperser la dizaine d’assaillants.

Ce mercredi, ils ne sont que deux prévenus à la barre du tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à répondre de la rébellion. Les cheveux ramassés en une longue queue-de-cheval, Ilyes nie catégoriquement les violences. Au contraire, il objecte que « le policier était en train de l’étouffer en lui enfonçant son genou sur la nuque ». Il ne manque pas de rappeler le récent scandale qui avait terni l’image de la CSI 93. « Avec tout ce qui se passe à la CSI, ces violences policières… J’ai paniqué. J’ai rien contre la police », ajoute-t-il. Cette unité de 150 hommes a fait l’objet de quatre mises en examen pour du racket de dealeurs, des violences et des propos racistes.

Mais dans ce dossier, les policiers sont victimes. Omar, le second prévenu, qui avait pris part à la meute, réfute lui aussi toute violence. « Les policiers mentent. Ils cherchaient une cible, c’était moi », affirme ce trentenaire enrobé.

Deux ans de prison requis pour chacun

Maître David-Olivier Kaminski, son avocat, enfonce le clou : « C’est un crime de lèse-majesté de remettre en cause la parole les policiers. Les perceptions peuvent vous induire en erreur. » D’autant plus que les images des vidéos tournées par des participants à la rixe et celles de la ville d’Aulnay ne permettent pas de reconnaître les visages des agresseurs.

Mais les séquelles de l’affrontement sont bien réelles. Elles sont physiques mais aussi psychologiques. Sébastien, discret sur le retentissement de l’agression, a pu reprendre le travail mais pas comme motard. Il avoue : « Les menaces de mort m’ont plus marqué que les coups. » Son jeune collègue, qui totalise 90 jours d’ITT, souffre d’un syndrome post-traumatique et il est toujours en arrêt de travail. Il a subi une double greffe osseuse et des tendons. Et devra tirer un trait sur son rêve, celui d’intégrer une unité d’élite. Tous deux disent avoir eu le sentiment « d’une mort imminente ».

Le procureur n’a pas fait de distinction. Il a requis deux ans de prison assortis de 6 mois de sursis probatoire et un mandat de dépôt. L’affaire a été mise en délibéré au 20 octobre prochain.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source image : Twitter

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Publié le 10 Juin 2021

Ce matin, le maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza a eu le plaisir d'accueillir Frédéric Péchenard, tête de liste de Valérie Pécresse à Paris, pour une visite du Centre de supervision urbain "Aurélie Fouquet" de la Police municipale d'Aulnay-sous-Bois.

Cette réalisation est une démonstration que le "bouclier de sécurité" de Valérie Pécresse c'est du concret !

845 000 euros de la région Ile-de-France pour renforcer les moyens de la police municipale à Aulnay-sous-Bois

Depuis 2016, la ville d’Aulnay-sous-Bois a bénéficié de 845 000€ de subventions de la part de la région Ile-de-France pour renforcer les moyens de la Police municipale : vidéoprotection, gilets pare-balles, caméras piétons, véhicules...

845 000 euros de la région Ile-de-France pour renforcer les moyens de la police municipale à Aulnay-sous-Bois

Source information et photos : page Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 4 Juin 2021

Ils ont écouté religieusement l’ancien commandant de la Police nationale devenu maire leur apporter son soutien. Puis, chacun a déposé un écusson bleu blanc rouge sur le capot d’un véhicule, signe du « manque de reconnaissance » dont ils s’estiment victimes.

A l’appel de la CFTC, des policiers municipaux d’Aulnay-sous-Bois se sont rassemblés ce jeudi matin dans la cour de leurs locaux pour protester contre la récente censure par le Conseil constitutionnel de plusieurs articles majeurs de la loi dite « Sécurité globale ».

La police municipale à Aulnay-sous-Bois réclame plus de compétences

« Quelle honte ! », s’est insurgé Bruno Beschizza (LR). Invité à prendre la parole, celui-ci est désormais à la tête de la quatrième commune la plus peuplée de Seine-Saint-Denis. Et celle où les effectifs de la police municipale (PM) sont les plus importants. Rien d’étonnant, donc, à ce qu’Aulnay-sous-Bois ait fait acte de candidature, en octobre 2020, pour expérimenter un élargissement des compétences des policiers municipaux.

Dans le département, la municipalité socialiste de Saint-Denis a fait de même. « Une ville de gauche et une ville de droite, pour un sujet qui n’a rien de partisan », observe Bruno Beschizza.

« Nous avons l’impression d’être des parias »

Le Conseil constitutionnel en a décidé autrement, lui qui vient de retoquer partiellement ou en totalité sept des 22 articles pour lesquels il avait été saisi. L’article 1er aurait ainsi permis, à titre expérimental et pour une durée de cinq ans, aux agents de police municipale d‘exercer des attributions de police judiciaire en matière délictuelle.

« La police judiciaire doit être placée sous la direction et le contrôle de l’autorité judiciaire, rappellent les Sages dans leur décision. Cette exigence ne serait pas respectée si des pouvoirs généraux d’enquête criminelle ou délictuelle étaient confiés à des agents qui, relevant des autorités communales, ne sont pas mis à la disposition d’officiers de police judiciaire ou de personnes présentant des garanties équivalentes. »

« Nous avons l’impression d’être des parias », souffle David Méseray, le président du syndicat CFTC-Police municipale en poste à Aulnay. En campagne pour les élections régionales - il est la tête de liste en Seine-Saint-Denis de la candidature de Valérie Pécresse (Libres !) -, Bruno Beschizza a dénoncé « une gifle portée à toutes celles et tous ceux qui s’engagent pour protéger nos compatriotes ».

L’élu a listé plusieurs des articles censurés, comme le fait de placer un gardé à vue sous vidéosurveillance sans la validation d’un juge ou l’utilisation des drones à des fins spécifiques. Une absurdité, selon lui. « Bientôt d’ailleurs, les dealeurs ne vont plus s’embêter à mettre des choufs, des guetteurs, ils vont acheter des drones pour repérer la police ! », s’exclame-t-il.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et photo : journal Le Parisien

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 3 Juin 2021

Ce jeudi matin, le maire Bruno Beschizza a répondu présent à l'appel du syndicat CFTC Police municipale pour manifester avec eux son indignation face à l'abandon des principaux articles de la "Loi pour une sécurité globale préservant les libertés" promulguée le 25 mai dernier.

Le maire Bruno Beschizza solidaire de l’indignation du syndicat CFTC Police municipale à Aulnay-sous-Bois

"Je m'associe pleinement à vos légitimes revendications" a tenu à préciser le maire, en présence de sa première adjointe Séverine Maroun. Les policiers municipaux présents ont ensuite procédé au dépôt symbolique de leurs écussons.

Source information et image : page Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié le 2 Juin 2021

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article de France 3 régions consacré aux polices municipales en Ile-de-France.

Selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, avec 79 agents de police municipale, Aulnay-sous-Bois figure parmi les villes d’Ile-de-France les mieux dotées.

Un choix assumé depuis 2014 par le maire Bruno Beschizza qui porte ses fruits puisque notre commune a retrouvé depuis 7 ans sécurité et attractivité.

Article complet de https://france3-regions à lire en cliquant : ici

Source information : https://france3-regions / Source photo d’illustration

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Publié le 30 Avril 2021

[HOMMAGE NATIONAL] Ce vendredi matin, un hommage national a été rendu à la policière Stéphanie M. assassinée le 23 avril dernier au commissariat de Rambouillet. La ville d’Aulnay-sous-Bois adresse ses pensées aux proches et aux collègues de cette policière.

Aulnay-sous-Bois s’associe à l’hommage national rendu à la policière assassinée à Rambouillet

Un rassemblement a été organisé à 10h30 au commissariat de la Police Nationale d'Aulnay-sous-Bois, en présence du maire Bruno Beschizza, du député Alain Ramadier, de la Sénatrice Annie Delmont-Koropoulis et de la conseillère départementale Séverine Maroun. La police municipale était également représentée aux côtés de nos forces de l'ordre.

Aulnay-sous-Bois s’associe à l’hommage national rendu à la policière assassinée à Rambouillet

Source information et images : page Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 26 Avril 2021

[HOMMAGE] Cet après-midi, en présence du maire Bruno Beschizza et de la première adjointe au maire en charge de la sécurité Séverine Maroun, les agents de la police municipale ont observé une minute de silence en hommage à Stéphanie M., policière assassinée le 23 avril dernier à Rambouillet.

Aulnay-sous-Bois rend un hommage républicain à Stéphanie, policière assassinée à Rambouillet

La ville d’Aulnay-sous-Bois s'associe à l'hommage républicain rendu au même moment par les proches, collègues et habitants devant la mairie de Rambouillet

Aulnay-sous-Bois rend un hommage républicain à Stéphanie, policière assassinée à Rambouillet

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Publié le 6 Avril 2021

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Depuis 2014, la délinquance a fortement chuté à Aulnay-sous-Bois. Moins 42,9 % concernant les vols à la roulotte et accessoires, moins 41,4 % sur les violences physiques crapuleuses, moins 40,2 % sur les tentatives et cambriolages et moins 14,8 % sur les atteintes aux biens.

Il faut dire que le maire Bruno Beschizza et sa première adjointe Séverine Maroun ont considérablement renforcé les moyens de la police municipale depuis 8 ans. 80 policiers municipaux, 24 opérateurs vidéo, 35 agents de surveillance des entrées et sorties d’écoles et 4 agents de surveillance de la voie publique sont ainsi au service des habitants de la commune. La vidéoprotection a également connu un développement spectaculaire. Le nombre de caméras est en effet passé de 26 en 2014 à 420 caméras en 2020.

La délinquance en forte baisse à Aulnay-sous-Bois depuis 2014

D’ici à 2026, le nombre de policiers sur le terrain devrait être porté à 100, afin de permettre une meilleure présence sur l’ensemble des quartiers, de jour comme de nuit, à pied, à vélo ou à moto. Le maillage de la vidéoprotection sera également intensifié, avec comme objectif d’atteindre les 800 caméras d’ici à cinq ans.

En résumé, vous l’aurez compris, la sécurité des Aulnaysiennes et des Aulnaysiens c’est une priorité de la majorité municipale conduite par Bruno Beschizza et les résultats sont là !

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Publié le 16 Mars 2021

Un nouveau commissariat de police nationale pour notre ville.

La ville d'Aulnay-sous-Bois s'engage aux côtés de l'Etat pour permettre la construction d'un nouveau commissariat à l'horizon 2024.

Un nouveau commissariat de police nationale à Aulnay-sous-Bois pour 2024 !

Les locaux aujourd'hui occupés par la police nationale rue Louis Barrault et rue du 14 Juillet ne sont plus adaptés aux usages des forces de l'ordre, ni à un accueil du public satisfaisant.

Sur proposition du maire Bruno Beschizza, le conseil municipal du 10 mars 2021 met à la disposition du ministère de l'Intérieur un terrain de plus de 4000 m2 situé avenue du Maréchal Juin, entre le lycée Jean Zay et le Stade du Moulin-Neuf.

Source information et image : page Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 16 Mars 2021

Valérie Pécresse estime que les réseaux sociaux ont contribué à renforcer le phénomène des règlements de compte entre bandes. Elle veut renforcer tous les maillons de la chaîne d'autorité dans les territoires franciliens.

Un conseil interministériel sur la violence des bandes s'est tenu ce vendredi matin. Qu'en attendez-vous ?

Cela fait des années que je tire la sonnette d'alarme. Le Covid et le confinement ont renforcé ces tensions. Mais cette violence est surtout liée aux réseaux sociaux où les bandes peuvent se regrouper, se lancer des défis. Je propose un plan global de démantèlement de ces bandes qui repose sur trois piliers, la sécurité, la responsabilité et la sanction.

Concrètement, que proposez-vous ?

Il faut renforcer tous les maillons de la chaîne d'autorité dans tous les territoires. La région a créé cinq brigades de sécurité dans les lycées, qui ont procédé, depuis septembre 2020, à 400 interventions pour ramener le calme. Il en faudrait huit, une par département. Je pense que les départements devraient créer des brigades sur le même modèle pour intervenir dans les collèges.

La police municipale serait un maillon essentiel ?

Il faut rendre obligatoire les polices municipales dans toutes les villes de plus de 10000 habitants. Des polices municipales qui soient armées d'armes à feu. On a vu leur efficacité lors de l'attentat terroriste de Nice l'année dernière. La région a financé l'équipement de 300 polices municipales, mais si on les rend obligatoires l'Etat devra transférer des moyens supplémentaires aux villes.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 6 Mars 2021

Le préfet de police Didier Lallement avait prévenu qu’il n’hésiterait pas à mettre fin aux regroupements dans Paris ce week-end si les gestes barrières n’étaient pas respectés. Ce samedi 6 mars 2021, en début d’après-midi, les forces de l’ordre ont évacué les quais de Seine sur lesquels s’étaient rassemblées de nombreuses personnes. « Les mesures sanitaires prises pour lutter contre la propagation de la Covid-19 ne sont pas respectées sur les quais de Seine », explique la préfecture sur Twitter.

La police procède à l’évacuation de la foule sur les quais de Seine à Paris !

Article de https://actu.fr à lire en cliquant : ici

Source article : https://actu.fr  / Source photo : compte Twitter de la préfecture de police de Paris

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Santé, #Sécurité publique

Publié le 22 Février 2021

Depuis la semaine dernière, il est de nouveau hospitalisé à Paris en raison d’une lésion des structures de son épaule. Il a ainsi subi une greffe osseuse et du tendon et a été arrêté pour un minimum de six mois.

Le procès se tiendra ce mercredi au tribunal de Bobigny, après une première audience en comparution immédiate le 13 janvier. Deux prévenus seront présentés à la justice : le conducteur de la moto qui avait fait l’objet du contrôle et un agresseur.

Greffe osseuse et du tendon pour le policier tabassé dans une rixe aux 3000 à Aulnay-sous-Bois

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Publié dans #Sécurité publique, #A vos quartiers !

Publié le 18 Février 2021

Doit-on y voir un effet Gérald Darmanin ? L’actuel ministre de l’Intérieur semble en tout cas durcir le ton sur les questions de sécurité. Ainsi, s’il venait à l’esprit de certains d’utiliser des mortiers, ces engins pyrotechniques aussi spectaculaires que dangereux, contre les forces de l’ordre à Aulnay-sous-Bois, ils s’exposeraient à une peine de trois mois de prison ferme.

Tireurs de mortiers sur des policiers à Aulnay-sous-Bois : vous risquez trois mois de prison ferme !

C’est en tout cas ce qui est arrivé à un jeune de 18 ans ayant tiré des mortiers sur des policiers à Clichy-sous-Bois. Vous voilà donc prévenus !

Source photo d’illustration : Twitter

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 17 Février 2021

[VIGILANCE] Ne laissez pas n'importe qui rentrer chez vous ! De faux policiers, faux postiers, faux agents ERDF, faux employés de la Mairie de la Ville d'Aulnay-sous-Bois multiplient les vols à la fausse qualité.

Ces vrais escrocs font du porte-à-porte et affirment être envoyés par la Mairie afin de pénétrer chez vous, d’abuser de votre confiance et ainsi de voler vos objets de valeur. Soyez Vigilants !

Faux policiers, faux postiers, faux agents ERDF et faux employés communaux à Aulnay-sous-Bois

Si vous êtes victime d'une telle démarche, contactez immédiatement la Police Municipale au 0 800 39 93 93 (numéro vert 24H/24H-appel gratuit)

Pour en savoir plus cliquez : ici

Source information et image : compte Facebook de la ville d’Aulnay-sous-Bois.

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 15 Février 2021

Maya aura évité de laborieuses recherches aux enquêteurs qui venaient perquisitionner un appartement de la rue du Bailli-de-Suffren, dans la cité des 3000, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) le 28 janvier. Ils savaient qu' ils cherchaient de la drogue, mais ignoraient où elle se planquait. Avec sa truffe dotée d'un flair hors pair, leur chienne est allée droit au but.

 
La chienne Maya aide la police municipale à détecter la drogue à Aulnay-sous-Bois !

« Elle s'est dirigée directement vers la buanderie et elle a marqué devant un sac en plastique dissimulé sous une étagère et n'a plus bougé, raconte Antoine Brenner, son maître. Puis, elle a commencé à gratter le paquet. »

Pas d'ambiguïté possible : Maya avait flairé le gros lot. Enveloppés dans de la cellophane se tenaient bien à l'abri 12,2 kg de résine de cannabis. Maya a eu droit à son boudin, un petit jouet qu'elle affectionne et qui vient couronner ses exploits.

Elle s'entraîne plusieurs fois par semaine à détecter des substances illicites

A peine un mois après son arrivée au sein de la police municipale d'Aulnay-sous-Bois, ce berger belge malinois âgé de 3 ans se taille déjà un statut de star au sein de l'équipe. Poids plume de 22 kg, robe fauve, affûtée comme un athlète de haut niveau, Maya est considérée comme un membre à part entière de cette unité qui ne compte pas moins de 80 policiers. C'est la plus étoffée d'Ile-de-France.

« C'est un auxiliaire de police, pas un toutou à sa mémère », souligne fièrement son maître. Et elle est particulièrement courtisée. Lors de la perquisition du 28 janvier aux 3000, elle participait à une opération menée par la police nationale, qui ne compte pas d'animal à quatre pattes dans ses rangs.

Il est vrai que l'achat d'un tel animal a un coût : « 3000 euros avec la formation », précise Loïc Le Roux, directeur général adjoint des services à la ville d'Aulnay. Tel un sportif professionnel, Maya s'entraîne plusieurs fois par semaine à détecter des substances illicites. Cannabis, cocaïne ou héroïne, elle est dressée pour repérer ces trois substances.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici 

Source article et photo : journal Le Parisien

 

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 8 Février 2021

Sans le chien Izno, il n'aurait certainement pas été possible de parvenir jusqu'à cette jeune femme de 20 ans. Retenue captive dans un appartement d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), sa disparition avait été signalée dans la soirée de dimanche par son frère au commissariat de Lilas. Il avait reçu des messages sur le réseau social Snapchat dans lesquels elle écrivait être retenue contre son gré. Sans donner plus de précision.

 
Une femme séquestrée à Aulnay-sous-Bois retrouvée grâce à un chien policier !

L'affaire est confiée au service départemental de la police judiciaire, le SDPJ 93, qui va immédiatement solliciter les experts de sa cellule d'assistance technique. Ils vont parvenir à géolocaliser le téléphone portable à Aulnay-sous-Bois, et plus précisément dans le quartier de Balagny, allée de la Catalogne.

Nez à nez avec un homme muni de deux couteaux

Les mailles du filet se resserrent mais pas encore au point de cibler l'appartement où la jeune femme serait retenue prisonnière. Les policiers vont alors lancer sur ses traces le chien pisteur Izno. Dans cet habitat très dense, les recherches vont s'avérer compliquées. Mais sur le coup de 2 heures du matin, Izno marque l'arrêt devant un appartement situé au 3e étage. Les policiers enfoncent la porte et se retrouvent nez à nez avec un homme muni de deux couteaux.

La jeune femme est retrouvée en vie. Mais elle pourrait avoir subi des violences sexuelles, selon son témoignage. Elle a raconté qu'elle aurait été enlevée à Romainville alors qu'elle regagnait son domicile. Le mobile est encore à confirmer mais elle a expliqué que son ravisseur, un homme de 55 ans, l'a kidnappé car « elle aurait déposé plainte contre lui. À la suite de cela il aurait été incarcéré », indique une source proche du dossier.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article : journal Le Parisien / Source photo d’illustration : Wikipédia

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 5 Février 2021

C’est un reportage qui fait froid dans le dos. Le mouse jacking semble être une nouvelle technique pour voler très facilement votre voiture. Le procédé est le suivant : un petit boîtier électronique actionné par le voleur permet d’empêcher la fermeture du véhicule. Dès lors il est accessible sans difficulté. Il peut être fouillé ou même volé.

La vidéo ci-dessous a visiblement été tournée sur le parking du centre commercial O’Parinor à Aulnay-sous-Bois, aisément reconnaissable. Moralité, désormais, vérifiez bien que votre voiture soit fermée en vérifiant vos portières avant d’aller faire vos courses !

 

 

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 27 Janvier 2021

NE FAITES RENTRER PERSONNE CHEZ VOUS !

Des personnes se faisant passer pour des agents de la ville pour couper l'eau se présentent chez vous.

Les individus en profitent pour fouiller la maison.

Quelques minutes plus tard, des individus en tenue de policiers repassent en déclarant avoir interpellé des personnes de la ville et effectuent des soi-disant relevés d'empreintes, puis quittent les lieux en ayant dérobé ce qu’ils pouvaient.

Attention aux faux agents de la ville et aux faux policiers à Aulnay-sous-Bois !

Source : compte Facebook de Séverine Maroun

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 17 Janvier 2021

Vous pouvez prendre connaissance ci-dessous d’un article du journal Le Parisien paru hier. Il évoque comment des copropriétaires se sont opposés physiquement à des trafiquants de drogue à Sevran. L’information est évidemment consternante. Elle illustre la faillite, de plus en plus perceptible, de l’Etat à remplir ses missions régaliennes notamment en matière de sécurité. A ce titre, on se souvient d’ailleurs de la visite en 2014 de Manuel Valls (voir notre vidéo tournée à l’époque en fin d’article), alors ministre de l’Intérieur, qui prouve que rien n’a vraiment changé depuis sept ans dans cette partie de la Seine-Saint-Denis.

Désormais, ce sont donc les régions et les territoires, incarnés ici par Valérie Pécresse (Ile-de-France) et Bruno Beschizza (Paris Terres d’Envol) qui tentent d’apporter des solutions aux carences de l’Etat…

Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza et Valérie Pécresse en soutien de Sevran contre les trafiquants de drogue !

Une présidente de région, des conseillers départementaux et plusieurs maires qui débattent de sécurité dans le parking souterrain d'une résidence privée de Seine-Saint-Denis. C'est l'étonnante scène à laquelle ont pu assister des habitants de Sevran, ce samedi entre midi et 14 heures.

Valérie Pécresse (Libres!), à la tête de la région Ile-de-France, s'est rendue à la rencontre de ces copropriétaires qui s'étaient opposés à mains nues à des trafiquants, début décembre. Ces derniers lorgnaient leurs parties communes - et notamment le parking - pour y installer leur point de deal.

Installation de caméras, hausse des effectifs de police, construction, ou non, d'un commissariat à Sevran… Pendant plusieurs dizaines de minutes, les habitants et les élus ont abordé ces nombreux sujets, après avoir écouté le récit édifiant des habitants de cette résidence livrée tout récemment, il y a seulement deux ans.

Deux trafiquants ont été condamnés

Début décembre, des trafiquants s'étaient installés plusieurs jours d'affilée au sein de leur parking, jusqu'à ce que le président du conseil syndical se décide de venir à leur rencontre.

« Je leur ai dit : Ici, vous ne pouvez pas rester, il y a des familles, des enfants… Ils m'ont entouré à cinq et ils m'ont frappé, témoigne-t-il face aux élus. Quand ils ont tenté de revenir, deux jours plus tard, on était plus de 80 propriétaires, hommes et femmes, à les attendre », poursuit-il.

Les dealers reviennent alors dissimulés sous des cagoules noires et armés « de marteaux et de couteaux. » Des coups sont échangés, les trafiquants battent en retraite. Quelques jours plus tard, deux d'entre eux seront arrêtés par la police.

L'un, considéré comme le meneur, a été condamné à un an de prison ferme dont six mois avec sursis, par le tribunal correctionnel de Bobigny. Le deuxième a écopé de deux mois de prison avec sursis.

 
Le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza et Valérie Pécresse en soutien de Sevran contre les trafiquants de drogue !

«On est propriétaire et on est prêt à se battre»

« Ils ont été condamnés mais ils sont déjà dehors ! » s'est emporté, devant la présidente de région, un autre copropriétaire. Ce trentenaire habite la résidence d'en face, plus proche de la nouvelle station de tramway. « Deux semaines après ce qu'il s'est passé, ils ont essayé de s'installer chez nous, cette fois, raconte-t-il. Et nous aussi, on a dû descendre à trente pour les faire partir. Il n'y a pas assez de patrouilles de police et nous, on est prêt à se battre pour défendre nos maisons et nos appartements. On n'en a pas envie, mais on le fera. »

Car les résidences de ce secteur pavillonnaire du quartier Freinville représentent un territoire stratégique pour ces trafiquants, à l'intersection de la cité Rougemont, où est déjà implanté un gros trafic de stupéfiants, et de Livry-Gargan.

« La République, ce ne sont pas des habitants qui doivent se défendre tous seuls face à des trafiquants, et ce ne sont pas non plus des dealers qui font la loi sur un territoire », a expliqué Valérie Pécresse. Laquelle a appelé la ville de Sevran à déployer la vidéoprotection et à créer « une vraie police municipale, avec de vrais effectifs. Il y a 80 policiers municipaux à Aulnay, plus de 30 à Villepinte et à Livry-Gargan. » Pour 3 à 4 à Sevran.

Les habitants vont manifester le 22 janvier

Les habitants de cette résidence baptisée « Westing Plaza » ont rendez-vous mardi après-midi avec la préfecture de la Seine-Saint-Denis. Et le 22 janvier, ils prévoient de manifester de leur quartier jusqu'à Bobigny. La présidente de la région leur a proposé de « construire le projet de [leur] rêve », autour de la sécurité : « Je peux en parler au ministre de l'Intérieur, et dès cet après-midi, j'appellerai le préfet pour lui parler de votre dossier. »

Un discours qui a parfois pris des allures de meeting de campagne, à seulement quelques mois des élections départementales et régionales qui devraient avoir lieu en juin. Et qui a un tantinet agacé le maire (DVG) de Sevran, Stéphane Blanchet.

« Dans ce quartier comme tous les autres, on travaille au quotidien sur les questions de sécurité, explique-t-il. Il n'y a pas de tabou. On travaille avec la ville de Livry-Gargan, avec la police nationale, et on obtient des résultats. La preuve, c'est que sur cette affaire, nous avons accompagné les habitants dans leur dépôt de plainte et deux trafiquants ont pu être arrêtés et condamnés. »

«Donner les moyens aux villes de recruter et garder des policiers municipaux»

Accompagné par son adjoint à la sécurité, Ludovic Jacquart, le maire a rappelé que la mairie travaille à un plan de déploiement de vidéoprotection. La ville compte prochainement passer de 65 à plus de 120 caméras. Et entend lancer un débat cette année sur les effectifs et l'armement de la police municipale.

« On a cette volonté d'améliorer la tranquillité publique et le cadre de vie, insiste Ludovic Jacquart. Mais notre difficulté, comme partout ailleurs en Seine-Saint-Denis, c'est qu'on forme ces policiers, ils restent quelques mois chez moi et ils partent. Il faut donner les moyens aux villes de pouvoir les garder. »

Face aux élus, des habitants ont aussi réclamé la construction d'un commissariat à Sevran, un véritable serpent de mer alors que la ville dépend actuellement de celui d'Aulnay-sous-Bois. « Pour ouvrir un commissariat de plein exercice, il faut huit policiers présents à l'intérieur, leur a rappelé Valérie Pécresse. Si vous obtenez ces postes, vous aurez des effectifs à l'intérieur d'un commissariat. Or nous, ce que l'on veut, ce sont des policiers dehors, sur le terrain. »

Lui aussi présent dans les sous-sols de la résidence, le maire (LR) d'Aulnay et président du territoire Paris - Terres d'Envol, Bruno Beschizza, a appuyé son discours : « Ce qu'il faut, ce sont des policiers armés et qui patrouillent! a insisté l'ancien policier. Et je vais être cash, ne comptez pas sur l'Etat mais sur les outils qui sont les nôtres, nos villes, la région… Il faut des caméras et des policiers municipaux. »

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Source article : journal Le Parisien / Source photos : page Facebook de Bruno Beschizza / Source vidéo : Aulnaylibre.com

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 13 Janvier 2021

Deux des auteurs de l'agression de deux motards de la CSI 93 ont été interpellés ce mardi. Il s'agit de deux hommes de 22 et 23 ans. L'un est le conducteur d'un puissant scooter Honda et l'autre son passager. La scène d'une violence inouïe avait eu un certain retentissement car elle avait été filmée par les agresseurs et largement diffusée sur les réseaux sociaux.

 
 Policiers tabassés aux 3000 à Aulnay-sous-Bois : arrestation de deux des auteurs de l’agression

Les deux prévenus devaient être jugés mercredi pour menaces de mort contre personnes dépositaires de l'autorité publique, conduite sans permis, rébellion, violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique en réunion avec une ITT supérieure à 8 jours et provocation à la rébellion. Mais le dossier a été renvoyé au 24 février. En attendant, « ils ont été placés en détention provisoire », indique le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis).

 

Le 3 janvier à Aulnay-sous-Bois, en lisière de la cité des 3 000, un simple contrôle de routine dérape. Le conducteur n'a pas le permis. Il commence par parlementer avec les policiers, mais la situation dégénère. Une dizaine de jeunes viennent prêter main-forte à leurs copains en mauvaise posture. Des barrières de chantier sont lancées sur les policiers qui sont ensuite roués de coups.

 

21 jours d'ITT pour l'un des policiers

Dans la confusion alors que les deux fonctionnaires sont aux prises avec leurs assaillants, le conducteur et son passager en profitent pour prendre la fuite. Mais ils avaient été formellement identifiés. Ce n'était pas la première fois que le propriétaire du scooter circulait malgré une absence de permis. Il avait déjà été contrôlé il y a peu.

Le brigadier et le gardien de la paix sont, eux, secourus, par des renforts. Mais ils s'en sortent avec de sérieuses blessures qui ne sont pas encore consolidées. L'un s'est vu prescrire 21 jours d'ITT pour une épaule déboîtée, l'autre 8 jours pour des côtes fêlées.

Selon Europe 1, « les interpellations de mardi ont donné lieu à des violences urbaines dans la soirée, dans le quartier des 3-000. Les policiers ont été la cible de tirs de mortiers d'artifice, Une cinquantaine de personnes attendaient les forces de l'ordre, munis […] de divers projectiles. Quatre voitures ont été endommagées ».

« Divers objets ont brûlé dans le quartier de la Rose-des-Vents, il y a aussi eu des feux de poubelles, confirme un habitant d'Aulnay. Des jeunes se sont réunis à l'arrivée des policiers, mais il n'y a pas eu de blessés. »

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Source article : journal Le Parisien / Source image : Twitter

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Publié dans #Sécurité publique

Publié le 6 Janvier 2021

Léo, 26 ans, et Sébastien, 45 ans ( les prénoms ont été changés ), sont les deux policiers blessés lors du contrôle routier qui a dégénéré dimanche en lisière de la cité des 3 000 à Aulnay-sous-Bois. Tous deux sont motards à la compagnie de sécurisation et d'intervention de Seine-Saint-Denis (CSI 93). Ce ne sont pas des novices : le premier est dans la police depuis six ans, le second depuis plus de 20 ans.

Le policier tabassé lors d’un contrôle à Aulnay-sous-Bois témoigne : j’ai pensé que c’était fini pour moi !

Dans la nuit du 14 juillet 2017, il faisait partie de ces policiers tombés dans un guet-apens. « Je venais en renfort, se souvient-il. Dimanche dernier, c'était très différent, l'effet de surprise était total. On a voulu leur faire une fleur on s'est fait défoncer la tête. Un point de non-retour a été atteint. »

Dimanche, les deux motards de la CSI 93 ont eu peur pour leur vie. Léo le confesse à demi-mot, le traumatisme est bien là. « C'était un contrôle routier comme nous en faisons tous les jours, résume le jeune gardien de la paix, dont l'épaule déboîtée lui vaut 21 jours d'ITT. Mais d'un coup, ça a dégénéré. »

Il était 16h30 lorsque les deux motards descendent de leur deux-roues pour contrôler deux jeunes sur un puissant scooter Honda. Son conducteur n'est pas un inconnu. Il avait déjà été contrôlé sans permis il y a peu. Magnanimes, les fonctionnaires ne l'avaient pas verbalisé. Quand il apprend qu'il écopera cette fois d'une amende, et qu'il risque d'être emmené au poste, il se serait montré menaçant, promettant aux policiers « de les emmener à Edgar-Degas », une artère du quartier connue pour ses points de deal et ses caillassages de policiers.

Une barrière envoyée sur la tête du policier

C'est à la suite de cet échange qu'une dizaine de jeunes surgissent par petits groupes. « J'étais très concentré sur le contrôle, raconte Léo. Ils sont arrivés soudainement. » Une barrière de chantier vole et atterrit sur la tête du gardien de la paix. Heureusement, il est casqué. Mais sa visière est relevée. « Je l'ai reçue sur le nez et la pommette », raconte ce grand gaillard de 1,80 m.

Tout va ensuite très vite. L'enchaînement exact des faits se bouscule dans la tête de Léo. Il se retrouve rapidement au sol. Les coups de pied et de poings pleuvent. Léo ressent une douleur intense à l'épaule droite qui vient de se déboîter.

«Quand ils visent la tête, c'est pour nous infliger des dommages irréversibles»

Sébastien, son équipier, est lui aussi en mauvaise posture. Il reçoit un coup de poing à la tête, un autre dans les côtes et se relève « sonné ». Malgré la douleur, le plus jeune réussit à se mettre debout. « J'ai eu un instinct de survie, ça m'a permis de me relever pour aller porter assistance à mon collègue », explique-t-il.

La vidéo tournée par l'un des assaillants témoigne de la violence de l'agression. Elle montre un homme qui se jette sur l'un des deux policiers et le plaque au sol pendant qu'un autre lui tourne autour comme un arbitre sur un ring de boxe.

« J'suis dans la tête de sa grand-mère. Ni… ta grand-mère, ni… ta mère », encourage le vidéaste amateur. Des mots qui résonnent encore dans la tête de Sébastien : « On sait que quand ils visent la tête, c'est pour nous infliger des dommages irréversibles qui peuvent conduire à la mort. Je me dis : Je vais me retrouver en fauteuil, c'est fini pour moi. »

De nombreux messages de soutien

À deux contre dix, les policiers n'ont aucune chance. Ils ne peuvent faire usage d'aucune arme pour se défendre. Leurs gilets pare-balles amortissent quand même les chocs. Seule l'intervention de renforts met fin à leur calvaire.

« Ça a été très rapide, trois ou quatre minutes, lâche Léo d'une voix blanche. Et en même temps très long. Si les renforts n'étaient pas arrivés, je ne serais pas là pour témoigner. » Meurtri, il reconnaît pudiquement « y penser toujours avant de s'endormir ». « C'est très douloureux d'en parler », glisse-t-il. Ce n'est pas sa première agression mais « je n'en avais jamais connu d'une telle intensité ».

Pour l'heure, Léo se repose. Il devra peut-être se faire opérer car les ligaments ont été endommagés. Les messages de soutien l'aident à surmonter l'épreuve. Depuis dimanche, il en a reçu beaucoup. Dont celui du préfet de police.

Les deux motards de la CSI 93 retourneront sur le terrain, mais ils sont désabusés. « Les gens oublient que nous aussi, nous avons une famille », souffle Léo. « La police ne fait plus peur, ajoute Sébastien. Seule une sanction pénale ferme peut avoir un impact. »

Le brigadier-chef entend encore sa fille lui dire : « Papa, quand est-ce que tu rentres enfin chez nous ? Pourquoi tu ne t'es pas défendu ? »

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Source article et capture d’écran : journal Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 4 Janvier 2021

Une épaule déboîtée, des côtes froissées et la peur de leur vie. Dimanche à 16h35 dans la cité des 3 000 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), deux motards de la CSI 93 ont été roués de coups par un groupe d'une dizaine de jeunes. L'un s'est vu prescrire 7 jours d'ITT (incapacité temporaire de travail). Son collègue, plus grièvement atteint à l'épaule, 21 jours d'ITT.

Les policiers agressés dans le quartier des 3000 à Aulnay-sous-Bois victimes d’un guet-apens ?

Les deux policiers appartiennent à la compagnie d'intervention de sécurisation (CSI) basée à Aulnay-sous-Bois. L'un est un brigadier-chef âgé de 44 ans, l'autre est un gardien de la paix âgé de 24 ans. Ils effectuent un banal contrôle routier dans la Cité des 3000, juste devant la Poste, quand ils repèrent un scooter monté par deux jeunes. Aucun des deux n'est en mesure de présenter les papiers du deux-roues. La discussion se poursuit sur « un ton cordial pendant vingt bonnes minutes », indique une source policière.

Le passager prétend aller chercher les papiers du véhicule et revient accompagné

Le passager aurait alors proposé aux policiers d'aller chercher les documents du deux-roues à son domicile tout proche et de laisser le véhicule sur place avec son copain. Mais quand le jeune homme réapparaît, il n'est pas seul. « Une dizaine de personnes l'accompagnent », selon la même source, et s'abattent sur les deux fonctionnaires. Un coup de pied et l'une des motos de la CSI en envoyée au sol.

L'un des assaillants se saisit d'une barrière et la jette en direction des policiers. Dans le pugilat, l'un des agents se retrouve à terre, une pluie de coups de pied et de poings s'abattent sur lui. Puis c'est au tour de son collègue de tomber. Il écope du même traitement.

Une vidéo relayée par le site Actu17 montre un policier mis à terre par l'homme qu'il semble vouloir interpeller. Le deuxième agent tente de lui venir en aide, mais reçoit également des coups de pied de la part d'un autre individu. Pour se tirer du traquenard, ils tentent de les disperser en les aspergeant de gaz lacrymogène.

Finalement l'arrivée de renforts fera cesser les hostilités. Un homme de 20 ans est interpellé. Les deux passagers du scooter, eux, ont réussi à prendre la fuite sur leur deux-roues. L'enquête pour identifier les agresseurs se poursuit.

Article complet du journal Le Parisien à lire en cliquant : ici

Source article et photo : journal Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Sécurité publique

Publié le 16 Décembre 2020

À Aulnay-sous-Bois, les policiers municipaux sont équipés depuis cinq ans d’une caméra-piéton, bien visible sur la poitrine. Même lorsqu’elle n’est pas activée, la simple présence de l’outil suffirait à apaiser certaines tensions. "Les personnes auxquelles nous sommes confrontées, se sachant filmées, révisent leurs comportements et leurs paroles, si bien de notre côté que du leur, ça apaise les interventions", explique un policier en patrouille. 

Vidéo. Baisse des outrages depuis que les policiers municipaux sont équipés d’une caméra-piéton à Aulnay-sous-Bois

Des avis mitigés 

Les habitants, eux, sont divisés. "Ça permet de rester en sécurité, commente un homme. Vous savez parfois, on a des policiers où ça ne va pas, on a des jeunes où ça ne va pas, donc c’est très bien une caméra." Un autre estime que "ce n’est que quand ça les arrange". La caméra-piéton n’est en effet déclenchée que lorsque le policier le souhaite. Depuis l’instauration de la caméra-piéton, le nombre d’outrages a baissé de 25%, selon la mairie. 

Article complet de https://www.francetvinfo.fr/ à lire en cliquant : ici

Source vidéo et article : https://www.francetvinfo.fr/ / Source photo : compte Twitter de Séverine Maroun

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