Publié le 25 Janvier 2015
Publié le 24 Janvier 2015
C'est ce mardi 20 janvier à la salle Chanteloup d’Aulnay-sous-Bois que le député Daniel Goldberg a présenté devant un public d'environ 250 personnes ses vœux pour l’année 2015 ainsi que le maigre bilan de son action pour l'année 2014 à l'Assemblée nationale et sur la10ième circonscription de Seine-Saint-Denis.
Un buffet était offert pour le traditionnel moment convivial d’après discours.
L'introduction des vœux que vous pouvez voir en vidéo ci-dessous était consacrée aux événements récents des attentats ayant frappé le sol français.
Publié le 24 Janvier 2015
Les enfants d’Aulnay-sous-Bois ont dû s’endormir hier soir avec le secret espoir que la ville se couvre d’un joli manteau blanc. Ce ne sera pas pour cette fois-ci, la couche étant bien trop fine pour faire un bonhomme ! Mais qu’ils se rassurent, l’hiver n’est pas encore fini ! En attendant la rédaction d’Aulnaylibre ! vous propose ce cliché pris dès potron-minet par une fidèle lectrice représentant un pont légèrement enneigé sous lequel passait autrefois le Sausset avant qu’il ne soit canalisé…
Robert Ferrand
Publié le 24 Janvier 2015
L'Orchestre des musiciens d'Europe propose de découvrir le grand compositeur Ludwig van Beethoven à travers trois formes musicales emblématiques : une ouverture, un concerto et une symphonie. Un concert gratuit à savourer cet après-midi à Aulnay. Cet après-midi à 17 heures, salle Chanteloup, 1, avenue de Nonneville. Entrée libre.
Source : Le Parisien
Publié le 24 Janvier 2015
Un comité extraordinaire a réuni, hier matin, plusieurs intervenants du RER B concernant la proximité de bidonvilles. Le CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité, des conditions de travail) s'était inquiété début décembre de la présence de campements près des rails du RER B, entre Le Bourget et La Courneuve. Le 26 décembre, un incendie dans un bidonville avait mis à la rue 80 personnes, et à l'arrêt le RER B pendant plusieurs heures.
« On voit des enfants jouer à quelques mètres des voies. Quand on arrive à 120 km/h, on est en droit de s'inquiéter, soit en prenant des mesures de ralentissement, soit en installant des mesures de protection, comme un grillage », explique Laurent Gallois, à l'Unsa transport et conducteur de train sur cette ligne depuis plus de quinze ans. Selon lui, la coexistence si rapprochée des cabanes et des rails, met en « danger l'intégrité physique et morale des agents et des Roms ».
Aucune mesure n'a été actée hier. La SNCF explique ne pas avoir toutes les cartes en main pour régler la situation. « Tant que des personnes vivent sur ce site, nous ne pouvons pas intervenir, ni procéder à des travaux permettant de limiter les risques de présence sur nos emprises, par des grillages ou autres, qui sont pourtant d'ores et déjà prévus, une fois le site redevenu accessible », assure l'opérateur, en affirmant avoir « rencontré à plusieurs reprises depuis l'été les personnes de ces campements pour les informer de la dangerosité de la situation ». Les propriétaires des terrains auraient également été avertis. La situation ne semble pas connue de la préfecture de Seine-Saint-Denis.
« Les familles ne sont pas complètement irresponsables, elles sont conscientes du danger, mais elles s'installent là où elles peuvent, les bidonvilles sont une solution imparfaite, mais s'ils sont là, c'est que les familles n'ont rien trouvé de mieux », regrette Saimir Mile, représentant de la Voix des Rroms qui soutient l'accès au droit des familles.
Source : Le Parisien
Publié le 24 Janvier 2015
Publié le 24 Janvier 2015
Croyant sans doute pouvoir échapper à des poursuites, un automobiliste a cru bon de se débarrasser d'un sac par la fenêtre de sa Clio, à l'approche de la police, à Aulnay-sous-Bois. Le sac, récupéré par les forces de l'ordre, contenait un kilo et demi de cannabis. La saisie s'est complétée par la découverte de trois autres kilos, lors d'une perquisition chez le conducteur, à Villepinte, où plus de 17 000 € en liquide ont été découverts. Le jeune homme de 24 ans a été placé en garde à vue.
Source : Le Parisien
Publié le 23 Janvier 2015
C’est avec tristesse que nous apprenons le décès du jeune homme renversé violemment par une voiture route de Mitry à Aulnay-sous-Bois. Il n’a malheureusement pas survécu à ses blessures. Toutes nos pensées vont vers la famille et les proches.
Publié le 23 Janvier 2015
Alors que la Seine-Saint-Denis est placée en vigilance orange neige-verglas (comme 31 autres départements en France) à partir de vendredi et jusqu’à samedi minuit, les villes se préparent à l’arrivée de la neige.
La communauté d’agglomération de Plaine Commune, qui regroupe neuf villes, a activé son plan neige ce vendredi matin.
« Les équipes d’astreinte sont mises en place sept jours sur sept et 24 heures sur 24 […] pour maintenir la circulation des véhicules sur le territoire et l’accès des piétons aux bâtiments publics », précise l’agglomération. Des salages des axes de circulation majeurs sont ainsi programmés.
La ville de Montreuil a elle aussi activé son « plan neige ». Les agents techniques de la commune sont mobilisés, ce vendredi soir, « un pré-salagedes axes principaux et parcours de bus » doit être réalisé. « Samedi matin, les équipes de propreté inspecteront les points sensibles du territoire communal », indique la ville. La commune invite d’ailleurs les habitants à saler les trottoirs devant leur logement, une carte des « points sel » sur la commune est d’ailleurs publiée sur le site Internet montreuil.fr.
Source : Le Parisien
Publié le 23 Janvier 2015
Depuis l'attentat qui a touché Charlie Hebdo et la mort d'une policière municipale à Montrouge, les mairies équipent massivement leurs policiers de gilets pare-balles. «Nous avons remarqué une forte hausse de nos ventes, du jour au lendemain», constate par exemple Pierre-Etienne Guillot, directeur général de PromoCollectivités, l'un des principaux fournisseurs d'uniformes et de matériel de sécurité pour les collectivités locales.
C'est au maire qu'il revient, en effet, de décider d'équiper ou non ses policiers municipaux d'une arme ou d'un gilet pare-balles. Lors d'un entretien avec le ministre de l'Intérieur la semaine dernière, l'association des maires de France (AMF) avait demandé que la protection de ces agents soit renforcée. «Nous souhaitons que tous les policiers municipaux dotés d'une arme soient équipés d'un gilet pare-balles et demandons que l'État s'engage à cofinancer de façon pérenne l'achat de cet équipement», avaient plaidé François Baroin (UMP),Christian Estrosi (UMP) et François Pupponi (PS) auprès de Bernard Cazeneuve.
Manuel Valls a accédé hier à leur demande. 450 millions d'euros seront globalement consacrés à l'investissement informatique, aux nouveaux armements pour la police et à l'achat de gilets pare-balles pour les policiers municipaux, via un fonds de concours. L'achat de ce dernier équipement est en effet coûteux pour les collectivités (environ 500 euros pour un gilet, qu'il est recommandé de renouveler tous les cinq ans).
«Hausse des ventes impressionnante»
L'annonce de Manuel Valls devrait contribuer à booster encore les ventes de gilets, qui connaissent une croissance exponentielle ces derniers jours. PromoCollectivités, qui vend en moyenne entre 800 et 900 gilets pare-balles par an, observe depuis quinze jours une demande quatre à cinq fois supérieure à la demande habituelle. «Et ça continue de grimper, remarque Pierre-Etienne Guillot. Le phénomène n'a rien à voir avec le pic de demande que nous avions observé après la mort d'une policière municipale en 2010. Les grandes villes s'équipent autant que les petites municipalités».
Rhinodéfense, fournisseur essentiellement local, fait le même constat. «Nous qui vendons d'ordinaire moins de 10 gilets par an, comptons aujourd'hui un vingtaine de gilets pare-balles commandés ou sur le point de l'être. Les villes de Cogolin ou de Gap nous ont demandé des devis, mais même des petites municipalités, comme Beauchastel (moins de 2000 habitants) veulent leur gilet par-balles», explique l'entreprise. Autre poids lourd du secteur avec PromoCollectivités, le groupe GK fait un constat similaire: «La hausse des ventes est impressionnante depuis 15 jours».
A terme, tous les policiers municipaux ne seront cependant pas équipés d'un gilet par-balles. L'AMF souhaite en effet réserver cet équipement aux policiers porteurs d'une arme. Or à ce jour, seuls 45% des policiers municipaux sont armés. Et la généralisation de l'armement des policiers municipaux serait une mesure très coûteuse - l'équipement comme la formation des agents représentent une charge de près de 3000 euros par mois, sans compter l'entretien - difficilement assumable par les pouvoirs publics dans un contexte budgétaire contraint.
Source : http://www.lefigaro.fr/
Publié le 23 Janvier 2015
« C'est un peu comme les Trente Glorieuses, mais sur quinze ans ! » Comme tous ses collègues du BTP, François Garlès, directeur de chantier pour Vinci, voit arriver le chantier du Grand Paris Express avec gourmandise. Il travaille actuellement sur le prolongement de la ligne 12 jusqu'à la mairie d'Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). C'est justement dans cette ville que tous les partenaires impliqués dans ce projet pharaonique de construction d'un nouveau métro automatique (200 km de lignes, 72 nouvelles gares, 30 Mds€ d'investissement) ont signé hier une convention sur l'emploi et la formation.
« Le Grand Paris, c'est la locomotive qui va tirer l'emploi en Ile-de-France dans les prochaines années, estime José Ramos, président de la Fédération régionale des travaux publics (FRTP), qui regroupe 800 entreprises du secteur. Nous avons donc évalué par anticipation les besoins en travaux publics, pour donner de la visibilité à nos entreprises. »
L'Etat, à travers la direction régionale de l'emploi (Direccte), a donc mené une étude évaluant à 18 000 emplois les besoins du secteur (12 000 créations et 6 000 remplacements de départs en retraite), d'ici à 2018 (terrassier, conducteurs d'engins, soudeurs, géomètres...). Ces besoins portent sur la création du Grand Paris Express, mais aussi sur les prolongements des lignes 4, 11, 12 et 14, et des trams T1, T3 et T7, ainsi que des Tangentielles Nord, Ouest et du RER Eole.
Une évaluation permanente des besoins. La convention signée hier prévoit d'affiner chaque année les études sur les besoins réels de main-d'œuvre. Le pic sera atteint entre 2017 et 2019, où plus de 3 000 personnes seront mobilisées. « Il y aura 8 ou 10 tunneliers qui tourneront en même temps, c'est colossal », souffle François Garlès. Mais attention, pas de précipitation : la FRTP prévoit encore une baisse d'activité de 7 % en 2015. S'il est nécessaire d'anticiper les formations, « il ne faut pas faire naître trop vite des espoirs qui pourraient être déçus », prévient le ministre du Travail, François Rebsamen.
Un portail Pôle emploi dédié. Sur le site Internet de Pôle emploi, un espace centralisera toutes les offres liées à ces travaux. Le site sera mis en ligne fin mars début avril. « Il faut que ces emplois bénéficient à ceux qui en sont le plus éloignés », a insisté Jean-Paul Huchon, président (PS) du conseil régional. « Nous insérerons des clauses sociales dans l'ensemble des marchés », a précisé Philippe Yvin, président de la Société du Grand Paris. La SGP a calculé que ces travaux représentaient près de 20 millions d'heures d'insertion sociale. Sur le seul prolongement de la ligne 12, Vinci prévoit 34 000 heures de travail pour ces salariés éloignés de l'emploi.
Améliorer l'image du BTP. Pour séduire les jeunes, et aussi « pour ne pas faire venir des gens d'ailleurs », selon le préfet de région, Jean Daubigny, la convention prévoit aussi des opérations de communication. « L'organisation de visites de chantier doit permettre de déclencher des vocations », a estimé François Rebsamen. « Ce n'est pas un métier qui attire, mais quand on est dedans, on ne veut plus partir. Les conditions de travail se sont nettement améliorées », assure François Garlès.
Source : Le Parisien
Publié le 23 Janvier 2015
Hier, à 15 h 15, la brigade anti-criminalité d'Aulnay (BAC) a découvert 1,2 kg de résine de cannabis sur le palier d'un immeuble, place Jupiter, à Aulnay-sous-Bois. La drogue était dissimulée dans un carton stocké dans le placard technique des parties communes. Deux balances de précision avaient également été rangées dans cette cavité. Le locataire a été interpellé et placé en garde à vue au commissariat d'Aulnay.
Source : Le Parisien
Publié le 22 Janvier 2015
Vous trouverez ci-dessous une lettre du maire d’Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, adressée aux parents d’élèves et directeurs d’écoles. Lue par l’édile au conseil municipal hier soir, elle revient sur le recrutement par la ville, en tant qu’adjoints d’animation, de Mehdi et Mohamed Belhoucine, présumés terroristes après les attentats de Charlie Hebdo, Montrouge et l’Hyper Cacher de la Porte de Vincennes.
Publié le 22 Janvier 2015
Il y a quelques jours, Mathilde Levesque s'est « effondrée » en classe, submergée par l'émotion après les attentats, face à des élèves aussi désemparés qu'elle. Au lycée Voillaume, à Aulnay, comme dans tous les lycées de France, le moment a été délicat.
Mais le dialogue s'est noué malgré tout.
« Parfois, ce n'est pas simple, mais dans l'ensemble on s'en sort bien », résume cette prof de français trentenaire au regard décidé et au cheveu court. Un optimisme diablement contagieux lorsqu'on feuillette son livre, « Lol est aussi un palindrome », paru aujourd'hui chez First Editions.
Car on y découvre l'humour ravageur, parfois teinté de tendresse, dont sont aussi capables ces lycéens. Au fil des pages, Mathilde Levesque livre, sans les commenter, les meilleures répliques entendues en trois ans, depuis qu'elle enseigne à Voillaume. « Il y en a 130, émanant d'une cinquantaine d'élèves. Tout est authentique », jure-t-elle. On en douterait presque tant les échanges consignés sont savoureux. Il y a les hésitations quasi-poétiques d'un élève autour du sens du mot « hétéroclite » ; la saillie mi-figue mi-raisin d'un autre : « Madame, vous auriez dû être avocate ou politicienne ou chef de gang, vous savez trop embrouiller. » ; ou ce vers extrait d'une copie inspirée par le théâtre classique : « Phèdre, tu as voulu me faire face/Maintenant il faut que je te tabasse. »
On rit, mais on devine, dans ces courts dialogues, le lien complice entre la prof et ses classes. « Oui, on s'amuse en classe ! Madame Levesque nous tendait des perches. Faire la plus mauvaise blague possible, c'est un peu notre sport national », confie Yousra, aujourd'hui en terminale, et dont le bagout a fourni pas mal de matière au livre.
L'auteur l'a précisé d'emblée dans sa préface : l'ouvrage n'est ni un recueil de perles du bac, ni un précis de pédagogie pour lycées réputés « sensibles ». Cette ancienne universitaire, désormais arrimée à son lycée aulnaysien, avoue son admiration pour son jeune public : « Je connais peu d'adultes capables de répondre avec cette spontanéité et cet à-propos. Et les plus discrets, par leur bienveillance, leur écoute, permettent aux plus audacieux de prendre la parole. C'est ce qui me donne confiance en eux : il faut qu'ils mûrissent, mais l'intelligence, le noyau dur sont là. »
Le compliment ira droit au cœur des intéressés, conviés en nombre à la soirée de lancement du livre, qui aura lieu demain à Paris. Yannis, élève de première L, est impatient de « se voir dans un livre » : « C'est valorisant, et ça contrebalance les préjugés ». Chahinèze, élève de 1re management gestion, est aussi soucieuse de combattre la « fausse image qu'on a de nous, des sauvages qui ne travaillent pas ».
Pour s'adresser à ses futurs lecteurs, Mathilde Levesque emprunte au lexique du lycée : « Riez avec eux. Faites-vous plaize ».
« Lol est aussi un palindrome », Mathilde Levesque, First Editions, 155 pages, 9,95 €.
Source : Le Parisien
Publié le 22 Janvier 2015
Vous trouverez ci-dessous l’annonce d’invitation aux vœux 2015 des élus et militants communistes d’Aulnay-sous-Bois qui se dérouleront au foyer Romand le vendredi 23 janvier à partir de 19h. Elle est accompagnée d’un message de Jean-Marie Touzin, responsable local du PCF Aulnay.
« Chaque année, les élus et les militants communistes présentent leurs vœux au cours d'une initiative conviviale à leurs ami-e-s, compagnons de combat, sympathisant-e-s... et, plus largement, à ceux et celles qui contribuent par leur action, par leur travail, à la vie sociale d'Aulnay. Cette année a commencé de façon dramatique. Les évènements récents, barbares, cruels font hurler tout autant qu'ils affligent. Le peuple réagit. Tant mieux! Cette réaction doit prendre tout son sens dans les choix que les uns et les autres opéreront dans les jours et semaines à venir. Ce sens n'est pas joué. C'est l'enjeu d'une phase politique qui s'ouvre. Les communistes y œuvreront pour que le "Vivre ensemble" en sorte grandi. Mais "vivre ensemble" ne peut rester un simple vœu. La réalisation de ce vœu nous engage à un combat patient et tenace pour que cette aspiration forte et ultra majoritaire dans notre pays voit le jour... la suite le vendredi 23 janvier au foyer Romand... invitation ci-jointe ! »
Publié le 22 Janvier 2015
Trop de polluants, pas assez de vent pour les disperser. Ce jeudi, Airparif prévoit un dépassement du seuil d'alerte aux particules fines, à Paris et en petite couronne. Dès hier, la préfecture de police a publié des recommandations. Pour ceux qui ne peuvent délaisser la voiture, il est conseillé de rouler 20 km/h en dessous de la limite autorisée, dans l'ensemble de la région, sur les autoroutes, voies rapides, routes nationales et départementales ainsi que sur le périphérique. La préfecture prévoit des contrôles antipollution renforcés. A noter que le stationnement résidentiel sera gratuit à Paris.
Source : Le Parisien
Publié le 21 Janvier 2015
Cette semaine avait lieu une réunion des délégués du quartier Croix Rouge. Les habitants des différentes cités de ce quartier (Les Etangs, Les Merisiers, Emmaüs) avaient demandé lors de la dernière réunion, l’intervention du maire et des élus de la majorité pour faciliter les rapports jugés difficiles avec le bailleur Emmaüs, entre autres. Apparemment il est très difficile d’obtenir des rendez-vous avec les différents bailleurs, Emmaüs ou Logement Français. Mais l’équipe municipale ne lâche pas prise ; il en va de la sécurité et de la salubrité (rats et poubelles) de ces quartiers. M. Espiasse, Directeur de Cabinet du Maire, présent à la réunion, s’est engagé à donner des réponses concrètes - lors de la prochaine réunion - aux préoccupations des riverains, concernant le stationnement, la sécurité, la circulation… Pour de nombreux locataires, la sécurité des habitants est primordiale et ils proposent de résidencialiser leurs bâtiments. Il ne s’agit donc plus de désenclaver – comme sous l’ancienne majorité – mais de sécuriser en fermant les résidences, comme cela a été fait au Vieux Pays. Là encore, l’équipe municipale doit rencontrer les différents bailleurs pour concrétiser ces projets.
En ce qui concerne la zone pavillonnaire importante de ce quartier, les habitants soulignent leur préoccupation concernant deux terrains viables, préemptés par la municipalité précédente et situés, l’un rue des Saules, et l’autre au bout de la rue d’Artois.
Les riverains de la rue d’Artois et de la rue de Bigorre n’ont jamais eu de réponse concrète de la part de l’ancienne majorité concernant le devenir de ce terrain. L’idée « municipale » était de prolonger la rue d’Artois, ce qui avait été fortement contesté et refusé en bloc par tous. Suite aux constructions d’immeubles jouxtant le vélodrome, le terrain a été déblayé, la verdure a disparu et la perspective ne laisse rien présager de bon. L’inquiétude des riverains est compréhensible et justifiée.
Le collectif des riverains de la rue des Saules avait, pour sa part, réussi à stopper les projets « abracadabrantesques » de l’ancienne majorité qui était de construire des immeubles dans cette zone pavillonnaire. Pour rappel, il existe un autre terrain – au 5 rue du Sausset - où la mobilisation de quelques associations ayant crié au bétonnage ont conduit à l’arrêt pur et simple d’une nouvelle construction prévoyant l’occupation quasi-totale de l’espace, jusque-là noyé de verdure.
Dans deux de ces trois cas, les mauvaises herbes pullulent et les rats investissent peu à peu la place.
L’attente des habitants sur le devenir de ces terrains est toujours aussi grande ; quelle est la nouvelle politique de la ville ? Denis Cahenzli – adjoint au maire en charge de l’urbanisme – sera présent à la prochaine réunion et apportera, espérons le, des réponses concrètes à ces préoccupations.
Robert Ferrand
Publié le 21 Janvier 2015
C’est une nouvelle qui ne surprendra personne dans le microcosme Aulnaysien. Comme attendu depuis des semaines déjà, le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza et sa première adjointe Séverine Maroun défendront les couleurs de l’UMP lors des élections départementales de mars 2015.
D’après nos informations, d’autres adjoints au maire avaient postulé : Frank Cannarozzo, Mohamed Ayyadi, Denis Cahenzli et Fouad El Kouradi. La candidature de l’édile a le mérite de mettre tout le monde d’accord. Il faut dire que la droite a une occasion historique de faire basculer la Seine-Saint-Denis. L’UMP a donc décidé de mettre toutes les chances de son côté.
Le binôme des suppléants est lui aussi déjà connu mais nous vous laissons la surprise pour un prochain article. Il sera composé, sauf coup de théâtre, d’un élu Aulnaysien de l’UMP et d’une élue Aulnaysienne de l’UDI. Ainsi, contrairement aux municipales de mars 2014, la droite républicaine se présentera unie au scrutin départemental à Aulnay-sous-Bois.
Les conseillers généraux sortants, à savoir Jacques Chaussat (UDI) pour le canton sud et Gérard Ségura (PS) pour le canton nord ne se représenteront pas.
Source photos : site de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Robert Ferrand
Publié le 21 Janvier 2015
Hier midi, la rédaction d’Aulnaylibre !, alertée par un fidèle lecteur, évoquait, dans un article à relire ici, le terrible accident de circulation survenu route de Mitry à Aulnay-sous-Bois, lors duquel un jeune homme a été littéralement fauché par une voiture et évacué dans un hélicoptère qui s’est posé dans la cour du lycée Voillaume.
D’après un témoin présent sur place, l’individu aurait été violemment percuté par le véhicule pendant qu’il traversait pour prendre le bus de la ligne 15. Le feu était apparemment vert. Le blessé se trouvait hier dans un état dramatique.
Source vidéo : capture Facebook
Publié le 21 Janvier 2015
Vous trouverez ci-dessous une tribune de l’adjoint au maire d’Aulnay-sous-Bois Benjamin Giami co-signée avec le docteur Fouquet pour le Collectif de la Droite d'Avance. Parue dans l’Express elle alerte sur les dangers du projet de loi Santé porté par la ministre Marisol Touraine.
Votée en l'état, la loi Santé portée par Marisol Touraine changera durablement le rapport de la santé avec les Français.
Là où auparavant l'Etat n'avait qu'un droit d'évaluation, elle consacre un droit opposable à la santé illusoire rendant incontournable la gestion étatique du risque et des conséquences de la maladie. La Santé devenant une fonction régalienne de l'état, trois conséquences directes se feront jour : l'assujettissement des professionnels de santé au financeur via le Tiers-Payant Généralisé (TPG), la menace de rupture du secret médical des assurés sociaux et l'accélération de la privatisation du système de soin.
Le droit opposable à la santé imposera au patient un parcours de soin défini par les Agences Régionales de Santé (ARS). Il n'aura ni la possibilité du choix de son praticien ni de son lieu d'hospitalisation (publique ou privée).
S'il veut être remboursé, le patient devra accepter que ses données médicales et administratives (sociales) soient intégrées dans le Dossier National Médical Partagé (DPM) universel. DMP consultable non plus uniquement par le médecin à qui il donne son accord, mais à l'ensemble de la chaîne de soin jusqu'aux employés administratifs des ARS et assureurs naturellement impliqués à l'élaboration de cette base de données menaçant de fait la permanence du secret Médical
Là où le médecin accepte déjà de faire la dispense d'avance des frais pour les 14 millions d'assurés sociaux en France (AME, CMU, ACS), la loi propose de généraliser sa pratique en l'étendant aux 400 mutuelles du territoire : cette avance de trésorerie bénéficiera aux payeurs institutionnels, à savoir la Sécu et les complémentaires, en échange de contraintes administratives impossibles à assumer pour le médecin. Elle fragilisera de façon définitive l'indépendance des médecins libéraux - qui honorent pourtant 99% de la couverture territoriale de soin - au profit d'une centralisation forcée, économie d'échelle rationalisée par la mise en place de réseaux de soin assurantiels limitant à terme la mobilité du patient.
Conjointement à la mort annoncée de la médecine libérale dénoncée par l'Union Française pour une Médecine Libre, la généralisation du Tiers-Payant rendra invisible le glissement de la part obligatoire de la sécurité sociale (part AMO : 70% du soin) vers la part complémentaire (part AMC : 30% des soins). La part complémentaire passera progressivement de 30% à 50%, 60%... au profit d'un déremboursement rampant de la sécurité sociale (70%, puis 50%, 40%) rendant impossible le paiement du reste à charge par le patient qui cotiserait seulement pour la Sécurité Sociale. Le patient paiera donc deux fois pour le soin : une fois pour la sécurité sociale, et une deuxième fois pour les complémentaires santé. Ces dernières étant rendues obligatoire pour les salariés, toujours plus chères et aux garanties plafonnées par la loi LEROUX de 2014 qui limite opportunément le remboursement des complémentaires santés accordées au patient.
Ainsi l'apparente nécessité sociale de la gratuité des soins ne sera qu'un écran de fumée destiné à opérer une transaction financière d'un système solidaire à un système assurantiel, générateur d'un accès différentiés aux soins, classiquement appelé " Médecine à plusieurs vitesses ".
C'est le résultat d'une longue idylle entre le PS et la Mutualité Française consacrée le 20 octobre 2012 par le discours de François Hollande et Marisol Touraine lors du 40ème anniversaire de la mutualité Française
Tandis que le reste à charge par patient en France est le moins élevé de l'OCDE et que le prix de la consultation/PIB/habitant le moins cher au monde (0,07% en France contre 0,2% en Europe), la loi santé permettra aux complémentaires santé de réaliser une OPA hostile sur l'ensemble des professions libérales qui ne pourront exister dans un premier temps que grâce aux subventions d'Etat. Subventions dégressives proposées par l'objectif national des dépenses d'assurance maladie (ONDAM) imposant à terme la fermeture des cabinets généralistes de proximité et le rachat des plus grosses structures devenues déficitaires (maison de santé, clinique) par les complémentaires santé et les grands groupes de distribution français ! Ainsi chaque médecin se verra dicter sa façon de soigner via les ARS et sous condition de remboursement des mutuelles en fonction des ressources de chacun. Il n'existera plus de médecine individualisée, et le patient -devenu client- sera devenu une ligne de bilan comptable traitée par des protocoles de soin écrit d'avance. A terme, il n'y aura plus d'expertise médicale pour soigner, ni pour dénoncer les futurs scandales sanitaires, car l'essence même de la Loi Santé est que le corps de l'individu n'appartient plus à lui-même mais à l'Etat.
Pour Une Droite d'Avance
Benjamin GIAMI, adjoint au Maire, Aulnay-sous-Bois
Docteur Pierre FOUQUET
Source : http://www.lexpress.fr/
Publié le 21 Janvier 2015
À deux mois des élections départementales, la droite n'a toujours pas bouclé la liste de ses candidats en Seine-Saint-Denis faute d'accord entre l'UMP et l'UDI. Le principal point d'achoppement se situe sur Le Blanc-Mesnil, où le maire UMP Thierry Meignen, candidat, veut imposer sa femme comme binôme -- le nouveau mode de scrutin prévoit en effet des duos homme - femme pour chacun des 21cantons.
L'UDI refuse et menace, si cette décision était entérinée par la direction de l'UMP, de proposer ses propres candidats à Noisy-le-Grand alors qu'un binôme de deux UMP avait été acté. Dans ce cas, l'UMP menace à son tour de ne plus prendre un UDI avec Martine Valleton sur le canton Villepinte... Sans compter la lutte fratricide que se livre l'UDI sur le canton de Saint-Ouen - Epinay. A la date d'hier soir, voici où en étaient les négociations entre les deux formations de la droite alors que jamais, dans l'histoire de ce département, elles n'ont été en aussi bonne position pour l'emporter.
Pas facile décidément d'être responsable départemental de l'UMP en ce moment. Non content de gérer ses propres troupes, Philippe Dallier doit aussi composer avec Jean-Christophe Lagarde, le nouveau patron national de l'UDI. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les rapports sont tendus. « Je regrette profondément une telle perte de temps, souligne le sénateur-maire des Pavillons-sous-Bois. Ce n'est pas parce qu'il y a un problème sur Blanc-Mesnil que l'UDI doit remettre en cause les autres accords. » « C'est à l'UMP de faire le ménage dans ses propres rangs, c'est sa responsabilité, rétorque Stéphane Salini, patron du groupe UDI au conseil général. En ce qui nous concerne, nous avions un accord avec nos amis, j’espère qu’il sera maintenu. »
Car la droite a sorti l’artillerie lourde. Ainsi, de nouveaux candidats ont été choisis parmi les maires élus ou réélus en mars comme Xavier Lemoine (UMP), maire de Montfermeil, Bruno Beschizza (UMP), maire d’Aulnay-sous-Bois, Laurent Rivoire (UDI), maire de Noisy-le-Sec ou encore William Delannoy (UDI) maire de Saint-Ouen. « Les maires qui se lancent ont toute légitimité car ils ont montré qu’ils sont bons gestionnaires et qu’ils ont une expérience de terrain », justifie Bruno Beschizza. Certains y vont par devoir comme Xavier Lemoine - « L’UMP me l’a demandé et je me sens capable de diriger le département » - ou comme Claude Capillon, maire UMP de Rosny et conseiller général sortant - « On doit mettre toutes les chances de notre côté en tablant sur des élus connus ».
Et puis, il y a ceux qui veulent défendre ce qui se passe dans leur ville comme Laurent Rivoire, maire UDI de Noisy-le-Sec, toujours décidé à bloquer le prolongement du tramway. « Je me lance pour empêcher le T1 rue Jean-Jaurès et pour obtenir un quatrième collège dans ma commune » insiste-t-il. Seul Miche Teulet, maire UMP de Gagny et conseiller général depuis 1978, a décidé de raccrocher « pour mieux se consacrer à sa ville et laisser sa place à du sang neuf ». Les jours qui viennent vont donc être très importants pour savoir si les deux partis seront capables de se mettre en ordre de bataille. Ils devront le faire au plus tard le lundi 16 février, 16 heures, date limite du dépôt des candidatures.
Source : Le Parisien
Publié le 21 Janvier 2015
Un jeune homme d'une vingtaine d'années a été emprisonné vendredi, après avoir tenu sur sa page Facebook des propos vantant les attentats. Le tribunal correctionnel qui le jugeait en comparution immédiate l'a condamné à un an de prison dont neuf mois avec sursis et mise à l'épreuve, et a décidé d'un mandat de dépôt immédiat. Il faut dire qu'il était déjà sous le coup d'une peine avec sursis dans une autre affaire.
Une quinzaine de faits recensés par le parquet
En plus de louer les attentats, le signataire de la page Facebook promettait un sort funeste aux policiers. Des propos publics et suffisamment choquants pour que quelqu'un alerte la police. L'auteur a été rapidement identifié, puisqu'il postait des photos de lui et signait avec son surnom. Les policiers de Saint-Ouen ont mis quelques jours à mettre la main sur lui. Ils l'ont arrêté mardi, et déféré au tribunal à l'issue de sa garde à vue.
C'était le second suspect à être jugé en comparution immédiate. Le 9 janvier, un autre a été condamné à 70 heures de travaux d'intérêt général. D'autres ont quitté le commissariat avec, en poche, une convocation ultérieure. Un mineur a été placé sous contrôle judiciaire, et envoyé en province. Il avait été interpellé pour outrage et rébellion et avait, dans la foulée, dit le peu de cas qu'il faisait des assassinats de policiers. D'autres ont été relaxés, les faits n'étant pas suffisamment caractérisés ou lorsque l'état de santé mentale de l'auteur était en doute.
« Cela dépend du profil des auteurs, des circonstances », explique une source judiciaire. Une quinzaine de faits ont été recensés par le parquet de Bobigny, et qualifiés, selon les cas, d'outrages, de menaces de mort envers des policiers ou d'apologie, si les attentats sont présentés sous un angle favorable.
Source : Le Parisien
Le scandale de l’amiante à Aulnay-sous-Bois évoqué dans un documentaire diffusé sur France 5 ce soir
Publié le 20 Janvier 2015
Autrefois industriel, le département de Seine-Saint-Denis en a gardé de tristes stigmates. C'est ce que rappelle le documentaire diffusé ce soir sur France 5 : « Sols pollués : le scandale caché ». L'enquête de Sarah Oultaf s'attarde notamment dans le 93, revenant sur le scandale de l'amiante à Aulnay-sous-Bois, où les fibres toxiques ont voleté autour de l'ancienne usine d'amiante du CMMP, contaminant les terres, mais aussi les habitants du quartier. Elle s'intéresse aussi au fort de Vaujours(voir photo), qui abritait autrefois un centre de recherches du Commissariat à l'énergie atomique, sur lequel pèsent de sérieux soupçons de radioactivité. Ce soir à 20 h 35, sur France 5.
Source : Le Parisien
Publié le 20 Janvier 2015
Un dramatique accident de circulation a eu lieu vers 13h ce mardi 20 janvier 2015 route de Mitry à Aulnay-sous-Bois.
La rue est restée bloquée pendant environ une heure. D’après nos informations, un jeune homme a été fauché par un véhicule.
Son état particulièrement grave a nécessité une évacuation par hélicoptère, ce dernier atterrissant dans la cour du lycée Voillaume. L'automobiliste est actuellement interrogé par la police.
Marc Masnikosa
La rédaction remercie un fidèle lecteur pour la transmission des photos.
Publié le 20 Janvier 2015
Tant que les jihadistes ou personnes proches de milieux islamistes ne sont pas auteurs d'infractions pénales reconnues par la justice, ils ne peuvent être écartés d'un emploi.
C'est ce qu'indique le préfet de Seine-Saint-Denis, Philippe Galli, en réponse à l'inquiétude du maire UMP d'Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, concernant Mehdi et Mohamed Belhoucine, suspectés d'appartenir à la nébuleuse terroriste. Les frères, complices présumés d'Amedy Coulibaly, ont encadré du soutien scolaire à Aulnay de 2009 à 2014, dans le cadre de contrats temporaires. Et ce alors même que Mohamed était mis en examen dans le cadre d'une filière afghane (nos éditions de vendredi et samedi). Il avait purgé onze mois de détention et était mis en examen lorsqu'il a signé un nouveau contrat à Aulnay. Le maire de l'époque, Gérard Ségura (PS), assure que les frères, diplômés dans des filières scientifiques, étaient alors « insoupçonnables ».
Comme pour tout poste en contact avec des jeunes, les dossiers du personnel recruté sont transmis à la préfecture pour contrôle. « Nous faisons un point sur leurs conditions de recrutement, qui, jusqu'à présent, n'ont pas, à ma connaissance, donné lieu à une difficulté administrative », précise encore Philippe Galli. « Les recrutements d'animateurs par les collectivités ou les associations sont uniquement contrôlés du point de vue de leur qualification pour encadrer, ou au titre de la protection des mineurs, notamment contre les abus sexuels et du point de vue administratif et budgétaire. »
Le maire d'Aulnay vient d'écrire au ministre de l'Intérieur, demandant d'engager une réflexion plus générale sur les procédures de collaboration, d'information et d'alerte entre collectivités locales et services compétents, afin que « cette situation ne se reproduise plus ». Il a aussi signé un courrier destiné aux habitants pour leur exposer la situation.
Source : Le Parisien