Publié le 26 Février 2014

PSARECUPLe directoire de PSA Peugeot Citroën vient de confier à Jean-Paul Bailly, ancien président du groupe la Poste, la mission de travailler sur la reconversion de l'usine d'Aulnay, qui ferme cette année. Il sera conseiller dans le cadre de la mise en route d'un projet d'avenir qui tiendra compte de sa vocation industrielle ainsi que des enjeux en termes d'aménagement du territoire. Gérard Ségura, maire PS d'Aulnay, précisait hier prendre acte de cette mission et demande à Jean-Paul Bailly de « s'entretenir au plus tôt » avec lui. « Notre ville reste plus que jamais déterminée à une reconversion cohérente et durable du site, à haute valeur ajoutée et créatrice de milliers d'emplois », souligne le maire.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Emploi

Publié le 25 Février 2014

3621393 11-0-4131650305 545x341Le vent s'engouffre par rafales dans cette allée coincée entre le centre commercial et une longue barre de logements sociaux de La Courneuve. Et le vent, c'est mauvais quand il s'agit d'enregistrer et de filmer une interview. Queeny et Marion, 22 ans, le savent. Mais ils font appel à leurs nouvelles connaissances pour composer avec les conditions météo et tourner une vidéo qui tiendra la route. Avec quatorze autres jeunes vivant dans les quartiers populaires de Seine-Saint-Denis et des Hauts-de-Seine, ils suivent un chantier d'insertion d'un an qui les forme aux métiers du numérique.

Et c'est là toute l'originalité. Les participants, en décrochage scolaire ou au
chômage, ne repeignent pas les cages d'escalier et ne réparent pas les murs, comme dans les classiques chantiers d'insertion. « Au lieu d'en faire des maçons, nous en ferons des opérateurs multimédias », résume Anne Dhoquois, journaliste qui anime Banlieues créatives, le site pour lequel ces jeunes travaillent. « Il s'agit d'une plate-forme Web réalisée sur et avec la banlieue, portée par l'association Permis de vivre la ville. On veut montrer que dans les quartiers, il existe des initiatives intéressantes et valorisantes, sans pour autant tomber dans l'angélisme », détaille Anne Dhoquois.

Ce jour-là, l'action que Banlieues créatives veut faire découvrir est celle de Fatoumata Sidibé. Le rendez-vous est pris à La Courneuve. Queeny et Marion, accompagnés d'Anne Dhoquois et du réalisateur professionnel Mehdi Bara, vont filmer la créatrice d'entreprise de 29 ans de Villepinte et lauréate du prix Talents des cités. Elle a été récompensée pour son site Web offrant à la diaspora africaine la possibilité de faire ses courses en ligne pour acheter des produits exotiques. La jeune femme est également ravie de voir des jeunes en insertion s'intéresser aux gens résidant dans les quartiers populaires. « Je suis convaincue que tout le monde a un talent et il y en a énormément en banlieue », conclut-elle.

Renseignements auprès des missions locales et à l'adresse banlieuescreatives@gmail.com.

Source : Le Parisien

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Publié le 25 Février 2014

cpam-seine-saint-denis.pngDes associations accusent la caisse primaire d'assurance maladie de Seine-Saint-Denis (CPAM 93) d'avoir écarté volontairement des demandes d'aide médicale d'Etat (AME) afin de désengorger ses services. L'AME permet une prise en charge de frais médicaux des étrangers en situation irrégulière résidant en France depuis plus de trois mois consécutifs et en situation précaire. 

Dans une lettre ouverte adressée à la ministre de la Santé Marisol Touraine, l'Observatoire du droit à la santé des étrangers (ODSE), regroupant une vingtaine d'associations, assure qu'une consigne écrite a circulé à cette fin au sein de la CPAM 93. « Nous avons eu confirmation orale qu'une note interne de la CPAM demande à ses services de ne pas traiter les demandes d'aide médicale d'Etat déposées et non encore instruites au 6 décembre 2013 , écrit l'ODSE. En refusant d'examiner les demandes des usagers, qui ne sont ni informés ni mis en position d'exercer des recours, la CPAM démissionne purement et simplement de son obligation de service public. » La CPAM de Seine-Saint-Denis n'a pas pu être jointe. Selon Jean-François Corty, directeur des missions France à Médecins du Monde, 300 à 400 demandes d'AME ont été déposées à la CPAM du 93 entre le 10 octobre et le 5 décembre, dont 140 domiciliées au sein de l'association.

Source : Le Parisien

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Publié le 25 Février 2014

video-surveillance-4.jpgPendant un mois, la police municipale a scruté sans relâche les écrans de vidéosurveillance à la recherche d'un très jeune homme, à la stature imposante, qui sévissait dans le quartier de la gare du Bourget, agressant des jeunes femmes. Après des nuits interminables passées à visionner les images des 28 caméras de la ville, vendredi, les fonctionnaires ont retrouvé la trace du mineur, aux abords de la gare. Méfiant, le garçon a réussi à sortir du champ de vision des caméras et s'est évanoui dans la nuit. Il a été interpellé le lendemain au domicile familial du Bourget.

Les policiers ont découvert un adolescent mesurant 1,85 m, qui vivait avec ses parents et ses six frères et soeurs. Un jeune apparemment comme tous les autres, encore au collège, inconnu des services de police, mais qui, la nuit venue, sortait pour se mettre à l'affût de jeunes victimes.

Depuis un mois, les effectifs locaux, renforcés par la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, ont pu réunir des preuves irréfutables. Dans la nuit du 24 janvier au Blanc-Mesnil, avenue de la Division-
Leclerc, une jeune femme est violée par un individu qui l'entraîne à l'écart et lui annonce tout de suite ses intentions : « Je vais te violer », lance-t-il à sa victime. Il n'est pas armé et opère à visage découvert.

De plus, les enquêteurs isolent son ADN. Le 7 février, au Bourget, l'agresseur se jette sur une jeune fille d'une vingtaine d'années. Elle échappera au 
viol et elle parvient à décrire le visage de son assaillant. Un portrait-robot du prédateur est dressé. Il est affiné avec le témoignage d'une autre femme, qui avait été agressée sexuellement le 2 janvier au Bourget.

L'étau se resserre autour du violeur. Entre-temps, les enquêteurs parviennent à le contrôler dans la rue et obtiennent ainsi son identité. Il faut maintenant l'interpeller en flagrant délit.

Vendredi dernier, le suspect est repéré par les caméras alors qu'il tente une fois de plus de passer à l'acte. Il déjoue la surveillance de la police. Celle-ci décide de l'arrêter dès le lendemain. « Il fallait qu'on agisse vite. Il pouvait recommencer à tout moment et était en train de monter en puissance », estime une source proche de l'affaire. Les policiers qui l'ont examiné sont convaincus d'avoir mis fin au parcours d'un agresseur sexuel en série. Le jeune homme a un profil inquiétant. Qualifié de très dangereux, il attendait que ses parents soient endormis pour se glisser hors du domicile familial. Il ciblait ses proies, « des jeunes femmes d'une vingtaine d'années, plutôt petites et frêles ».

En garde à vue, il a avoué le viol et les deux agressions sexuelles. Il n'aurait montré « aucune compassion » vis-à-vis de ses victimes. Hier soir, il a été placé en détention provisoire comme l'avait requis le parquet de Bobigny. Une information a été ouverte pour viol et agressions sexuelles.

L'enquête se poursuit. Les policiers le soupçonnent d'avoir sévi à d'autres reprises. Vincent Capo-Canellas, maire du Bourget, s'est félicité « du travail d'enquête remarquable de la police municipale et de la PJ ». Il a aussi saisi l'occasion pour vanter la pertinence de son réseau de caméras.

Source : Le Parisien

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Publié le 25 Février 2014

3621515_11-0-4130637586_545x341.jpgPour célébrer la Fashion Week, Seine-Saint-Denis Tourisme organise pour le grand public une croisière mode exceptionnelle. Le samedi 22 mars, à 14 heures, vous pourrez embarquer sur le canal Saint-Denis, au pied du Stade de France, pour rencontrer des designers textiles, des sérigraphes, des costumiers, des tapissiers en basse-lisse ou encore des designers dentellière. Vous découvrirez la richesse de l'industrie textile le long des canaux avant de regarder, en clôture, le défilé de mode du couturier Lamyne, installé à Saint-Denis (voir photo).

Croisière mode, 25 EUR. Arrivée au canal de l'Ourcq, église de Pantin. Réservation indispensable au 01.49.15.98.98.

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 25 Février 2014

3621509_11-0-4130672918_545x341.jpgDepuis lundi matin, la préfecture de Bobigny enregistre les candidatures dans les quarante villes du département. Il faut quatre jours pour vérifier que tout est en règle.

Ils ont jusqu'au 6 mars, 18 heures, pour déposer leur liste. Lundi matin, les premiers candidats aux municipales sont venus s'enregistrer en préfecture, à Bobigny. A 9 heures, la file d'attente devant le bâtiment est plus longue que d'habitude, ce qui agace un peu les personnes venues chercher leur carte grise. « J'avais fait exprès de me déplacer pendant les vacances, croyant que ça irait plus vite », se plaint un automobiliste.  

Candidats et simples citoyens ont donc dû faire la queue une vingtaine de minutes avant de passer les contrôles et d'entrer dans la préfecture. Une salle au premier étage est dédiée aux municipales. Ils sont une vingtaine de têtes de liste et de colistiers à attendre leur tour. Parmi eux, les candidats Lutte ouvrière de plusieurs villes, dont Armonie Borde, de Pantin, mais aussi des PRG parmi lesquels Dieunor Excellent, de Villetaneuse. « On m'a dit que j'en avais pour une heure avant de passer », explique-t-il.

La prise des noms des colistiers et les vérifications administratives prennent un peu de temps. « En une heure, nous avons enregistré six listes », constate le responsable des inscriptions.

Dans la salle sombre, quatre employés de la préfecture entrent les noms des candidats et de leurs colistiers sur un ordinateur. Ils vérifient les âges des personnes inscrites -- il faut avoir minimum 18 ans. Les colistiers doivent tous être inscrits sur une liste électorale, mais pas forcément dans la commune où ils se présentent. « Tous doivent avoir une attache fiscale dans la ville où ils sont candidats et avoir signé une demande de figurer sur la liste », précise encore le responsable. Une fois les listes enregistrées, il faut compter quatre jours supplémentaires et de nouvelles vérifications pour qu'elles soient définitivement validées. « Il s'agit d'éviter, par exemple, qu'une même personne se retrouve sur deux listes. Ça arrive rarement mais ça arrive quand même. Une erreur de vérification peut invalider une élection et conduire à une élection partielle (NDLR : ce fut le cas début 2003 à Noisy-le-Sec après l'invalidation des 
élections de 2001) », conclut-il.

Pour la journée d'hier, déjà 37 listes ont été déposées, selon la préfecture.

Source : Le Parisien

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 24 Février 2014

Vous trouverez ci-dessous une lettre envoyée à la rédaction d’Aulnaylibre ! qui semble attester du refus de certains copropriétaires du quartier Savigny à Aulnay-sous-Bois de laisser racheter leurs logements pour les voir transformés en HLM. Cette opération matérialisée par une convention signée avec la ville prévoirait que la SA HLM Plaine de France puisse acquérir pas moins de 192 logements afin d’augmenter son patrimoine. Une tentative similaire de rachat avait également été initiée par cette même SA HLM Plaine de France sur la Morée dans le quartier voisin de Mitry-Ambourget. 268 logements étaient dans le viseur, mais l’opposition d’un certain nombre de copropriétaires avait poussé à l’abandon du projet. En sera-t-il de même à Savigny ? Il est à noter que dans les deux cas les copropriétés visées faisaient face à des difficultés financières et bénéficiaient d’un plan de sauvegarde. Dans ces conditions, n’est-il pas contradictoire de mettre en place un processus de rachat d'une telle ampleur par la SA HLM Plaine de France ?

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Lettre aux copropriétaires

Rejet de la convention signée par la Ville avec HLM plaine de France.

Située dans les quartiers nord d’Aulnay, notre copropriété «Résidence le gros saule» dotée d’un parc de 10 mille m2 possède un réel attrait pour les banlieusards en mal d’espaces, de tranquillité et de logements de toutes tailles à des prix accessibles.

Le potentiel résidentiel est indéniable, mais des difficultés récurrentes de paiement de charges de quelques copropriétaires ces dernières années (une quarantaine sur 558 logements et 11 commerces) ont entraîné l’ensemble du syndicat dans une situation qui a justifié l’entrée dans un plan de sauvegarde promulgué par arrêté préfectoral le 8 mars 2010. Ce plan quinquennal signé entre l’État, la ville d’Aulnay, l’ANAH, le conseil général, le syndic, et le conseil syndical, avait pour objectif de relever durablement l’équilibre financier du syndicat, tout en réalisant des travaux de rénovations immobilières indispensables au maintien du bâti. Jusque-là tout semblait aller pour le mieux.

Le pilotage dirigé par la Ville a très rapidement déçu les copropriétaires sur un certain nombre de points importants :

Des travaux d’isolation thermique, financièrement insupportables pour le commun des habitants, et surtout économiquement non rentables (retour sur investissement après 63 ans) ont été proposés à maintes reprises dans l’agenda des commissions travaux organisées par la Ville. Les représentants des copropriétaires se sont battus pour rejeter avec force et détermination, ce projet inutile et financièrement déstabilisant que la mairie voulait absolument faire voter en assemblée générale.

La rétrocession de l’espace vert central de la copropriété à la Ville a été présentée comme un devoir de contribution du syndicat, une sorte de « donnant-donnant » pour compenser la participation de la mairie au plan de sauvegarde, et comme une opportunité d’allégement de charges. Les copropriétaires concernés se sont défaits de cet argumentaire, car ils n’ont jamais eu l’intention de donner leur « joyau» à la Ville. Celle-ci a officiellement renoncé à cet espace vert devant le sous-préfet lors de la commission du plan de sauvegarde du 20/11/2013.

La Ville avait décidé la création d’une voie de circulation routière coupant la copropriété au niveau des bâtiments 44 et 46 av de Savigny, permettant la jonction entre l’avenue Suzanne Lenglen et l’avenue de Savigny. Ce projet pour un désenclavement de la résidence présentait aussi un danger évident pour les nombreux enfants qui peuplent le quartier. Les copropriétaires se sont fermement opposés à la création de cette voie. La Ville a finalement accepté un autre tracé. 

Nous avons obtenu gain de cause sur tous ces points stratégiques, mais que de temps et d’énergie perdues, pour avoir enfin été entendus.

Par ailleurs, le portage qui consiste à secourir les copropriétaires en procédure de redressement, en rachetant leur logement tout en leur offrant la possibilité de devenir locataire de leur logement, était « la Solution » avancée dans le plan de sauvegarde, et faisait l’unanimité chez les acteurs publics et privés. Il suffisait de cibler parfaitement le rachat d’une vingtaine de copropriétaires les plus endettés, pour régler près des 2/3 du noyau dur de l’endettement voué à la saisie immobilière.

Cette option qui ne semblait insurmontable pour personne est apparue peu à peu impossible à réaliser aux dires de la Ville, affirmant ne pas pouvoir intéresser un bailleur capable d’investir de manière diffuse sur notre résidence.

C’est alors que la Ville a choisi d’agir, sans la moindre concertation avec les acteurs du plan de sauvegarde pour signer une convention en 2013 avec la SA HLM plaine de France, et la SEM Deltaville. Cette convention lourde de conséquences pour notre copropriété a pour finalité l’acquisition par la HLM plaine de France, de bâtiments entiers situés au 50-48-46 av de Savigny et 1-3 allée des Genêts, par tous moyens amiables et légaux y compris en utilisant le droit de préemption.

Cette transformation en logements HLM au sein de la résidence n’était pas du tout prévue dans le plan de sauvegarde. Il est impossible de cautionner cette convention qui détourne le plan de sauvegarde de son objet initial. Dans son dernier rapport, l’Association des Représentants des Copropriétaires partage cette analyse:

« L'A.R.C est également très inquiète, ….. Elle ne peut approuver ou cautionner un projet d'une telle ampleur et aux orientations contradictoires avec le statut même de copropriété. »

Pour ces raisons les copropriétaires ont alerté le sous-préfet en réunion du 20/11/2013. Celui-ci a exhorté les parties prenantes à rencontrer le conseil syndical pour élaborer un avenant qui veille à l’intérêt général du syndicat de copropriété.

En conseil municipal du 16/01/2014, l’adjoint au maire M. Guy CHALLIER a déclaré que « le processus a été arrêté (provisoirement) sur les bâtiments 50-48-46 Savigny, mais pas sur le 1-3 Genêts», à la surprise d’un élu d’opposition, en la personne de M. Frank CANNAROZZO qui a affirmé ne pas avoir été informé.

La convention se heurte à « un vide juridique ». En effet, l’ANAH subventionne avec de l’argent public les travaux du plan de sauvegarde à hauteur de 50%, dans le but d’aider les copropriétaires, il paraît normal que ces fonds ne servent pas en finalité une société anonyme de droit privé (HLM plaine de France). Le Maire, M. Gérard SEGURA a déclaré avoir écrit à la ministre du Logement Cécile DUFLOT, pour obtenir son soutien qui s’inscrit selon lui dans une démarche de lutte contre les « marchands de sommeil ».

C’est là que le bât blesse, les prétendus « marchands de sommeil » n’existent pas dans notre copropriété, et M. SEGURA est très mal informé de la situation de fait, qui a été confirmé haut et fort par le représentant du SYNDIC lors de la dernière réunion avec les instances de la Ville le 16/12/2013. Le sous-préfet a été alerté le 02/12/2013 par NEXITY sur l’inefficacité de la démarche :

« Par ailleurs, le syndicat de copropriété confirme que cette convention ne sert en rien le principe du portage, consistant en un désendettement de la copropriété, puisqu’à ce jour sur les 29 questionnaires de notaire reçus, seuls 4 copropriétaires font l’objet d’une procédure en recouvrement. »

en ce qui concerne l’usage du droit de préemption :

« La préemption dont le fondement juridique doit répondre à l’intérêt public, pour ne pas être considérée comme étant abusive, ne présente en l’état aucun intérêt pour le syndicat de copropriété, bien au contraire, puisqu’elle lui soustrait un bon payeur à jour de ses charges, et vos préconisations s’avèrent non suivies d’effets puisque votre requête de voir les parties se réunir pour redéfinir la stratégie du portage, n’ont en rien arrêté cette démarche de préemption sans rapport avec le Plan de Sauvegarde. »

Aujourd’hui, ce n’est pas l’intégrité morale de notre Maire qui est mise en cause. Il a certainement été très mal conseillé sur ce dossier. Au nom de la démocratie participative qu’il prône, nous lui offrons la possibilité de renoncer à cette convention inique et de travailler en complète concertation avec les copropriétaires pour conclure ensemble des solutions sauvegardant durablement la situation financière du syndicat. La résidence doit rester dans son ENTIERETE une copropriété digne de ce nom.

En cas de refus obstiné du Maire, les copropriétaires qui sont aussi des électeurs sauront prendre leur responsabilité.

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Publié dans #A vos quartiers !

Publié le 24 Février 2014

3618955_11-0-4127973530_545x341.jpgMédecin urgentiste au Samu de Bobigny et élu CGT, Christophe Prudhomme, travaille avec l'hôpital Avicenne -- qui doit prochainement bénéficier d'un protocole de partenariat avec la police et la justice. Ce professionnel ne croit pas que la violence soit le problème principal des hôpitaux.

Que pensez-vous de la mise en place d'un protocole pour favoriser la sécurité dans les hôpitaux ?
CHRISTOPHE PRUDHOMME. 
C'est une manière d'instrumentaliser ce problème pour ne pas répondre aux vraies priorités, comme les locaux inadaptés, le manque de personnel. La violence à l'hôpital a toujours été un marronnier. Chez nous, la première violence reste la pauvreté.

Une présence policière à l'hôpital ne pourrait-elle pas rassurer les équipes médicales ?
Non. Dans le Samu, nous avons une règle très simple lorsque nous allons dans les cités : ne pas intervenir avec la police. C'est la même chose aux urgences. Après, s'il y a une bande ou un patient armé, il faut faire appel à elle ponctuellement. Installer un bouton-poussoir pour prévenir la police serait une bonne chose.

Avez-vous constaté une hausse de la violence à l'hôpital ?
L'agressivité est latente dans la population. Et les patients, qui sont des consommateurs dans la vie quotidienne, sont bien souvent exigeants lorsqu'ils viennent à l'hôpital où ils attendent un service de qualité. Après, faire venir la police à l'hôpital pour répondre à cette violence n'est pas du tout une solution. Chez nous, en Seine-Saint-Denis, on forme justement le personnel à faire face à cette agressivité.

Comment ?
Quoi qu'il arrive, il ne faut pas répondre par l'agressivité. La plupart du temps, les choses dérapent car les gens sont angoissés. Il faut par exemple identifier très vite les gens qui peuvent devenir incontrôlables. Et, lorsque la situation s'envenime, il faut changer d'interlocuteurs et proposer un autre médecin à la famille.

3 038   incidents d'atteintes aux personnes comme aux biens ont été recensés en Ile-de-France par l'AP-HP dans le bilan 2012 de l'Observatoire national des violences en milieu de santé (ONVS).

70 % des signalements concernent des atteintes aux personnes, 30 % des atteintes aux biens.

25 % des incidents se sont produits en psychiatrie, 14 % aux urgences, 10 % en gériatrie, 8 % dans des services de médecine.

51 % sont des violences physiques, 28 % des injures et insultes, 20 % sont des menaces physiques, 4 % portaient sur du chahut, des nuisances et des occupations abusives des locaux, et 1 % a toutefois atteint le niveau 4 de gravité, c'est-à-dire la violence avec arme pouvant aller jusqu'au crime.

87 % des atteintes aux biens relèvent le plus fréquemment de dégradations légères et de vols sans effraction, les vols avec effractions dans des bureaux ou services hospitaliers représentent 8 % des faits et les vols à main armée et dégradations importantes en valeur, 5 %.

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #93 Infos

Publié le 24 Février 2014

3618799_11-0-4127690625_545x341-copie-1.jpgA partir d’aujourd’hui, les hôpitaux parisiens de l’AP-HP bénéficient d’un partenariat avec la police et la justice. Un dispositif qui sera étendu au 93.

Vendredi matin, quelques jours après avoir déjà été mis en fuite alors qu'il « visitait » un service de l'hôpital Lariboisière à Paris, un homme a été interpellé, surpris en train de fureter dans un bureau de l'unité d'ophtalmologie. Intrus, voleur ou même agresseur potentiel, cette fois les agents de sécurité de l'hôpital l'ont intercepté et remis à la police, mais pour combien d'autres intrusions subies ? C'est justement pour les prévenir, prévenir les agressions quotidiennes dans ses établissements parisiens et leur donner des suites judiciaires systématiques que l'Assistance Publique-Hôpitaux (AP-HP) signe aujourd'hui, avec la préfecture de police et le parquet de Paris, un « protocole d'accord visant à renforcer la coopération en matière de prévention de la violence et de traitement de la délinquance ». 

En Seine-Saint-Denis, un protocole identique est en cours d'élaboration. Des contacts ont été pris avec la préfecture ainsi que le parquet de Bobigny. Ici, l'AP-HP compte trois établissements : les hôpitaux Avicenne à Bobigny, Jean-Verdier à Bondy ainsi que René-Muret à Sevran, spécialisé dans la prise en charge des personnes âgées. Pour l'heure, aucune date n'a encore été avancée par l'AP-HP pour le 93.

Cette épaisse feuille de route de plusieurs de dizaines de pages apportera « un nouveau moyen de lutte », selon le conseiller pour la sécurité générale à l'AP-HP, Jean-Michel Olivieri. « Depuis les années 2000, l'hôpital est de plus en plus touché par la violence et ce n'est pas acceptable, insiste-t-il. Nous avons décidé de prendre les choses en main, l'homogénéisation des procédures est aussi un moyen de lutte ».

A 
Paris, le volet police du protocole implique un « diagnostic de sécurité partagé », lancé dans tous les hôpitaux AP-HP d'ici à la fin de l'année. Les points faibles donneront lieu à des préconisations, que l'AP-HP pourra budgéter dans le cadre du plan structurel 2015-2019 et du schéma directeur de la sécurité à l'hôpital. Dans son volet judiciaire, « le parquet de Paris s'engage à fournir mensuellement la réponse pénale réservée aux plaintes déposées par l'AP-HP, précise Jean-Michel Olivieri. C'est la preuve que déposer plainte n'est pas inutile. »

Source : Le Parisien

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Publié dans #93 Infos

Publié le 24 Février 2014

L'enseigne irlandaise Primark ouvrira sa toute première boutique francilienne à Aulnay le 28 mars à 11 heures (une deuxième devrait être inaugurée à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine, le 2 avril). A Aulnay, le magasin de prêt-à-porter va s'installer au sein de la galerie O'Parinor, sur près de 4 000 m 2. 

Primark possède déjà plus de 250 boutiques dans le monde et, avec ses prix discount, se présente comme l'un des concurrents directs de H&M. Les recrutements sont déjà presque terminés. Cinq cents employés environ doivent y travailler.

Article : Le Parisien / Vidéo : Aulnaylibre !

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Publié dans #Commerce

Publié le 22 Février 2014

3613669_11-0-4123471301_545x341.jpgUne main serrée au maire, Gérard Ségura (PS) et une bise au conseiller régional Alain Amédro (EELV), tous deux candidats au siège de maire d'Aulnay-sous-Bois. A un mois du premier tour des municipales, la venue de Cécile Duflot, ministre à l'Egalité des Territoires et au Logement avait de quoi faire jaser. Bruno Beschizza (UMP) ne s'en est pas privé, taxant la visite de Cécile Duflot de « tourisme ministériel électoraliste », comme pour Manuel Valls, venu jeudi soir à Romainville. « Mais là, on a une photo de famille de gauche désunie », dénonce le candidat UMP regrettant que les élus d'opposition n'aient pas été conviés. Rien qui atteigne Cécile Duflot, venue défendre sa loi sur le logement, tout juste approuvée. Pourquoi a-t-elle choisi Aulnay ? « Parce que mon député préféré est là ! », répond Cécile Duflot en regardant Daniel Goldberg (PS) rapporteur de cette loi qui promet un meilleur accès au logement pour tous, locataire comme propriétaire. « On a passé des dizaines d'heures ensemble pour cette loi et c'est une vraie fierté qu'elle ait été votée, parce qu'elle est nécessaire pour tous les habitants, il fallait faire changer la loi et mettre fin aux pratiques des escrocs, ces délinquants que sont les marchands de sommeil. » La ministre confesse qu'elle s'était fait la promesse de changer la loi, le jour où elle s'est rendue à Saint-Denis en septembre 2012 après la mort de trois personnes dans un incendie.

Des outils de lutte contre l'habitat indigne

En 180 articles, la loi propose des outils pour lutter contre l'habitat indigne et la dégradation des copropriétés. Première étape, hier à Aulnay, la résidence Cémlinat et ses neuf logements bientôt livrés. L'immeuble a été racheté en 2010 par l'OPH d'Aulnay pour évincer un marchand de sommeil. Seconde halte, la copropriété de Savigny, 550 logements, en plan de sauvegarde. Au 7 e étage, autour d'un thé à la menthe et de gâteaux, des copropriétaires ont fait part de leurs inquiétudes, des syndics peu scrupuleux, de leur crainte de tout perdre. Cécile Duflot et Daniel Goldberg leur ont expliqué en quoi la loi pourra assurer plus de transparence et contrôler les pratiques. Il faudra encore attendre le décret d'application. « Dans quelques semaines, je suis optimiste ! » assure Cécile Duflot avant de rejoindre Romainville.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Logement

Publié le 22 Février 2014

3614945_0_545x341.JPGIls vont vibrer au son de sa voix. Ce soir, les amis d'Ayelya, qui fréquentaient comme elle les bancs de l'université de médecine de Paris XIII, à Bobigny, devraient se réunir pour regarder ensemble l'émission de TF 1 « The Voice ». Déjà, pour les auditions à l'aveugle du télé crochet musical -- lorsque les coachs Garou, Florent Pagny, Mika et Jenifer ont sélectionné les chanteurs sans les voir --, le petit groupe avait organisé une soirée spéciale autour de la jeune femme de 23 ans, qui vit à Bobigny depuis quelques années.  

Mais, ce soir, c'est au tour des « battles », ces face-à-face entre deux candidats d'une même équipe, qui vont décider de l'avenir d'Ayelya dans l'émission. « C'est un moment très stressant, admet la candidate, coachée par Jenifer et sélectionnée pour son interprétation de Next to me d'Emeli Sande. Là, c'est ton talent contre celui d'un autre. Il faut essayer de ne pas trop se comparer, de faire abstraction de tout cela... Mais on est vite rattrapé par les caméras et c'est souvent compliqué. »

Comme elle, quatre autres chanteuses de la promo 2014 vivent en Seine-Saint-Denis et défendront leurs chances dans les prochaines émissions de « The Voice ». A l'instar d'Ayelya, deux candidates ont rejoint l'équipe de Jenifer : Margie, 17 ans, originaire de Clichy-sous-Bois, et Florence Coste, de Neuilly-Plaisance, qui a bluffé les coachs avec son interprétation de « l'Hymne à l'amour » d'Edith Piaf. Quant à Garou, il compte dans ses troupes une recrue de Livry-Gargan, Tifayne, qui avait chanté « Teardrops » de Womack & Womack, ainsi que Mélissa Maugran, qui vit aujourd'hui à Montreuil.

« Je suis originaire de la Marne, mais je me suis installée il y a un an à Rosny pour me lancer complètement dans la musique, explique la jeune femme de 26 ans qui a été sélectionnée sur la chanson de Beyonce Love on Top. Et depuis un mois, j'ai emménagé à Montreuil. » Après quelques expériences professionnelles dans la vente, Mélissa s'est inscrite dans une école de musique à Paris. Avec les battles, qui débutent ce soir, « l'aventure de The Voice commence vraiment ».

« Je trouve cela un peu moins stressant que la toute première émission, car nous sommes deux sur scène, raconte-t-elle. Mais, au fil des répétitions, des liens se créent entre nous et je dois bien avouer qu'après on commence à avoir peur de voir partir certains de l'équipe... »

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 21 Février 2014

Vous trouverez ci-dessous une lettre de Bruno Beschizza destinée aux agents municipaux d’Aulnay-sous-Bois.

Lettre-aux-municipaux-1

Lettre-aux-municipaux-2.jpg

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 21 Février 2014

Le Parlement a adopté définitivement jeudi, par un ultime vote du Sénat, le projet de loi Duflot sur le logement, qui instaure notamment une garantie universelle des loyers (GUL) et un encadrement des loyers. La majorité de gauche sénatoriale a voté pour ce texte déjà adopté la veille par l'Assemblée, la droite s'y opposant.

 logement-adoption-de-la-loi-duflot_1638675.jpg

Voici les principales mesures du projet de loi Alur (accès au logement et urbanisme rénové) :

ENCADREMENT DES LOYERS
- Dans les zones "tendues", les préfets fixeront chaque année par décret un loyer médian de référence majoré de 20%, au-delà duquel le propriétaire ne pourra pas aller, mais aussi un loyer plancher (inférieur de 30% au loyer médian) en deçà duquel il pourra demander une hausse. 

- Un "complément de loyer exceptionnel" pourra s'ajouter au loyer de base pour des logements particulièrement bien situés ou confortables, mais le locataire pourra le contester auprès de la commission départementale de conciliation.

GARANTIE UNIVERSELLE
- Une Garantie universelle des loyers (GUL), gratuite et publique, sur l'ensemble du parc privé, protègera, d'ici au 1er janvier 2016, les propriétaires des impayés, pendant une durée de 18 mois dans la limite d'un loyer médian local. Mais les propriétaires auront le droit de préférer le recours à la caution.
- Coût estimé par la ministre: 420 millions d'euros en année pleine, financé par des économies sur des dépenses actuelles de l'Etat, des organismes HLM et des collectivités territoriales.

RELATIONS LOCATAIRES-PROPRIETAIRES
- Modèles types d'état des lieux et de bail, définis par décret, avec mention du loyer médian de référence et du loyer appliqué au locataire précédent.
- Délai de préavis pour quitter son logement ramené à un mois dans les zones tendues.
- Le dépôt de garantie sera rendu dans un délai d'un mois, au lieu de deux, s'il n'y a pas de réserves dans l'état des lieux. Sa rétention abusive par le bailleur sera sanctionnée par une pénalité, par mois de retard, de 10% du dépôt.
- Les marchands de listes ne devront proposer que des logements dont ils ont l'exclusivité.
- Encadrement accru des ventes à la découpe, avec notamment une protection des locataires âgés.
- Encadrement de la location de meublés de tourisme.
- Création de commissions départementales de coordination des actions de prévention des expulsions locatives, alertées systématiquement sur des situations d'expulsion.
- Statut de la colocation, avec encadrement des contrats multiples (entre le propriétaire et chacun des colocataires).
- Les frais d'agence seront à la charge du propriétaire sauf ceux pour la rédaction du bail, l'état des lieux, la visite du logement et la constitution du dossier du locataire, qui seront partagés avec ce dernier.

REFORME DES COPROPRIETES ET DES PROFESSIONS DE L'IMMOBILIER
- En dehors du forfait annuel pour la gestion courante, les syndics ne pourront facturer des frais supplémentaires que pour certaines prestations, définies par un décret.
- Les syndics devront ouvrir un compte bancaire séparé pour chaque copropriété qu'ils ont en charge.
- Possibilité de réaliser un diagnostic technique global dans chaque copropriété, permettant le cas échéant d'élaborer un plan pluriannuel de travaux financé par un fonds de prévoyance.
- Encadrement des résidences à temps partagé (multipropriété).
- Reconnaissance des habitats participatifs (sous forme de sociétés ou de coopératives) permettant à des particuliers de concevoir ensemble un projet de construction ou d'acquisition d'un immeuble où ils logeront.
- Contrôle du respect de la déontologie des professionnels de l'immobilier.

HABITAT INDIGNE ET LOGEMENT SOCIAL

- Délai de grâce maximal pour quitter les lieux après une décision d'expulsion porté à trois ans pour tenir compte d'un "recours Dalo".
- Les marchands de sommeil déjà condamnés pour habitats indignes seront interdits d'achats de biens immobiliers destinés à la location pendant 5 ans.
- Le propriétaire d'un logement indécent qui, à compter de la promulgation de la loi, refusera d'engager des travaux malgré les injonctions des pouvoirs publics devra payer une astreinte de 1.000 euros par jour de retard.
- Le demandeur de logement social n'aura qu'un dossier unique à remplir, même s'il fait des demandes dans plusieurs départements.
- Maintien du dispositif spécifique de domiciliation des demandeurs d'asile.

REGLES D'URBANISME
- Elaboration des plans locaux d'urbanisme à l'échelle de l'intercommunalité et non plus de la commune. Mais ce transfert ne pourra intervenir si un quart des communes représentant au moins 20% de la population s'y oppose.
- Suppression des coefficients d'occupation des sols (COS) et de la taille minimale des terrains constructibles.
- La construction dans d'anciennes zones industrielles devra être précédée d'une étude sur leur état de pollution.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Logement

Publié le 21 Février 2014

bingo_boxing_A.jpgL'association Bingo Boxing Aulnay organise samedi 22 et dimanche 23 février 2014 un grand rendez-vous sportif autour du Kick Boxing. Direction donc le gymnase Pierre Scohy, 1 rue Aristide Briand à Aulnay-sous-Bois. Voici ci-dessous le programme qui vous attend.

Samedi 22 février de 13h à 20h : l'association Bingo Boxing Aulnay organise en partenariat avec la ligue régionale de Kick Boxing et disciplines associées, les finales du championnat régional de Kick Boxing

Dimanche de 13h à 18h : épreuves qualificatives aux championnats de France espoir et senior

Entrée : 5 euros  

Source : site internet de la ville d’Aulnay-sous-Bois / Vidéo : Aulnaylibre !

 

 

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Publié dans #Soyons sport.

Publié le 21 Février 2014

Il est arrivé à pied, surveillé par des policiers en civils cachés dans des voitures banalisées. Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls s'est invité hier soir dans le hall de la tour A de la cité Gagarine de Romainville, un bâtiment empoisonné par de très jeunes squatteurs qui y vendent de la drogue en toute impunité.

Hier vers 21 h 30, les habitants ont répété leur ras-le-bol. Ici, les squatteurs qui occupent le hall de la tour jour et nuit, fument joint sur joint, laissent leurs détritus sur le sol, trafiquent sous les yeux des locataires, crachent par terre, détruisent les boîtes aux lettres, taguent les murs, urinent dans les escaliers, insultent ceux qui osent les déranger et, parfois, brûlent une voiture.


 « Ici le deal, c'est perpétuel », soupire une maman. « Ces derniers jours ma fille de trois ans était même étonnée de ne pas voir de dealeurs dans l'entrée », s'alarme une autre. Le préfet Philippe Galli a expliqué que les « dizaines d'interpellations » n'avaient servi à rien et que bon nombre des acteurs de ces trafics étaient des mineurs.

« Nous allons réfléchir à une solution, pour une présence policière renforcée », a proposé le ministre. « Le commissariat a un trop gros secteur », a fait remarquer la maire (DVG), Corinne Valls, qui était venue la veille occuper les lieux avec le reste de la majorité municipale. « La seule visite du ministre ne va pas régler les choses », glisse alors l'officiel. « Oui, mais c'est symbolique et c'est important que tu sois là », répond Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale, qui a lui aussi pris part à ce déplacement surprise.

Tout est parti d'un coup de fil passé hier soir à Manuel Valls par Philippe Guglielmi, 1 er adjoint à la maire et patron du PS 93, pris à partie par des jeunes alors qu'il occupait les lieux avec les autres élus. « Il m'a réveillé ! », glisse le ministre.

La tour A de la cité Gagarine est devenue depuis quelques jours le centre d'attraction de la commune. Hier après-midi, les CRS ont élu domicile au pied de la tour. C'est un article publié dans l'hebdomadaire « Marianne » la semaine dernière, qui décrit le quotidien des habitants effrayés par les dealeurs, qui a mis le feu aux poudres.

Source article : Le Parisien. Vidéos visite Manuel Valls au Gros Saule à Aulnay-sous-Bois : Aulnaylibre !

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Publié dans #93 Infos

Publié le 21 Février 2014

3610323_11-0-4120004910_545x341.jpgL'Ile-de-France dispose encore de 5 000 exploitations agricoles, mais plus pour longtemps, selon Christophe Hillairet, président de la chambre d'agriculture interdépartementale Ile-de-France Ouest. « Si on continue à construire des maisons sur les terres agricoles et à les commercialiser au rythme de 1 700 ha consommés par an, dans 150 ans, il n'y en aura plus aucune dans la région francilienne », assène-t-il. En dix ans, 1 460 exploitations ont disparu, deux sur trois en quarante ans, note le ministère de l'Agriculture dans son dernier recensement.

La Seine-et-Marne reste aujourd'hui le département francilien le plus agricole avec 2 500 exploitations. « On représente la moitié de la région, précise Thierry Bontour, président de la chambre d'agriculture de la Seine-et-Marne. On subit le phénomène d'urbanisation après nos collègues d'Ile-de-France Ouest, mais on est aussi touché, avec Marne-la-Vallée entre autres. On perd 1 000 ha de terres par an. » Les Yvelines, l'Essonne et le Val-d'Oise se positionnent tout juste derrière en nombre d'exploitations. Dans la petite couronne, l'agriculture reste seulement présente dans le Val-de-Marne et en Seine-Saint-Denis.

La baisse du nombre d'exploitations en dix ans concerne surtout le maraîchage, l'horticulture ornementale et l'élevage de volailles. La culture des céréales demeure la plus importante. « Mais elle est aussi menacée aujourd'hui, on l'a vu avec le Plateau de Saclay (Essonne) et ses 400 ha mangés pour une université et pareil pour les champs du Triangle de Gonesse (Val-d'Oise) avec le projet de création d'un centre commercial et de loisirs », regrette le président de la chambre interdépartementale, Christophe Hillairet.

« Quand on croque un hectare de terre agricole, on supprime la possibilité de nourrir huit à dix personnes », gronde-t-il.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Environnement

Publié le 20 Février 2014

Vous trouverez ci-dessous un large extrait du communiqué de Moktar Farhat qui annonce se présenter aux élections municipales de mars 2014 à Aulnay-sous-Bois à la tête de la liste citoyenne « Aulnay vers le haut ». Ce document est disponible dans sa totalité au format pdf en cliquant ici.

Moktar-Fahrat.pngChères Aulnaysiennes, Chers Aulnaysiens,

Je suis candidat aux prochaines élections municipales d’Aulnay-sous-Bois. L’équipe qui m’entoure témoigne de la vitalité et des ta­lents d’une ville riche et diverse. Notre mission sera d’améliorer votre quotidien et de pré­parer le futur de notre ville. 

CE TRAVAIL, NOUS LE CONDUIRONS AVEC VOUS ET AU SERVICE DE TOUS.

Marié et père de 2 enfants, cette ville m’a vu progresser et évoluer. J’aime ma ville et j’ai tou­jours été engagé dans l’action citoyenne.

Je connais parfaitement les problématiques que vous rencontrez au quotidien parce que je les vis tout comme vous.

Depuis plus de 30 ans, nous vivons dans la résignation et le renoncement. L’échec scolaire, le chômage, la précarité, l’insécurité, les injustices sont autant de maux qu’il faut combattre.

OCCULTER LA RÉALITÉ NOUS ENFERMERA DANS L’IMMOBILISME.

NOUS DEVONS IMPOSER L’ALTERNATIVE !

Je veux faire en sorte que nous puissions exprimer notre volonté car il s’agit de notre avenir et de l’avenir de nos enfants. Je vous propose d’en finir avec ce fatalisme et d’entreprendre l’éveil tant attendu.

Au service de notre ville pendant plusieurs années, comme président d’une association de locataires et représentant de parents d’élèves, je m’investis de manière concrète.

Dans un domaine plus technique, j’ai surtout entrepris des actions qui m’ont convaincu que de grands projets peuvent être menés pour notre ville. En effet, à Aulnay-sous-Bois, j’ai dirigé ces dix dernières années, une structure d’aide à la création d’entreprises qui a permis de créer plus de 500 entreprises sur notre territoire. Ces entreprises locales ont elles-mêmes créé plus de 1.000 emplois en faveur des Aulnaysiens. Ce bilan économique concret dont je suis fier met en évidence cette dynamique qui peut être portée à plus grande échelle.

Je veux montrer que la réussite collective est possible, celle que nous attendons toutes et tous depuis de trop nombreuses années.

Cette campagne, je la conduirai avec respect, enthousiasme, en portant les valeurs huma­nistes qui sont les miennes et avec la dignité qu’impose ce moment républicain.

AVEC VOUS, JE VEUX PORTER AULNAY VERS LE HAUT.

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Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 20 Février 2014

3607005_11-0-4117443935_545x341.jpgLes quatre braqueurs seront restés retranchés un peu moins de quatre heures hier, entre midi et 15 h 30, à Noisy-le-Sec avant d'être interpellés par les policiers. Juste avant, les suspects avaient braqué une bijouterie à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) avant de prendre la fuite et de se cacher dans un appartement d'une cité de Noisy, rue Pierre-Sémard.  

C'est peu avant midi que les policiers ont commencé à boucler le quartier. En recoupant les témoignages, ils acquièrent la certitude que les suspects se planquent au 8 e étage, chez une jeune femme, adjointe de sécurité en délicatesse avec la police. La rue Pierre-Sémard, l'avenue de Verdun, la rue Saint-Jean et une partie de la rue Saint-Denis sont bouclées par un important dispositif policier. Dans le ciel, un hélicoptère veille. « Il y aurait une bombe dans une voiture », avance un riverain. « Mais non, c'est comme l'affaire Merah, sauf qu'ils sont plusieurs, avance un autre. Des gars sont dans un appartement avec des kalachnikovs. » Progressivement, les riverains sont repoussés de plus en plus loin de la cité Sémard.

Personne ne peut rentrer chez soi, au grand désespoir de certains. « J'ai laissé mes deux fils pour aller faire quelques courses et maintenant je ne peux plus les rejoindre, s'angoisse un père de famille. Je les ai appelés et ils ont peur, mais je ne sais pas trop quoi leur dire. » Vers 12 h 30, une équipe de négociateurs débarque.

Une trentaine d'hommes cagoulés et surarmés mobilisés

Le périmètre d'exclusion est à nouveau élargi. « Les flics font ça parce qu'il ne faut pas rester dans la ligne de mire des gars qui sont cachés dans l'appartement », croit savoir cet habitant de la cité. Vers 13 heures, les grands moyens sont déployés avec l'arrivée de la BRI, la brigade de recherche et d'intervention. Une trentaine d'hommes, cagoulés et surarmés, se préparent à une intervention. Béliers pour enfoncer des portes, boucliers d'assaut montés sur roues... tout le matériel est déployé. L'attente continue.

 



Finalement, vers 15 h 45, la jeune adjointe à la sécurité entrouvre la porte de son appartement. « Une dizaine d'hommes de la BRI en ont profité pour donner l'assaut. Dans le logement, ils ont interpellé trois hommes qui pourraient être les braqueurs », relate Michel Faury, patron de la police judiciaire des Hauts-de-Seine. Ils découvrent aussi un kalachnikov, un gilet pare-balles et... les bijoux dérobés quelques heures plus tôt.

Cet heureux dénouement conclut une folle équipée qui a commencé vers 11 heures à Rueil-Malmaison. Casqués, 
armés, les mains gantées, quatre hommes ont surgi dans une bijouterie de la rue Hervet, dans le centre-ville.

« Ils nous ont fait ouvrir seulement les bonnes vitrines, celles où il y avait les plus belles bagues et les bracelets », raconte la bijoutière. Le butin raflé, évalué à une centaine de milliers d'euros, les voleurs ont foncé vers l'autoroute A 86. Dès l'alerte à police secours, un appel général a été lancé sur les ondes policières.

Les caméras de surveillance de la ville ont permis de relever l'immatriculation d'au moins un TMax. Tous les équipages policiers du nord du département et la CRS se sont mobilisés, se postant aux sorties stratégiques de l'A 86 pour pister les braqueurs. Un premier coup de feu, tiré depuis l'un des scooters entre les embranchements vers l'A 15 (qui monte vers le Val-d'Oise) et Gennevilliers - Saint-Ouen, confirme la fuite vers le 93. Jusqu'au centre commercial Rosny 2, à Rosny-sous-Bois, où, une fois encore, les braqueurs tirent au pistolet-mitrailleur. La police les repérera finalement à la cité Pierre-Sémard.

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #93 Infos

Publié le 20 Février 2014

3606571_11-0-4112316372_545x341.jpgA partir de samedi, le Salon international de l'Agriculture revient au parc des Expositions. L'occasion de battre la campagne avec les 1 300 exposants et plus de 4 000 animaux rassemblés. Pour cette 51e édition, la « plus grande ferme de France » met à l'honneur l'agriculture en mouvement, celle qui utilise les nouvelles technologies. L'autre rendez-vous incontournable du salon : le Concours général agricole. Animaux vedette, plus de 14 000 vins et 4 663 produits d'origine fermière, artisanale ou industrielle seront en compétition cette année.

A partir de samedi jusqu'au dimanche 2 mars, de 9 heures à 19 heures, nocturne le vendredi 28 février jusqu'à 23 heures. Parc des expositions de 
Paris, porte de Versailles. M°Porte-de-Versailles. Gratuit pour les moins de 6 ans ; 6 € pour les 6 à 12 ans. Tarif normal : 13 €.

Source : Le Parisien

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 20 Février 2014

huchon-new_640x280.jpgTuile en vue pour Jean-Paul Huchon à un an des élections régionales ? Le patron PS de la région Ile-de-France pourrait voir s'évaporer les 232 M€ de dommages et intérêts qu'il réclame depuis cinq ans à quatorze sociétés du BTP dans le cadre de la fameuse affaire des marchés truqués des lycées d'Ile-de-France.  C'est ce qu'affirme « le Canard enchaîné », qui a révélé hier que le tribunal de grande instance de Paris avait retoqué, le 17 décembre dernier, l'indemnisation réclamée par la région. Les juges estiment que la collectivité a dépassé de deux ans le délai de prescription de dix ans, qui court, selon eux, depuis la première plainte déposée en mai 1996.

Evidemment contrariée, la région a répliqué hier après-midi dans un long communiqué où elle annonce avoir fait appel du jugement le 22 janvier, faisant valoir « une interprétation du droit » différente de celle des juges. Une vision partagée par « des avocats spécialisés et des professeurs de droit » et « corroborée par le parquet lors de l'audience publique ». En clair, selon la collectivité, les différentes procédures engagées dès 1997 par le parquet ont interrompu le délai de prescription de dix ans.
L'UMP réclame des éclaircissements

Au cabinet de Jean-Paul Huchon qui préside la région depuis 1998 et pourrait décider de se représenter, on nie toute négligence dans le suivi de l'affaire. « On ne pouvait pas introduire d'action civile avant la fin de la procédure pénale en 2008, souligne l'un de ses responsables. » Et de rappeler que les décisions de justice successives -- « toutes favorables » -- ont abouti à la condamnation de quarante personnes, dont plusieurs responsables du BTP et de bureaux d'études, reconnues coupables de s'être entendus sur les montants des marchés de rénovation et de construction de lycées. Des sommes sur lesquelles étaient prélevées des commissions qui servaient au financement des grands partis. Saisi par la région, le Conseil de la concurrence a également condamné les entreprises à une amende record de 47 M€ en 2007.

L'opposante principale à Jean-Paul Huchon, la députée UMP des Yvelines Valérie Pécresse a réclamé hier des éclaircissements sur l'affaire. « Le groupe UMP est choqué par l'amateurisme de la région qui va coûter cher aux Franciliens, expliquait-on hier dans son entourage. Avec 232 M€, on aurait pu construire six lycées neufs. » La région a rappelé hier qu'elle était « déterminée à obtenir, par toutes les voies de recours possibles, la réparation du préjudice subi par les Franciliens ».

Source : Le Parisien

 

 

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Publié dans #C'est dans le Journal

Publié le 20 Février 2014

radar_automatique.jpg42 335 excès de vitesse ont été constatés en 2013 par les 22 radars automatiques installés en Seine-Saint-Denis. C'est beaucoup plus qu'en 2012, où 26 907 infractions avaient été répertoriées. Six nouveaux radars automatiques seront implantés en 2014 sur le département. L'an dernier, 51 personnes sont mortes sur la route en Seine-Saint-Denis.

Source : Le Parisien

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Publié dans #Transports

Publié le 20 Février 2014

ligneK.jpgLa ponctualité est le gros point noir de la ligne K, qui relie Crépy-en-Valois (Oise) à Paris. Le Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif) et la SNCF l'ont bien compris et ont décidé de mettre en circulation du nouveau matériel et de créer une offre supplémentaire le matin, sur cette ligne. Une « bonne nouvelle » pour les 10 000 usagers quotidiens. « Pour pallier la surcharge du train de 7 h 20 au départ de Crépy-en-Valois, une offre supplémentaire sera mise en service à 7 h 27, en direction de Paris », explique Lionel Toussaint, président de l'association des usagers (ADU). En contrepartie, les trains de 7 h 20, 16 h 9, 17 h 31 et 17 h 51 feront un arrêt à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

« Sur ce projet, l'ADU émet un avis défavorable car la plupart de ces trains vont se trouver en surcharge », souligne Lionel Toussaint. Aucune date de mise en place n'a été annoncée. Les nombreux dysfonctionnements de la ligne K sont également dus au matériel défectueux et désuet. Le Stif promet des améliorations. « Dix-huit trains ont été commandés et devraient circuler sur notre ligne, dans le courant de l'année 2016 », se réjouit le président de l'ADU. La direction dédiée à la ligne K, créée l'été dernier pour tenter d'améliorer l'exploitation de cette ligne, semble porter ses fruits. L'exaspération des usagers a été entendue.

Mais Lionel Toussaint ne rend pas les armes pour autant. « Les trains de la ligne K ne sont pas en concordance avec les RER de la ligne B, ni avec les bus interurbains, relève-t-il. Pourtant, la ligne 32 du car Soissons-Roissy pourrait décongestionner la ligne K lors de fortes perturbations. De même, l'information aux usagers n'est pas satisfaisante en gare du Nord. Les trains sont affichés trop tardivement. »

Source : Le Parisien

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Rédigé par Aulnaylibre !

Publié dans #Transports

Publié le 19 Février 2014

Jacques-Chaussat-UDI.jpgComme un symbole de l’affrontement qui se profile au second tour des municipales d’Aulnay-sous-Bois en mars prochain entre Bruno Beschizza et le maire sortant, Gérard Ségura brandissait dans chacune de ses mains, dès le jeudi 13 février au soir à la salle Chanteloup, les programmes des deux candidats qui animent déjà abondamment la campagne électorale. Dans ces conditions, et alors que nous sommes en plein milieu des vacances scolaires, les outsiders que constituent Alain Amédro (Europe Ecologie Les Verts) et Jacques Chaussat (UDI) semblent déjà avoir pris un temps de retard. Si monsieur Amédro tente bien de rester sous les feux de l’actualité en publiant divers communiqués ou en annonçant la visite prochaine de la ministre Cécile Duflot, monsieur Chaussat quant à lui reste étrangement silencieux derrière son mutisme.

D’où cette question : mais où sont donc passés Jacques Chaussat et son projet ?

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Robert Ferrand

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Rédigé par Robert Ferrand

Publié dans #En route vers 2014 !

Publié le 19 Février 2014

Communiqué de presse du 17 février 2014

Atelier philo censuré :

 Alain Amédro proteste contre la capitulation du maire sortant face à l’extrême droite

Alain-Amedro-2014L’atelier philosophique aulnaysien, qui se tient depuis de très nombreuses années, a brutalement été annulé par une décision de la municipalité. Cet atelier, qui aborde régulièrement des questions d’actualité, avait prévu le 12 février dernier de mener une réflexion ouverte sur les questions philosophiques de genre.

Alain Amédro est particulièrement choqué de cette décision dans un contexte de forte pression des milieux d'extrême droite, relayée hélas par Jean-François Copé :

« Cette décision est symbolique d’une municipalité sans boussole, capitulant devant certains lobbies pour des raisons scandaleusement électoralistes. Elle fait suite à des pressions demandant de retirer certains ouvrages des rayons jeunesse des bibliothèques municipales. Je regrette vivement que le maire sortant ait cédé aux pressions de l’idéologie d’extrême droite, d’où qu’elles viennent. C'est une grave attaque contre la République !

Face à l’intolérance, aux reculs sur l’égalité hommes-femmes et à la recrudescence des discriminations, j'appelle chacune et chacun à résister et donc à dialoguer, à réfléchir, à lire!

Nous devons défendre la liberté de penser, nous devons défendre la philosophie qui forme l’esprit critique, permet aux citoyens de juger en conscience, d'exercer son libre-arbitre et de faire face aux préjugés et à l’obscurantisme.

Notre équipe, qui se préoccupe prioritairement du vivre ensemble, multipliera les occasions de réflexion, de dialogue démocratique pour construire une ville apaisée et fraternelle dans laquelle chacun apprend à connaître l’Autre. »

Contact presse : Alain Amédro - 06 12 84 03 34

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